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COUVENT
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Un jeune homme
avec une carrière prometteuse devant lui décide un jour
de se marier avec une fille respectable. Sa promise a
fait toute son éducation dans un couvent. Après la
cérémonie, les jeunes mariés prennent la voiture pour
rejoindre leur nid d’amour. Ils doivent cependant
traverser un quartier de la ville où les prostituées
exercent leurs talents.
« — Charles-Edmond, que font ces femmes
appuyées contre les murs et les lampadaires ? »
« — Oh, ce sont des femmes qui louent pour
300 F leur corps pour le sexe. »
« — 300 F ! s’exclame la jeune
mariée, et les moines qui nous donnaient simplement une
tablette de chocolat… »
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Quelle est la
différence entre la Suède et le Vatican ?
— La Suède, ils ont du fer et ils savent pas quoi en
foutre. Alors que le Vatican…
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Pourquoi les
bonnes sœurs Chinoises aiment bien les Beatles ?
— Parce qu’elles sont jaunes, les
nonnes.
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Une femme n’ayant
connu que des problèmes dans la vie décide d’entrer dans
les ordres; elle rejoint un couvent où la règle la plus
dure est de ne pouvoir dire que 2 mots tous les dix ans.
10 ans passent… la femme va un beau jour voir la
Mère Supérieure et dit:
« — Nourriture froide… »
10 nouvelles années plus tard, elle dit à la Mère
Supérieure:
« — Matelas dur… »
Encore 10 années, et là la femme retrouve la Mère
Supérieure pour lui dire:
« — Je vous quitte ! »
Et la Mère Supérieure répond alors:
« — Tant mieux ! De toute façon, vous
n’avez pas cessé de vous
plaindre ! »
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Ce sont 2 nonnes
Écossaises qui viennent juste d’arriver aux USA par
bateau. La 1ère
dit à
la seconde:
« — J’ai entendu dire que les Américains
avaient l’habitude de manger du chien (hot dog). »
« — C’est curieux, répond la seconde, mais si
nous devons vivre dans ce pays, nous ferions mieux de
suivre les coutumes des habitants. »
Plus tard, les 2 sœurs remarquent justement un vendeur de
hot dogs…
« — 2 hot dogs ! » demandent-elles.
Le vendeur leur enveloppe leur hot dog dans un papier
alimentaire et leur donne. Les nonnes sont assez excitées
de savoir à quoi ça ressemble. Elles déballent leur hot
dog. La 1ère,
en voyant ce que le pain contient, s’arrête un moment
puis demande à la seconde:
« — Quelle partie du chien avez-vous
eue ? »
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Dans une école
Catholique, une petite fille est en train de manger une
sucette. Une bonne sœur vient à passer par là, lui pince
le nez et le lui agite dans tous les sens, puis ajoute:
« — Tu sais ma petite, si tu manges des
sucreries tout le temps, tu ne pourras pas aller au
Paradis ! »
La petite fille alors rétorque:
« — Tu sais madame, quand on a les doigts qui
sentent le sperme, on va pas au Paradis non
plus… »
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Au petit
séminaire, Sœur Marguerite demande à ses élèves quelle
profession ils désirent exercer en étant plus grands. La
petite Isabelle dit:
« — Quand je serai grande, je serai
prostituée ! »
Sœur Marguerite ouvre de grands yeux injectés de sang et
rugit:
« — Qu’est-ce que tu viens de
dire ? »
« — Une prostituée ! » reprend d’une
voix toute tremblante la petite Isabelle.
Sœur Marguerite porte la main à sa poitrine en poussant
un gros soupir et elle dit:
« — Dieu merci ! J’ai cru que tu avais dit
protestante ! »
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Au réfectoire du
couvent de bonnes sœurs:
« — Mes sœurs, aujourd’hui, carottes… »
Toute la salle:
« — Haaaaaaa ! »
« — … râpées ! »
Toute la salle:
« — Ooooooh… »
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2 bonnes sœurs
font du vélo dans une rue en mauvais état, pleine de
bosses. La 1ère
dit à
l’autre:
« — Je n’étais jamais venue par ici. »
Et l’autre répond:
« — Ça doit être les
bosses. »
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Dans un couvent, 3
sœurs veulent se confesser. La 1ère
entre
dans le confessionnal pendant que les 2 autres écoutent
derrière le rideau.
« — Mon, père, j’ai commis un péché: j’ai
regardé des hommes nus à travers le trou d’une
serrure. »
« — Ma sœur, vous ferez une prière puis vous
irez vous laver l’œil dans le bénitier. »
À ce moment, la 3ème
sœur
se précipite dans le confessionnal en disant:
« — Mon père, puis-je aller me rincer la bouche
avant que la 2ème
ne se
lave le cul ? »
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Il y avait une
fois 3 moines très, très pieux. Ces moines étaient si
pieux qu’un jour, le Père supérieur décida de les
récompenser de leur dévotion en leur accordant à chacun
une journée complète de péché, mais à la condition
expresse qu’ils se confessent à lui à la fin de la
journée. Le jour convenu, les 3 moines partirent en ville
pour aller se débaucher à leur convenance. Le
1er
moine
rentre au monastère vers 1 h 00 du matin, et essaie
d’aller se coucher sans bruit, mais le Père supérieur qui
attend, tapi dans l’ombre, lui met le grappin dessus et
lui demande de raconter sa journée.
