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PROFESSEURS
CHERCHEURS
ÉTUDIANTS
INFORMATICIENS
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Un prof, un post-doc et un étudiant au PhD se promènent
(ils vont sûrement à un colloque) quand ils trouvent une
vieille lampe à huile qui se révèle être une lampe à
génie. Il leur offre un vœu à chacun. L’étudiant au PhD
demande à être envoyé à Hawaii sur Hobbie Cat 16 avec une
superbe hawaïenne nue et follement amoureuse de lui… Le
génie prononce 2, 3 formules et l’étudiant disparaît vers
un monde de volupté ! L’étudiant en post-doc lui
demande à partir en Suède dans un sauna particulier où il
serait le seul homme au milieu de nombreuses suédoises
folles de lui. Le génie prononce 2, 3 formules et
l’étudiant disparaît vers un monde de volupté ! Le
génie se tourne ensuite vers le prof et lui demande son
vœu. Le prof réfléchit un peu et dit: je souhaite que tu
me ramènes ces 2 imbéciles au labo
immédiatement…
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Ça se passe dans
une prison genre Alcatraz, mais en plein désert aride. Du
fait de son isolement et de sa localisation, elle a la
réputation de n’avoir jamais connu d’évasion. Un jeune
prisonnier vient d’arriver et on le place dans la même
cellule qu’un vieux briscard. Tout de suite, le jeune
détenu ne parle que d’évasion, et quelques mois plus
tard, il fait une tentative. Mais après une semaine, il
est repris. On le retrouve dans le désert, à moitié fou,
souffrant atrocement de la soif et de faim. Une fois
remis dans sa cellule, il décrit son calvaire à son vieux
compagnon de cellule: Du sable à perte de vue, aucun
point d’eau, un soleil écrasant, aucun signe de vie nulle
part… Le vieux prisonnier écoute un moment puis il dit:
« — Ouais, je sais tout ce que tu me dis. J’ai
essayé de m’évader moi aussi il y a 20 ans… »
Le jeune dit:
« — Quoi ? C’est vrai ? Pourquoi tu
ne me l’as pas dit durant tous ces mois où je préparais
mon évasion ? Pourquoi ne pas m’avoir dit tout de
suite que c’était impossible ? »
Et le vieux répond en haussant les épaules:
« — Et t’as déjà vu quelqu’un publier des
résultats négatifs ? »
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2 hommes se
déplaçant en ballon sont perdus dans le désert. Ils
aperçoivent un individu en train de méditer à l’ombre
d’un arbre.
« — Où sommes-nous, s’il vous
plaît ? » lui demandent-ils.
Après un long moment de réflexion, l’homme leur répond:
« — Dans un ballon. »
« — Merci, monsieur le mathématicien. »
L’homme demande étonné:
« — Comment avez-vous su que j’étais
mathématicien ? »
« — Pour 3 raisons, répondent les aéronautes.
1èrement,
vous avez beaucoup réfléchi avant de nous répondre.
2èmement,
votre réponse est très exacte. 3èmement,
elle ne sert à rien. »
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3 scientifiques, à
savoir: un physicien, un biologiste et un mathématicien
participent à une expérience un peu hors de l’ordinaire.