« — Non, mon Père, ce que j’ai fait est trop
mal j’ai trop honte, jamais je ne pourrais me
confier ! »
« — Le marché que nous avons passé vous oblige
pourtant à me dire exactement tout ce que vous avez
commis comme péché. Autrement, vous n’aurez pas
l’absolution ! »
Alors le 1er
moine
se laisse convaincre et confesse:
« — J’ai… J’ai bu ! Et non seulement ça,
mais j’ai aussi goûté à la drogue: j’ai fumé des
cigarettes, puis on m’a proposé de fumer des sachets de
thé. J’ai même sniffé du détartrant à cafetières… »
« — Assez ! Ce sont des péchés
diaboliques. Mais un marché étant un marché, je vous
donne malgré tout mon absolution, sous réserve que vous
alliez dire quelques prières, et que vous vous purifiez
la bouche en buvant de l’eau bénite. »
Le moine remercie le Père supérieur et s’en va appliquer
ses recommandations.
Le 2ème
moine
rentre au monastère vers 2 h 00 du matin. Comme pour
le 1er,
il se fait “attraper” par le Père supérieur qui lui
demande de lui raconter sa nuit.
« — Je… je me suis laissé aller à d’ignobles
perversions sexuelles: j’ai fait l’amour avec des filles
à la vertu minuscule, elles étaient plusieurs et je ne
suis même pas sûr qu’elles étaient majeures; j’ai honte
mon Père. »
« — Cela suffit. J’ai promis l’absolution mais
il ne faudrait pas me forcer à entendre des ignominies.
Allez dire des prières et vous purifier en buvant un
verre d’eau bénite. »
Le 3ème
moine
rentre finalement à 3 h 00 du matin:
« — Alors mon fils. Qu’avez-vous fait comme
péché ? »
« — Mon Père, cette nuit j’ai… Oh non, je n’y
arriverai pas. Vous n’auriez jamais dû nous permettre de
nous laisser aller à commettre des péchés. »
« — Respectez notre accord: dites-moi ce que
vous avez commis comme péché. »
Le moine penche la tête et dit:
« — D’accord mon Père. Cette nuit j’ai… »
« — Oui ? »
« — Cette nuit j’ai fait pipi dans le
bénitier ! »
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C’est à la
kermesse du couvent la sœur tire les numéros de tombola
et dit:
« — Le 3ème
lot
sera attribué au numéro 334”. Voilà David qui se lève et
crie:
« — Super ! dit-il, c’est moi, j’ai
gagné ! »
Il se tourne vers la sœur et demande:
« — Qu’est-ce que j’ai gagné ? Qu’est-ce
que j’ai gagné ?
« — Le 3ème
lot
est une superbe Cadillac cabriolet ! »
David part tout content dans sa voiture. La sœur tire
alors un autre numéro. Pour le 2ème
lot
qui est le 45. Voilà Benjamin qui se lève et dit:
« — Mégacool dit-il, c’est moi qui gagne !
J’ai le bon numéro. Il se tourne vers la sœur et demande:
« — Et moi alors, qu’est-ce que j’ai
gagné ?
« — Le 2ème
lot
est un superbe gâteau ! »
« — Un gâteau pour le 2ème
lot
alors que le 3ème
lot
est une Cadillac ? !
La sœur dit alors
« — Mais enfin c’est la mère supérieure qui l’a
cuisiné ce gâteau ! »
Benjamin répond:
« — Qu’est-ce que j’en ai à foutre moi de la
mère supérieure, la mère supérieure, moi j’la prends,
j’la retourne et j’l’encule ! »
Et la sœur répond alors
« — Ah non, ça, c’est le 1er
prix ! »
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C’est la tempête
de neige. Un curé et une religieuse qui faisaient la
route en Renault 4 décident d’arrêter de rouler et de
passer la nuit à l’hôtel. Naturellement, le seul hôtel de
la région a été pris d’assaut par les voyageurs. Le
réceptionniste de l’hôtel dit alors au prêtre:
« — Je vais vous donner la dernière chambre qui
me reste. Je ne peux pas faire mieux: il vous faudra
partager avec la Sœur. »
Le prêtre accepte et il accompagne la religieuse dans la
chambre. Tous 2 décident de partager le grand lit puisque
la chambre ne comporte pas de canapé. Cependant, il se
produit une coupure d’électricité (la tempête de neige…),
et l’éclairage ainsi que le chauffage disparaissent.
Heureusement, il y a quelques couvertures dans l’armoire.
Très vite, la nonne dit:
« — Mon père, j’ai froid ! »
Alors le prêtre se lève et va chercher une couverture
qu’il déplie du côté de la religieuse. Un peu plus tard,
la religieuse renchérit:
« — Mon père, j’ai froid, voudriez-vous aller
chercher une autre couverture ? »
Du coup le prêtre se dévoue encore. Encore un peu plus
tard, la nonne veut une autre couverture. Cette fois, le
prêtre répond:
« — Je pense que, pour avoir chaud, il nous
faut agir comme le font maris et femmes ! »
La nonne est très étonnée et se demande si vraiment… Mais
enfin, comme il est le prêtre, elle dit:
« — D’accord mon Père. Si vous êtes sûr que
cela restera dans les principes que nous devons
respecter. »
Et alors le prêtre lui répond:
« — Alors, va la chercher toi-même cette sacrée
couverture ! »
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C’est une bonne
sœur qui va trouver la mère supérieure et qui lui dit:
« — Ma mère, j’ai un problème. Chaque fois que
j’enlève ma petite culotte, il y a une petite boule bleue
qui tombe de mon sexe ! »
La mère répond:
« — Je ne sais pas ce que c’est ma fille mais
ça doit sûrement être médical. Tu devrais aller voir un
médecin car, après tout, nous sommes des femmes avant
d’être des servantes du seigneur… »
Sur ces bonnes paroles, la sœur va voir un médecin et lui
raconte son problème:
« — Docteur, je ne sais pas ce qui se passe
mais, chaque fois que j’enlève ma petite culotte, une
petite boule bleue tombe de mon sexe. »
Le docteur réfléchit et dit:
« — Vous croyez que ça pourrait se passer
maintenant ? »
La sœur:
« — Je ne sais pas… essayons… »
La sœur se déshabille et, au moment où elle enlève son
slip… une petite boule bleue grosse, comme un petit pois,
tombe de son sexe. Le médecin, surpris, ramasse la boule
avec une pince à épiler et commence à l’examiner:
« — Bizarre, on dirait un bout de papier tout
chiffonné. »
Il déplie le morceau de papier bleu et lit l’inscription
marquée en lettres jaunes:
« — Chiquita. »
Évidemment, si on sait pas que c’est une marque de
bananes, c’est beaucoup moins drôle. Si vous n’avez pas
ri, relisez encore une fois lentement.
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La Mère
Supérieure:
« — Sœur Marie, vous êtes dans la rue, la nuit,
et vous vous faites accoster par un hommes aux mauvaises
intentions, que faites-vous ? »
Sœur Marie:
« — J’enlève mon habit de religieuse ma
Mère. »
La Mère Supérieure (outrée):
« — Et que faites-vous après ? »
Sœur Marie:
« — Je lui dis de baisser son pantalon. »
La Mère Supérieure: (encore plus outrée)
« — Et ensuite ? »
Sœur Marie:
« — Je m’enfuis en courant ! Je courrai
beaucoup plus vite sans mon habit de religieuse que lui
avec son pantalon baissé. »
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Des religieuses
font du vélo devant le couvent. À l’heure du repas, la
sœur supérieure sort et demande aux sœurs de rentrer pour
manger. Celles-ci ne s’en occupent pas et continuent de
pédaler. Au 3ème
appel,
la sœur supérieure s’impatiente et s’écrie:
« — Si vous ne rentrez pas tout de suite, je
remets les selles sur vos
vélos ! »
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C’est un type qui
rentre dans une pharmacie à Neuilly et qui dit:
« — Bonjour, je voudrais des préservatifs, s’il
vous plaît. »
La pharmacienne lui dit à voix basse:
« — Excusez-moi, Monsieur, mais vue notre
clientèle assez conservatrice, nous employons un code
pour désigner certains produits. En l’occurrence, celui
que vous demandez est nommé “ticket de métro”. »
À ce moment, une bonne sœur entre dans la pharmacie et
capte la conversation en route…
Et le type reprend:
« — Bon alors, s’il vous plaît, je voudrais un
ticket de métro »
La pharmacienne lui donne un petit sachet et le type s’en
va.
La bonne sœur demande de l’Aspirine et s’en va elle
aussi. Puis elle descend dans le métro et voit qu’il y a
beaucoup de monde au guichet. Comme elle n’a pas de
ticket, elle se dit:
« — Tiens, vu qu’ils en vendent à la pharmacie,
je vais y aller, au moins, là, il y a
personne ! »
Elle y retourne et demande:
« — Re-bonjour mademoiselle, je voudrais un
ticket de métro, s’il vous plaît. »
« — Enfin, ma sœur, pas à vous, je n’oserai
pas… »
« — Mais si, vous me rendriez un grand service,
car si vous saviez la queue qui m’attend en
bas… »
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Un prêtre et une
religieuse traversent le désert sur le dos d’un chameau.
Au beau milieu de la traversée, le chameau tombe
gravement malade. Du coup, ils décident de s’arrêter pour
le bivouac en espérant que quelqu’un passera et leur
portera secours. Cependant, personne ne passe, et
bientôt, le chameau meurt. Naturellement, ils prient
copieusement pour sortir de leur mauvaise passe. Au cours
de la discussion, le curé dit à la religieuse:
« — Vous savez, ma sœur, je suis maintenant
tout près de la mort, et je peux vous le dire maintenant:
il y a une chose que j’ai toujours voulu voir dans ma vie
sans que cela soit possible, c’est de voir une femme nue.
Cela vous embêterait-il d’ôter vos vêtements pour
moi ? »
La religieuse réfléchit un peu à sa demande, puis décide
d’enlever ses vêtements. Ce faisant, elle dit au curé:
« — Mon père, maintenant que je vais apparaître
nue devant vous, je peux vous avouer que, moi non plus,
je n’ai jamais vu d’homme nu… Voudriez-vous ôter vos
vêtements pour moi ? »
Le prêtre accepte en rougissant. Lorsqu’ils sont tous les
2 nus, la religieuse s’exclame:
« — Mon Père ! Cette chose qui pend entre
vos jambes, à quoi sert-elle ? »
Le prêtre répond doucement:
« — Ça, mon enfant, c’est un cadeau de Dieu. Si
je l’introduis en vous, il pourra créer une nouvelle
vie. »
« — C’est vrai ? ! » répond la
religieuse, et elle ajoute alors:
« — Oubliez-moi. Allez l’introduire dans le
chameau ! »
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C’est une
religieuse qui rentre dans un magasin d’alimentation.
Elle va prendre une bouteille de gin dans un des rayons,
puis passe à la caisse.
Le gars à la caisse la voyant avec sa bouteille de gin la
regarde d’une drôle de manière.
Se sentant dévisagée, la religieuse lui dit:
« — J’achète cette bouteille de gin pour
soigner la constipation de la Mère Supérieure. »
Le caissier hausse les épaules, et oublie vite cette
excentrique de religieuse.
Une heure plus tard, alors qu’il vient de fermer le
magasin, il croise la religieuse dans la rue, assise sur
un banc, avec la bouteille vide à côté d’elle. La
religieuse a l’air aussi bourrée que le métro aux heures
de pointe.
Le caissier en la voyant dans cet état est outré et lui
dit:
« — Mais enfin Ma Sœur ! Vous m’aviez dit
que cette bouteille était pour soigner la constipation de
la mère supérieure ! »
« — Mais c’est la vérité ! » répond
la nonne en ricanant:
« — Ça va vraiment la faire chier lorsqu’elle
me verra dans cet état ! »
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C’est 2 bonnes
sœurs qui rentre au couvent, mais il fait déjà nuit. 2
gars leur sautent dessus et les déshabillent dans
l’intention de les violer.