La 1ère
étape
consiste à se poster devant un maison vide de ses
occupants, attendre 15 minutes et y entrer seulement et
seulement si elle est vide. Or, au bout de
10 minutes d’attente, ils y voit un individu y
entrer. Quelques minutes plus tard, 2 individus en
sortent. Quelque peu perplexes, ils y vont de leurs
théories respectives. Le physicien:
« — Les données initiales étaient erronées. On
y entre ? »
Le biologiste:
« — Probablement un phénomène
d’auto-reproduction. Je crois qu’on peut y entrer. »
Le mathématicien:
« — Non, non, non, vous n’y êtes pas ! Il
n’y a qu’a attendre qu’un autre individu y entre, et
alors nous pourrons y entrer. »
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On rapporte une
anecdote concernant la vie de Von Neumann, grand
mathématicien Américain de ce siècle dont je tairai les
travaux par souci de bienséance. Comme tout personnage
reconnu doté d’un génie hors de la norme, notre
sympathique savant s’efforçait de ne consacrer aux
activités journalières qui nous préoccupent tous qu’un
minimum d’attention, qui tendait vers 0 lorsque “t”
tendait vers l’infini. Il arriva un jour qu’il devait
déménager, sa femme ayant géré toute l’opération depuis
son début, tint à indiquer à notre savant cosinus
l’adresse de leur nouveau home sweet home: elle la nota
soigneusement sur un bristol qu’elle glissa dans la poche
droite de son savant logarithme de mari. L’égérie du
génie laissa son protégé au matin non sans lui rappeler
qu’il quittait cette maison pour toujours. Mais ce qui
devait arriver arriva, et c’est là que les athéniens
s’éteignirent. Une géniale idée traversa le génial
cerveau du génial savant. La saisissant au vol, le savant
exponentiel la nota sur un bout de papier qui traînait
dans sa poche droite. Mais après avoir nettoyé ses
lunettes, la géniale idée devint bête comme choux et le
papier la supportant finit sa trajectoire parabolique
dans une corbeille heureusement placée. Le soir venu,
notre hyperbolique savant quitta son travail et rentra
chez lui. Comme vous l’avez tous deviné, il trouva porte
close. En plein désarroi, il accosta une petite fille qui
jouait à la marelle sur le trottoir.
« — Dis-moi petite, je suis monsieur Von
Neumann, j’habitais ici, est-ce que tu sais ou
j’habite ? »
« — Oui papa, maman m’a dit de venir t’attendre
ici. »
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Lors d’une
expérience, un ingénieur, un physicien et un
mathématicien sont enfermés chacun dans une pièce, avec
une boîte d’épinard, mais sans ouvre
boîtes. 24 heures plus tard, les portes de chacune des 3
pièces s’ouvrent… Dans la 1ère
pièce,
l’ingénieur est en train de dormir avec à côté de lui la
boîte de conserve toute cabossée, mais ouverte et vide.
On le réveille et on lui demande comment il a procédé. Il
explique:
« — Quand j’ai eu faim, j’ai pris la conserve
et j’ai tapé sur son point de moindre résistance. »
Dans la 2ème
pièce,
le physicien est lui aussi repu d’épinards. Il explique:
« — Quand j’ai eu faim, j’ai observé la boîte,
posé quelques équations et appliqué une forte pression
sur les points idoines, et la boîte s’est ouverte. »
Dans la 3ème
pièce,
le mathématicien est assis par terre dans un coin, la
boîte d’épinard à ses pieds et il marmonne en transpirant
à grosses gouttes:
« — Supposons que la boîte est ouverte,
supposons que la boîte est
ouverte… »
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Lors d’un grand
jeu télévisé, les 3 concurrents se trouvent être un
ingénieur, un physicien et un mathématicien. Ils ont une
épreuve à réaliser. Cette épreuve consiste à construire
une clôture tout autour d’un troupeau de moutons en
utilisant aussi peu de matériel que possible. L’ingénieur
fait regrouper le troupeau dans un cercle, puis décide de
construire une barrière tout autour. Le physicien
construit une clôture d’un diamètre infini et tente de
relier les bouts de la clôture entre eux jusqu’au moment
où tout le troupeau peut tenir dans le cercle. Voyant ça,
le mathématicien construit une clôture autour de lui-même
et se définit comme étant à
l’extérieur.
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INFORMATIONS
SCIENTIFIQUES:
Un nouvel atome
vient d’être découvert par MATERIALS RESEARCHERS at
IPRT/ISU. Ce nouvel atome, le plus lourd jamais
synthétisé a été nommé: Administratium. Il ne possède ni
électron ni proton mais un neutron, 125 assistants
neutrons, 75 vice neutrons, and 111 assistants vice
neutrons. Ce qui lui donne un masse atomique de 312. Ces
312 particules constituent un noyau dont la cohésion est
assurée par un échange continu de particules nommées
crétineries. Ne possédant pas d’électrons, Administratium
est totalement inerte. Cependant, il peut être détecté
chimiquement par sa propriété de ralentir toute réaction
chimique. Administratium a une durée de vie de 3 ans.
Au-delà il ne disparaît pas mais passe par un stade de
réorganisation durant lequel neutrons, vice neutrons, et
assistant vice neutrons échangent leurs places. Sa masse
atomique augmente à chaque réorganisation. Différents
chercheurs ont observé des créations spontanées
d’Administratium. Il tend à se concentrer dans certains
secteurs bien précis tel que administration d’État,
grande société et université. Les scientifiques ont
insisté sur le fait qu’Administratium est connu pour être
nocif quelque soit le degré de
concentration.