La 1ère
religieuse lève
les yeux au ciel et dit:
« — Pardonnez-leur mon Dieu, car ils ne savent
pas ce qu’ils font. »
La 2ème
religieuse lève
les yeux au ciel et dit:
« — Celui-la, lui il sait ! »
Dans un dispensaire, les religieuses ont décidé, après en
avoir parlé entre elles, de quitter le médecin-chef s’il
osait encore leur raconter des histoires grivoises comme
à son habitude…
Quelques jours après, le docteur arrive, les yeux
brillants et dit:
« — Bonjour, mes sœurs ! Figurez-vous que
je reviens du port où j’ai dû examiner tous les marins
d’un bateau Chinois à cause d’une épidémie… Vous savez,
ils sont marrants ces Chinois ! Ils ont des tout
petits yeux, de toutes petites mains, ils sont hauts
comme 3 pommes, mais alors ils ont d’énormes… »
À ce moment, les sœurs scandalisées sortent en courant
pour ne pas entendre la suite alors que le médecin-chef
leur crie:
« — Hé la ! Pas si vite, ce bateau est
encore là toute la
semaine ! »
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Une nonne arrive
en courant dans la cuisine du couvent pour y retrouver la
Mère supérieure. Elle crie:
« — J’ai été violée ! J’ai été
violée ! »
La Mère supérieure lui répond:
« — Calmez-vous mon enfant, et asseyez-vous… Je
vais m’occuper de vous. »
La Mère supérieure va chercher du citron, du vinaigre,
des cornichons et des oignons, puis elle commence à
préparer une mixture avec ces ingrédients. Elle tend la
mixture à la nonne en lui disant de boire cul sec !
La nonne demande avant de goûter:
« — Et vous pensez qu’avec ça, je serai
purifiée, Ma Mère ? »
La Mère Supérieure:
« — Peut-être pas, mais au moins, ça vous
enlèvera le sourire que vous avez sur les
lèvres ! »
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La mère supérieure
convoque en catastrophe toutes les religieuses du
couvent:
« — Mes sœurs, notre figuier n’a jamais donné
autant de fruits. Je ne sais vraiment pas comment nous
allons pouvoir les utiliser tous avant qu’ils ne soient
pourris ! Auriez-vous des idées pour éviter ce
gâchis ? »
« — Faisons des tartes, ma mère. »
« — Quelle bonne idée, sœur Marie. Mais ça ne
suffira jamais… »
« — Et des confitures aussi. »
« — Oui, sœur Odile, très bonne idée !
Mais nous n’aurons pas assez de bocaux pour tous ces
fruits… »
« — Faisons de la compote ! »
« — De la compote, sœur Jeanne ? Mais
comment ? »
« — Avec une lime, ma mère. »
« — Une lime ? Expliquez-nous… »
« — Oh, quand j’étais enfant, j’ai une fois
entendu, par la porte entrouverte, ma mère dire à mon
père: “Arrête de limer, j’ai la figue en
compote !” »
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Une vieille bonne
sœur de passage à Paris se retrouve par hasard Rue
St-Denis. Elle va demander à une pute pourquoi il y a
autant de filles qui attendent Dieu sait quoi. La pute,
ennuyée, lui répond
« — Il y a une distribution de sucettes au bout
de la rue. »
Là-dessus arrive un car de police qui embarque tout le
monde, la bonne sœur y compris. Arrivés au commissariat
l’inspecteur n’en croit pas ses yeux:
« — Ma sœur, que faisiez-vous dans la rue, à
votre âge ? »
Et la bonne sœur:
« — Ben quoi “à mon âge” ? J’ai plus de
dents mais je peux encore en sucer
quelques-unes ! »
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3 touristes
visitent le désert accompagne d’un guide. Sur le chemin,
ils voient un bâtiment. Le guide leur dit que c’est un
couvent de bonnes sœurs mais il ne faut pas y aller,
c’est dangereux, elles n’acceptent pas les hommes. Ils
continuent leur chemin quand une tempête de sable surgit.
Le guide s’enfuit laissant les 3 hommes, seuls dans le
désert, assoiffés et affamés. Bien que les 2 autres
essaient de l’en dissuader, le 1er
va
frapper au couvent pour avoir à boire. Il supplie la sœur
de le laisser entrer. La sœur le prévient:
« — Nous n’acceptons pas les hommes ici. »
« — M’en fous, j’ai trop soif ! »
qu’il lui répond.
Il entre et les 2 autres entendent un grand cri.
Le 2ème
homme
craque et se dirige vers le couvent. Il frappe, et même
scénario, le grand cri.
Enfin, le 3ème
n’ayant plus le
choix, va frapper au couvent. Avant d’entrer, il demande
à la sœur de lui dire ce qui est arrivé aux autres.
Elle lui dit:
« — Le 1er
était
boucher, on les lui a coupées. Le 2ème
était
vigneron, on les lui a pressées. »
À ce moment, le 3ème
de met
à rire et dit:
« — Moi, je suis marchand de
sucettes. »
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C’est le début de
la matinée dans le couvent. 2 religieuses se dirigent
vers le réfectoire pour prendre le petit-déjeuner.
Sur le chemin, elles croisent la Mère Supérieure qui
semble d’une humeur massacrante… Les 2 sœurs lui disent
bonjour, et la Mère Supérieure ne répond qu’un
grognement !
Une des sœurs dit alors à l’autre:
« — Ho ho, notre mère supérieure a dû se lever
du mauvais côté du lit, ce matin. »
L’autre répond:
« — On doit plutôt dire “La mère supérieure
s’est levée du pied gauche”, non ? »
Et la 1ère
répond:
« — Peut-être qu’elle s’est levée du pied
gauche… mais elle s’est quand même trompée de côté de lit
parce qu’elle a mis les chaussures du Père
Barnabé ! »
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Ça se passe dans
une région bien reculée, sur une petite route
départementale. Une nonne rentre au couvent avec la
Renault 4 de la communauté. Malheureusement, la nonne est
un peu “tête en l’air” et elle a oublié de refaire le
plein. Elle cherche dans la voiture: pas de jerrican.
Elle se met donc à marcher en direction de la maison la
plus proche qu’elle sait être à 2 km de là. Arrivée à la
maison, elle demande si elle peut être dépannée avec un
peu d’essence. Le gars lui dit:
« — Moi je veux bien, mais je n’ai pas de
jerrican. »
Alors il réfléchit et dit:
« — Ça y est, j’ai trouvé. On va pomper un peu
d’essence de ma voiture que l’on transvasera dans ce pot
de chambre. »
Et voilà la nonne qui repart vers sa voiture avec son pot
de chambre rempli d’essence. Alors qu’elle est en train
de verser son essence dans son réservoir, une voiture
s’arrête à sa hauteur.
Le conducteur baisse la vitre et lui dit:
« — Ma sœur, comme j’aimerais avoir autant de
foi que vous… »
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Ce sont 3 jeunes
candidats à la prêtrise. L’évêque s’est déplacé
spécialement au séminaire pour leur faire passer un
dernier test: le test du célibat. L’évêque conduit les 3
candidats dans une pièce, et leur demande de se
déshabiller. Ensuite, il demande à chacun de s’attacher
une petite clochette au pénis au moyen d’une ficelle
toute fine. Lorsque tout le monde est prêt, une superbe
fille entre dans la pièce et vient se placer devant le
1er
candidat. Elle
entame un strip-tease torride… mais n’a pas plutôt enlevé
son soutien-gorge que l’on entend le *Tingingling*.
L’évêque prend alors la parole:
« — Patrick, je suis vraiment désolé pour vous,
mais votre manque de self control vous joue des tours.
Emportez vos vêtements et courrez prendre une douche
froide. Vous en profiterez pour prier et méditer sur
votre faiblesse charnelle. »
Pendant ce temps, la jeune fille qui s’était placée
devant le 2ème
candidat avait
continué son strip-tease. Arrivé à la petite culotte,
l’évêque pu entendre le *Tingingling*. L’évêque reprend
alors la parole:
« — Joseph, toi non plus, tu n’es pas capable
de réfréner tes pulsions charnelles. Une douche froide et
des prières pour toi aussi. »
Et le 2ème
candidat quitte la
pièce.
À ce moment, la jeune fille est déjà toute nue, en train
de danser et prendre des attitudes toutes les plus
suggestives devant le 3ème
candidat… mais
RIEN. Elle a beau même se frotter contre le corps de
l’éphèbe. Aucune réaction.
L’évêque est très satisfait et il dit:
« — Michael, mon fils, je suis vraiment fier de
toi ! Tu es le seul à avoir eu assez de force de
caractère pour ne pas t’être laissé aller à tes pulsions
charnelles. Tu deviendras un prêtre très rapidement.
Maintenant tu peux aller rejoindre tes 2 compagnons sous
la douche… »
*Tingingling*
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C’est le curé du
village voisin qui descend en ville pour présenter ses
vœux à la Mère Supérieure du couvent Ste-Marie. En
passant dans la rue, il entend une femme à la tenue
suggestive accoster un passant par un:
« — 100 balles la turlutte mon beau, ça te
dit ? »
Et le curé constate alors que la femme et le passant
s’engouffrent dans une petite ruelle et disparaissent. Le
curé est perplexe. Il veut en savoir un peu plus et se
poste en embuscade dans ce quartier. Il entend à peu près
toujours la même proposition faites par des dames aux
passants de sexe masculin:
« — 100 balles pour une
turlutte ! »
Mais il ne peut en savoir plus car, même si le passant
est intéressé par la proposition de la dame, le passant
et la dame disparaissent toujours de sa vue.
Finalement, le curé abandonne et poursuit sa marche
jusqu’au couvent. Là, il présente ses vœux à la Mère
Supérieure et en profite pour en savoir un peu plus à
propos de la “turlutte”. Il lui demande:
« — Dites-moi un peu ma Mère, une turlutte,
c’est quoi ? »
« — Une turlutte ? C’est 100 F, comme
en ville ! »
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Il y a eu erreur
et gros emmêlement de pinceaux là-haut dans le ciel, et
la Sœur Béatrice se retrouve en Enfer au lieu du Paradis.
Comme pour une garde à vue, Satan lui permet de passer un
coup de téléphone… Elle appelle St-Pierre:
« — St-Pierre, il faut me sortir d’ici: ils ont
prévu une orgie pour ce soir ! »
St-Pierre lui promet de faire tout son possible pour la
sortir de cette situation et il raccroche. Mais St-Pierre
est vraiment super-hyper deborded et il oublie Sœur
Béatrice…
Jusqu’au lendemain matin, où, en se réveillant, il trouve
un message sur son répondeur:
« — Salut Pierrot ! Ici, c’est Béa. Tu
peux laisser tomber pour le
transfert ! »
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C’est la mère
supérieure qui fait venir ses sœurs dans son bureau. Elle
leur demande d’aller chercher des fraises en villes.
Malheureusement, la mère supérieure a la fâcheuse
habitude de parler très rapidement, et nos chères bonnes
sœurs ont compris « d’aller chercher des frères en
ville ».
Ce qu’elles font, avec grand plaisir d’ailleurs !
De retour au couvent, une des sœurs entre dans le bureau
de la mère supérieure et dit:
« — Nous avons trouvé ce que vous nous aviez
demandé, Mère. »
« — Parfait ! répondit la mère supérieure.