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Un chimiste, un
physicien et un économiste se retrouvent seuls sur une
île déserte après avoir fait naufrage. Ils craignent de
mourir de faim, mais, dans les débris du bateau, ils
trouvent une caisse remplie de boîtes de conserves. Nos 3
compères ne sont pas sauvés pour autant, car ils n’ont
pas d’ouvre-boîtes. Le chimiste leur propose:
« — Nous sommes entourés d’eau de mer, pourquoi
ne pas mettre les boîtes dans la mer ? En effet,
l’eau salée est corrosive, les boîtes vont rouiller et
nous pourrons alors manger leur contenu. »
Le physicien rétorque:
« — Non, ça prendra beaucoup trop de temps,
voyez plutôt, il y a ici une falaise de 13 m, comme
chaque boîte a une masse de 512 g, si on lâche les boîtes
sur les rochers depuis la falaise, le choc et l’énergie
qui en découle, fera éclater les boîtes et nous pourrons
manger leur contenu. »
Sur ce, l’économiste prend la parole:
« — Non, non, non, tout le contenu des boîtes
va s’éparpiller entre les rochers, se mêler au sable et
nous n’aurons quand même rien à manger, posons plutôt
l’hypothèse que nous avons un
ouvre-boîtes… »
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Des profs de math
et de physique étaient en grande discussion au cours de
la pause déjeuner: ils observaient par la fenêtre le
drapeau qui flottait au vent au bout d’un mat sur la
pelouse du lycée, et les paris allaient bon train sur la
hauteur de ce mât. Le prof d’éducation physique qui
passait par là leur dit:
« — Bah, laissez-moi faire ! Je vais vous
le mesurer votre mât. »
Et, disant cela, il sort sur la pelouse, retire le mât de
son socle, le pose par terre et le mesure au moyen d’un
mètre ruban. Puis il s’en retourne voir les collègues et
leur annonce:
« — Votre mât mesure exactement 6
mètres ! »
Le prof de physique le regarde goguenard et réplique:
« — Quel gros malin ce Robert ! On veut
connaître la hauteur et il nous donne la
longueur ! »
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2 mathématiciens
se retrouvent pour dîner au restaurant. Le sujet de leur
discussion concerne le niveau moyen de la population dans
le domaine des mathématiques. Le 1er,
un cynique, soutient que le niveau en math est on ne peut
plus bas, tandis que le second, un optimiste, prétend
qu’il est très, très bon.
« — Je vais te dire, dit le cynique, tu vas
poser à la serveuse une question toute bête. Si elle
donne la bonne réponse, c’est moi qui paie le repas.
Sinon, ce sera à toi de payer. »
Puis le cynique s’excuse et s’absente pour aller vidanger
sa vessie… L’autre en profite pour appeler la serveuse et
il lui dit:
« — J’ai fait un pari avec mon ami. Lorsqu’il
reviendra tout à l’heure, je vous appellerai à notre
table, et je vous poserai une question. À cette question,
vous répondrez “Un tiers de X au cube”. Si vous répondez
cela, il y a un billet de 100 F pour vous. »
La fille répond qu’elle est d’accord et vaque à ses
occupations. Le cynique revient ensuite des toilettes. Il
s’assied à la table et appelle la serveuse:
« — Mademoiselle, mon ami va vous poser une
petite question. Si vous voulez bien y répondre, dans la
mesure de vos possibilités… »
Et le 2ème
enchaîne:
« — Est-ce que, par hasard, vous connaîtriez
l’intégrale de X au carré ? »
La serveuse reste alors pensive un instant, puis répond
finalement:
« — Hum… Un tiers de X au cube ?
Non ? »
Alors le cynique sort son chéquier et remercie la
serveuse. La fille fait quelques pas, puis se retourne et
ajoute:
« — Plus une
constante. »
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Blagues
sur les Programmeurs (&
informaticiens)
Un architecte, un artiste et un programmeur discutent à
propos des femmes.
Ils se demandent quelle est la meilleure façon de passer
son temps: avec sa femme, ou avec sa maîtresse.
L’architecte dit que le temps qu’il passe avec sa femme
lui est précieux car il lui sert de fondation à une
relation qui durera dans le temps.
L’artiste dit qu’il préfère passer du temps avec sa
maîtresse, à cause de la passion et du mystère qu’il
trouve avec elle.
Le programmeur dit:
« — Moi, j’aime les 2. »
« — Les 2 ? » demandent l’architecte
et l’artiste.
« — Oui. Si vous avez une femme ET une
maîtresse, chacune d’elle pensera que vous êtes avec
l’autre lorsque vous n’êtes pas avec elle,… ça vous
permet d’aller au bureau pour continuer à
travailler ! »
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C’est un
mécanicien, un physicien et un informaticien qui ont
chacun une voiture. Aucun n’arrive à démarrer.
Le mécanicien démonte tout le moteur, vérifie et nettoie
toutes les pièces, remonte le tout et démarre. Le
physicien refait tous les calculs de résistance de
matériaux, de thermodynamique, d’allumage, etc., trouve
l’erreur et démarre.
L’informaticien sort de la voiture, ferme la portière,
l’ouvre, rentre dans la voiture et essaye de nouveau de
démarrer.
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« — Patron,
j’peux vous poser une question ? »
« — Bien sûr ! »
« — Tout les gens que je connais parlent
toujours des vacances, de leur temps libre, des week-end…
Comment ça se fait que je ne connaisse pas
ça ? »
« — Parce ce que tu n’aimerais pas. »
« — Mais ils disent que c’est mieux que le
travail. Ils disent qu’ils attendent toujours ça avec
impatience. »
« — Souviens-toi l’an dernier, quand le bureau
a fermé pendant une semaine… »
« — Quand ils ont remplacé toutes les
fenêtres ? Bien sûr que je me le rappelle, tu
parles ! Je n’ai pas pu toucher à un ordinateur
pendant une semaine… »
« — Eh bien les vacances, c’est comme
ça ! »
« — Oh… »
« — Et c’est pour ça que je te dis que tu ne
les aimerais pas. »
« — Mais tous les autres aiment ça,
pourtant ? »
« — Ah, mais c’est parce que ce sont des gens
normaux, pas des hackers. »
« — Oh oh… »
« — Allez, maintenant retourne travailler à ton
décompilateur ! Déjà qu’on en avait besoin la
semaine dernière… »
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Ce sont un
informaticien, un mécanicien et un chimiste qui sont dans
une voiture. Ils se promènent tranquillement quand tout à
coup, la caisse tombe en panne. Le mécanicien prend alors
la parole:
« — Je crois savoir d’où ça vient. Juste avant
le pépin, j’ai entendu un bruit caractéristique de
problèmes de glissement des pistons dans les cylindres.
Le torseur cinématique de l’ensemble ne pouvait plus
vérifier le principe fondamental de la dynamique (PFD),
si vous ajoutez à cela la contribution de la perte de
quantité de mouvement néfaste à cette vérification du
PFD, il est normal que ça ait pété. Il faut donc graisser
les pistons de façon à ce que les glissements
s’effectuent sans problème, et la voiture roulera à
nouveau. »
Entendant cela, le chimiste trouve qu’il a son mot à
dire:
« — Je suis désolé de ne point être de cet
avis-là. De mon côté, j’ai senti des émanations de
diméthyl-3 hexane quelques secondes avant que nous ne
tombions en panne. De plus, la combustion des gaz mêlés à
l’oxygène de l’air a été stoppée à cause d’un dérivé du
glycérol (venant sans doute des parois des cylindres) qui
n’aurait jamais du se diluer dans le mélange. Les
micro-explosions internes ont alors cessé, d’où l’arrêt
brutal du véhicule. Je suggère donc d’ajouter une huile
spéciale contenant un composé chimique qui empêchera au
glycérol de se diluer. Et on pourra
repartir ! »
Le mécanicien et le chimiste regardent l’informaticien et
attendent son avis. Ce dernier réfléchit un court
instant, et dit:
« — Ben, euh, c’est simple: je propose que nous
descendions tous les 3 de la voiture, et qu’on remette le
contact. »
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La programmation
en C++ chez les industriels, c’est comme le sexe chez les
adolescents:
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Les
10 commandements du programmeur:
ou:
Comment
Programmer sans stress.
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