Faites-les décharger dans le corridor, nous allons les
équeuter demain… »
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Une bonne sœur est
en train de pêcher. Soudain elle attrape un énorme
poisson, avec une drôle d’apparence… Un pêcheur, non loin
de là, lui dit:
« — Oh ! Quel bordel de Dieu de poisson
vous avez là, ma sœur ! »
« — Monsieur je vous prie de rester
poli ! » répond la bonne sœur.
« — Je suis désolé ma sœur, mais c’est le nom
de cette espèce: “ Un bordel de Dieu de
poisson” ! »
« — Ah, très bien… » répond la sœur.
Elle rentre à la paroisse et croise la mère supérieure:
« — Ma mère, regardez ce bordel de Dieu de
poisson que j’ai attrapée ! »
« — Ma sœur ! Ne jurez pas je vous en
prie ! »
« — Excusez-moi ma mère, mais c’est le nom de
cette espèce: “Un bordel de Dieu de
poisson” ! »
« — OK, donnez-moi ça je vais le vider. »
En partant à la cuisine, elle croise l’évêque et lui dit:
« — Mon père regardez ce bordel de Dieu de
poisson que la sœur a attrapé ! »
« — Hé ! Vous ne devriez pas parler comme
ça ! »
« — Mais non mon père, c’est le nom de cette
espèce: “Un bordel de Dieu de poisson” ! »
« — Donnez-moi ce poisson, je vais le
cuisiner ! »
Le soir à la cantine, un tout nouveau curé partage le
repas; il s’écrie:
« — Oh ! Que ce poisson est
bon ! »
La sœur répond immédiatement:
« — C’est moi qui ai péché ce bordel de Dieu de
poisson ! »
« — C’est moi qui ai vidé ce bordel de Dieu de
poisson ! » continue la mère supérieure.
« — Et c’est moi qui ai cuisiné ce bordel de
Dieu de poisson ! » termine l’évêque avec
fierté.
Le curé, étonné et un peu choqué, s’exclame alors:
« — Oh dis donc ! J’aime déjà cette putain
de paroisse de merde ! »
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C’est un pirate,
un vrai, avec une jambe en bois, un bandeau et tout ce
qu’il faut… Seulement, il a un menu problème: dès qu’il
est dans le noir, eh ben, en fait, c’est plus fort que
lui, il éjacule sans aucun contrôle…
Un jour qu’il était en mer, lors d’une grosse tempête,
son bateau coule. In extremis, il trouve un tonneau où il
entre pour se laisser dériver. Seulement voilà: dans le
tonneau, il fait tout noir… et le tonneau dérive 3 mois
(il avait pris des provisions) ! Au terme de ces 3
mois, le tonneau s’échoue sur une île inconnue. Le pauvre
pirate ressort dégoulinant, je vous fais pas un dessin.
Il en a partout. Il est heureusement accueilli par
quelques bonnes sœurs. Elles le logent, le nourrissent,
le blanchissent…
Jusqu’au jour où une bonne sœur tombe enceinte.
La mère supérieure entre dans la chambre du pirate.
« — On vous offre l’hospitalité, et vous, vous
violez une religieuse ? C’est honteux ! »
« — Non, ma mère, j’vous jure… »
« — Ne vous foutez pas de moi ! Si vous
recommencez, Vous serez remis à la mer ! »
Le pirate ne comprend pas. En fait, c’est pas faute
d’essayer, mais aucune religieuse n’a cédé à ses avances.
Et pourtant, 1 mois plus tard, re-belote !
« — Alors monsieur le pirate ! Ça commence
à bien faire ! Vous avez encore rendue une nonne
enceinte ! C’est forcément vous car vous êtes le
seul homme sur cette île ! »
« — Mais… »
« — IL SUFFIT ! »
Et la mère supérieure l’expulse dans une cabane, enfermé
24h/24.
Pourtant, 45 jours plus tard, une 3ème
bonne
sœur est en cloque.
« — Pirate ! Il faut m’expliquer
maintenant. Je vous ai Enfermé alors comment êtes-vous
parvenu à rendre cette 3ème
religieuse
enceinte ? »
« — Mais non, je… »
« — Allez, franchement… »
« — Au fait, mon tonneau, qu’est-ce que vous en
avez fait ? »
« — Des bougies,
pourquoi ? »
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Ce sont des
religieuses qui font un pèlerinage à Lourdes. Elles se
déplacent en minibus. Au détour d’un départementale,
voilà-t-y pas qu’un des pneus du minibus est à plat. Les
nonnes sortent et pensent changer le pneu, mais aucune
d’elle ne sait comment faire. Heureusement, un routier
qui passait par là s’arrête, et voyant leur détresse,
offre ses services. Les religieuses acceptent de bon
cœur. Alors que le routier est en train de soulever le
minibus avec le cric, celui-ci glisse, laissant le bus
retomber par terre. Alors le routier rugit un:
« — Nom de Dieu ! »
La mère supérieure le reprend tout de suite et lui dit:
« — Ce ne sont pas des manières de parler
ainsi. Vous devriez vous surveiller un peu ! »
Le routier s’excuse:
« — Je suis désolé ma mère. »
Et il se remet à la tâche. Mais 30 secondes plus
tard, re-belote, le cric glisse à nouveau ! Et le
routier vocifère:
« — Bordel de Dieu de couille
d’ours ! »
La mère supérieure intervient:
« — Si changer la roue de notre minibus vous
oblige à proférer de telles vulgarités, nous préférons
nous débrouiller seules ! »
Le routier s’excuse encore:
« — Oh ma mère, je suis réellement désolé. Mais
je suis un peu énervé par ce cric qui ne veut pas resté
fixé sur le sol. »
La mère supérieure lui propose alors:
« — Si ce cric glisse à nouveau, retenez-vous
de proférer des vulgarités, et dites plutôt quelque chose
comme “Mon Dieu, aidez-moi !” »
Et le routier réessaye de soulever le minibus, et le cric
glisse à nouveau et il commence à dire:
« — Nom de… »
Mais il se corrige et dit
« — Oh mon Dieu, aidez-moi ! »
Et à ce moment-là, le minibus se soulève tout seul dans
les airs… Et les nonnes regardent leur minibus et
s’écrient:
« — Nom de
Dieu ! »
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2 “baba cool” bien
crades sont à l’arrêt du bus. Ils sont en compagnie d’une
bonne sœur qui a un pied dans le plâtre. Voulant faire un
peu de conversation, un des hippies dit:
« — Comment vous vous êtes cassé le pied ma
sœur ? »
« — J’ai glissé dans ma baignoire… »
Alors le 2ème
baba
demande au 1er:
« — Qu’est-ce que c’est une
baignoire ? »
« — Comment je le saurais ? Je suis pas
Catholique ! »
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3 jeunes
religieuses sont dans un compartiment de train, en route
vers Paris pour assister à la grande messe des Journées
de la Jeunesse célébrée par Jean-Paul II. Les nonnes
sympathisent rapidement et se mettent à discuter. Au bout
d’un certain temps, elles se confient leurs péchés les
plus importants:
La 1ère
dit:
« — Mon plus gros péché, c’est la luxure… Tous
les ans, je prends congé du couvent pendant quelques
jours et je fais la prostituée. Bien sûr, je distribue
l’argent que je gagne en faisant cela, je le donne aux
pauvres, mais il n’en reste pas moins que c’est un gros
péché… »
La 2ème
nonne
dit:
« — Moi, mon plus gros péché, c’est d’aimer
boire. Toutes les économies que je peux réaliser sur une
année, je les consomme en quelques jours une fois par an,
en me saoulant… »
La 3ème
nonne
écoutait ses 2 consœurs attentivement, sans dire un mot.
Lorsque son tour vint de confesser son plus gros péché,
elle répondit en souriant:
« — Mon plus gros péché, c’est de cancaner… Et
j’ai vraiment hâte de rentrer au couvent
maintenant… »
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Un camionneur
s’est arrêté sur le bord de la route pour satisfaire une
urgente envie d’uriner. Il est en train de vider
consciencieusement sa vessie en dessinant des Arabesques
sur le mur d’une propriété qui se trouvait là, lorsque
apparaît une bonne sœur à la porte de cette propriété.
« — Tout se passe comme vous le voulez, mon
fils ? »
Le camionneur (qui se reboutonne précipitamment):
« — Oups ! Je suis désolé, ma
Sœur ! »
La sœur:
« — Je vous en prie mon fils, il m’arrive de
faire la même chose… Mais, puisque le Seigneur vous a
placé sur mon chemin, pourriez-vous s’il vous plaît me
montrer votre… votre machin… »
Le camionneur (abasourdi):
« — HEIN ! Vous plaisantez, j’espère, ma
sœur ? ! »
La sœur:
« — Pas du tout mon fils. Cela fait 50 ans
que je vis cloîtrée dans ce couvent, et jamais de ma vie
je n’ai eu l’occasion de voir ces choses de près. Soyez
charitable… »
Le camionneur (en baissant sa braguette):
« — Ainsi soit-il… »
La sœur:
« — Mon Dieu et… euh… je peux
toucher ? »
Le camionneur (n’en revenant pas et déjà émoustillé):
« — Eh bien… au point où on en est… allez-y, ma
sœur… »
La Sœur empoigne alors un testicule dans chaque main et
se met à les cogner l’un sur l’autre en criant:
« — Il est interdit
de faire pipi sur le mur du
couvent ! »
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3 moines Tibétains
se sont retirés pour méditer dans une grotte. Au bout de
2 ans, un cheval sauvage entre dans la grotte et en
ressort aussitôt.
2 ans plus tard, le 1er
dit:
« — Quel beau cheval blanc ! »
4 ans plus tard, le 2ème
dit:
« — D’abord il était pas blanc, il était
gris ! »
6 ans plus tard, le 3ème
dit:
« — Puisque vous faîtes que de vous engueuler,
je me casse ! »
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Haroun Tazieff
arrive devant St-Pierre qui le regarde d’un air embêté:
« — Mon cher Haroun, je te connais bien et je
sais que tu mérites le Paradis. Seulement voilà, j’ai
bien peur que ça ne te plaise pas trop, c’est un peu
calme ! Alors, à titre exceptionnel et parce que
c’est toi, je te propose la chose suivante: tu vas
d’abord faire une visite au Paradis puis une autre en
Enfer et ensuite tu viendras me dire ce que tu en
penses ! »
Haroun va donc au Paradis: en effet c’est bien calme,
température douce, paysage légèrement vallonné, du vert
partout, l’agneau endormi entre les pattes du lion, bref,
il faut bien le dire, pour un type comme Haroun c’est
plutôt rasoir…
Il descend ensuite faire un tour en Enfer: alors là,
génial ! De la lave brûlante partout, des geysers de
flammes, un vent qui lui décape le visage, une odeur de
soufre épouvantable, des crevasses vertigineuses, une
chaleur… infernale… bref, Haroun trouve ça super !
Il retourne vers St-Pierre.
« — Alors ? » lui demande St-Pierre,
un peu anxieux de sa réponse.
« — Eh bien, je ne sais pas qui a eu l’idée de
mettre le Paradis juste au-dessus de l’Enfer, mais
croyez-en mon expérience, avec ce que j’ai vu en bas,
avant 2 ou 3 éternités, tout va
péter ! »
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C’est une
religieuse qui rentre de plusieurs années passées, en
Afrique, dans un dispensaire de la Croix-Rouge. Elle
retrouve une de ses copines, religieuse elle aussi, et
elle lui raconte, des sanglots dans la voix:
« — Tu ne peux pas savoir ce qui m’est arrivé
là-bas… J’ai été kidnappée par un gorille. Il est venu me
prendre dans ma case un soir et m’a emmenée dans son
repaire. Et puis là… (elle pleure
maintenant) il m’a fait subir
les derniers outrages ! »
Alors sa copine lui dit compatissante:
« — Oh dis donc, c’est atroce. Tu dois être
extrêmement malheureuse… »
« — Tu peux le dire: depuis que ça s’est passé,
il ne m’a pas passé un coup de fil, pas envoyé de fleurs,
rien… »
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C’est un gars
très, très méchant, et très, très pingre qui meurt.
Naturellement, il est expédié directement en Enfer. Et
pendant les 15 jours qui suivent sa mort, il y est soumis
au régime infernal classique.
Cependant, le 16ème
jour,
il est expulsé de l’Enfer pour être accepté au Paradis.
Pendant 15 jours, il goûte au régime Paradisiaque
classique, et l’apprécie à sa juste valeur…
Jusqu’à ce que, le 16ème
jour
qui suit son arrivée au Paradis, on le réexpédie en
Enfer !
Là, le gars ne comprend plus et demande à parler à
St-Pierre:
« — Dites donc, St-Pierre, vous m’avez fait
sortir de l’Enfer, et puis maintenant vous voulez m’y
renvoyer ? ! Pourquoi ? »
« — C’est que, après ta mort, ta famille a fait
un chèque au curé de ton village, alors, on a estimé que
ta famille avait racheté un peu de tes péchés. »
« — Ah… Et dans ce cas-là, pourquoi vous me
renvoyez en Enfer maintenant ? »
« — Parce que le chèque était en
bois ! »
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L’abbé Nédictine,
en visite au couvent, voyant passer la Sœur Gabrielle et
son ventre protubérant:
« — Dites-moi Sœur Gabrielle, vous ne prendriez
pas un peu de poids en ce moment ? »
« — Oh non mon Père, ce n’est qu’un peu de gaz.
J’ai toujours beaucoup de mal à digérer le chou… »
Quelques mois plus tard, l’abbé Nédictine revient rendre
visite aux sœurs. Et voyant la sœur Gabrielle encore plus
engoncée dans sa tenue de religieuse, il lui demande:
« — Sœur Gabrielle, êtes-vous bien sûre de ne
pas grossir ces temps-ci ? »
« — Non, non, Mon Père, c’est qu’il y avait du
cassoulet ce midi au réfectoire, et vous savez que j’ai
tendance à digérer difficilement… » répond la sœur
Gabrielle en rougissant.
6 mois plus tard, l’abbé Nédictine passe à nouveau rendre
visite au religieuses. Et voyant la sœur Gabrielle en
train de pousser un landau de bébé, l’abbé Nédictine
s’approche, se penche vers le bébé et dit:
« — Oh le joli petit
pet ! »
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C’était du temps
où l’eau courante n’existait pas, du temps où pour
prendre le bain il fallait remplir la baignoire d’eau
chauffée sur le poêle. Et justement, aujourd’hui, c’était
le jour où le Père Soreille prenait son bain. Comme
toujours, une des sœurs de la communauté lui avait
préparé l’eau chaude et les serviettes. Pour cette fois,
c’était Sœur Marie, une toute nouvelle qui devait aider
le Père dans ses ablutions.
La mère supérieure avait prévenu sœur Marie: autant que
faire se peut, il ne faut pas regarder le Père Soreille
lorsqu’il est tout nu, et aussi, il faut faire ce que
demande le Père Soreille et prier…
Le lendemain matin, la Mère supérieure croise la jeune
sœur Marie sous le préau du couvent, et elle lui demande
comment s’est passé le bain du Père Soreille. La jeune
novice répond béatement:
« — Oh ma Sœur, merveilleusement bien: j’ai
obtenu le salut de mon âme ! »
« — Le salut ? ! Comment
cela ? »
« — Eh bien, pendant que le Père Soreille se
baignait, il m’a demandé de le laver. Puis pendant que je
le lavais, il a guidé ma main entre ses 2 jambes, là où,
a-t-il dit, le Seigneur garde les Clés du Paradis… »
« — Vraiment ? » répond la Mère
supérieure incrédule.
Et Sœur Marie continue:
« — Puis le Père Soreille a dit que si la clé
du Paradis ouvrait ma serrure à moi, alors la porte du
Paradis me serait ouverte à jamais, et je serai assurée
du salut et de la paix éternelle… Et à ce moment-là, le
Père Soreille a introduit sa clé du Paradis dans ma
serrure. »
« — Ah oui ? » relance la Mère
Supérieure un peu agacée.
« — Oui. D’abord, ça fait très, très mal, mais
le Père Soreille m’a dit que le chemin du Salut était
souvent pénible, mais que la Gloire de Dieu remplirait
bientôt mon cœur d’extase. Et c’est ce qui s’est passé
effectivement. Ça a été l’extase tout de suite après.
C’est pour ça que je dis que j’ai obtenu le salut de mon
âme. »
Alors la vieille soupire:
« — Ha, quel menteur ! Et pervers avec ça…
Il m’a dit à moi que c’était la Trompette de l’Archange
Gabriel, et j’ai soufflé dedans pendant
40 ans ! »
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C’est la Mère
Supérieure d’un couvent qui va voir un chirurgien
esthétique et lui dit:
« — Une de mes nonnes s’est fait violer hier
soir docteur. Pouvez-vous faire quelque
chose ? »
« — Mais… ma sœur, je suis spécialisé dans la
chirurgie réparatrice, je ne crois pas que… »
« — Justement, si vous pouviez lui enlever ce
sourire béat qu’elle a
depuis ! »
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Comment faire pour
qu’une nonne tombe enceinte ?
— En la déguisant en enfant de chœur !
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