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BONNES RÉSOLUTIONS
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Un type (qu’on appellera Marcel) se promène en ville quand il aperçoit son vieux copain Gérard, qu’il n’a pas revu depuis des années. Il se précipite vers lui et l’apostrophe (comme dirait Bernard Pivot).
« — Salut Gérard, ça fait une paie ! Qu’est-ce que tu deviens ? »
« — Salut Marcel. Ben entre autres, je suis marié depuis 2 ans. »
« — Sacré Gérard ! Et qu’est-ce que tu fais comme boulot ? »
« — Je bossais dans une boîte d’informatique, mais je me suis fait virer la semaine dernière.
« — Aïe, sale coup. Et ça va, tu tiens le choc ? »
« — Ouais, je dors comme un bébé. »
« — Ah, bon… tant mieux ! Faut que j’y aille, là, mais on se revoit bientôt, hein. »
« — Sans doute. »
2 mois après, Marcel recroise Gérard dans un café et lui offre un verre.
« — Alors, toujours sans job. »
« — Ouais, toujours. »
« — Au moins, ça te laisse du temps à passer avec ta femme. »
« — Elle m’a plaqué avant-hier. »
« — Ouille, vraiment désolé, vieux. »
« — Pas de quoi. »
« — Tu sais, si je peux faire quoi que ce soit pour toi. »
« — Non, je t’assure, Marcel, je dors toujours comme un bébé. »
« — Si tu le dis… »
Les 2 amis se quittent et, un mois plus tard, Marcel invite Gérard à manger chez lui. Au cours du repas, Marcel s’enquiert de la situation de Gérard.
« — Toujours sans travail ? »
« — Tu sais ce que c’est, même les jeunes ne trouvent plus de boulot, aujourd’hui. »
« — Et tu as des nouvelles de ta femme ? »
« — Elle vient de demander le divorce pour pouvoir se remarier avec mon ex-patron. »
« — Ah !
(Marcel, très gêné, essaie de changer de sujet) Et tes parents vont bien ? »
« — Ils sont morts dans un accident d’avion, il y a 5 jours. »
« — C’est pas vrai ! Toutes mes condoléances, mon vieux. Si je peux t’aider à supporter… »
« — Pas la peine, je te dis que je dors comme un bébé. »
« — Mais enfin ! Je ne te comprends pas. Il ne t’est arrivé que des trucs affreux en moins de 4 mois et tout ce que tu trouves à dire c’est “Je dors comme un bébé”. Mais comment tu fais ? »
« — C’est simple: je dors une heure, je pleure une heure, je dors une heure… »

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C’est une p’tite nana qui sort avec un p’tit mec pour la 1ère fois. Elle lui dit (à son amoureux):
« — Tu sais, ma mère m’a fait JURER de répondre “Non” à toutes tes demandes. »
« — Ah… Alors, est-ce que tu vois une objection à ce que je t’embrasse ? »
« — Non… »
(et un peu plus tard)
« — Et ça t’embête, si je t’enlève ta blouse ? »
« — Non… »

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2 vieux amis se rencontrent après plusieurs années sans s’être vus. Ils discutent à la terrasse d’un café et dans la conversation, l’un dit à l’autre:
« — Ta femme est toujours aussi jolie ? »
L’autre lui répond:
« — Oh oui, ça lui prend juste un peu plus de temps. »

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C’est un type qui part chasser dans une région reculée. On lui a appris qu’il y avait des ours là-bas alors, fusil sous le bras, il s’enfonce dans la forêt. Au bout d’un moment, il tombe sur un super-grizzly ! Il se planque dans les fourrés, le vise soigneusement et tire ! Ça fait un gros nuage de fumée, et quand il se dissipe, il voit un ours, en train de se frotter les ongles sur sa fourrure, appuyé contre un arbre…
« — Euh, dis donc toi, dit l’Ours. Je sais pas si t’es au courant, mais ici, quand on a foiré son tir, ben on le paie… »
« — ? »
« — Ben ouais, alors tu baisses ton froc et tu te fous à 4 pattes… »
Évidemment le type n’est pas content du tout, mais le grizzly est vraiment énorme et, entre ça ou se faire décapiter, hein…
Le type rentre au village du coin, pas jouasse et se précipite dans la 1
ère armurerie.
« — Alors là, je voudrais un fusil mitrailleur ! Un GROS avec plein de munitions ! Je vais lui péter la gueule à c’t’Ours ! »
Il repart aussi sec en forêt, traque l’Ours pendant 2 jours et finalement le repère. Le chasseur s’aplatit dans les fougères et quand l’ours est à côté, l’arrose avec le fusil mitrailleur. 320 balles partent, ça fait un boucan du tonnerre, pulvérise 30 fougères et 3 troncs d’arbre et quand la fumée se dissipe…Il voit l’Ours, assis, zen, sur les restes d’une souche…
« — Ah ben, je te reconnais toi ! Bon, tu connais le tarif, c’est pas la peine que je te fasse un dessin… »
Et de 2… Le chasseur, un peu à bout de nerf, retourne à l’armurerie et balance toutes ses cartes de crédit sur la table.
« — Vous me donnez un char ! Un Leclerc, le plus gros ! »
Et le mec repart en forêt… Retombe sur l’Ours.
Il prend son temps, l’ajuste et lui balance un obus. ça vaporise 300 mètres cubes de la colline, un camp de scouts, des arbres, ça fait un nuage gros comme le Nebraska…et quand la poussière est retombée, il voit l’Ours…, assit au milieu du cratère… Alors l’Ours le regarde, se gratte la tête et lui dit:
« — Euh, dis donc toi… Tu serais pas un peu pédé des fois… ? »

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2 touaregs se croisent dans le désert sur leur chameau.
« — Eh, t’as vu le nouveau Cheikh ? »
« — Ouais, je peux pas l’encaisser ! »

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« — Eh ! T’es pas en train de faire de la masturbation intellectuelle ? »
« — Oh non ! Je préfère l’autre: c’est meilleur, et au moins on sait quand on a fini ! »

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C’est un type qui va en Afrique chasser le gorille avec un guide. Un beau matin le guide arrive avec un filet, un chien et un fusil et lui dit:
« — Ce matin, on va capturer un gorille, je t’explique la technique: on repère un arbre où il y a un gorille, je monte dedans, je secoue l’arbre, le gorille tombe et là le chien (qui est dressé pour ça) le mord aux couilles, ça paralyse le gorille et tu n’as plus qu’à le capturer au filet. »
« — OK, mais, le fusil, c’est pourquoi faire ? »
« — Si c’est moi qui tombe, tu tues le chien. »

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Un jeune Indien arrive à l’âge de la cérémonie d’initiation, celle après laquelle il pourra dignement figurer parmi les guerriers de sa tribu. Les shamans se réunissent pour décider épreuves que le jeune Aigle-Au-regard-perçant-à-la-Force-De-Bisonmais-Aussi-stupide-qu’une-poule devra traverser. Le shaman annonce:
« — Hugh ! Tes épreuves seront au nombre de 3:
Vider d’un seul trait un tonneau d’eau de vie !
Tuer à main nues un ours des montagnes !
Parvenir à violer la belle squaw indomptable Dame-Renard !
Wow ! J’ai parlé ! »
Le jeune Indien attrape le tonneau d’eau de feu et le vide d’un trait. Il se tambourine sur la poitrine et part en titubant vers la forêt à la recherche d’un ours. Toute la nuit durant, les montagnes résonnent des hurlements rauques mêlés du jeune homme et de la bête. Au matin Aigle-Au-regard-etc… revient au village, un peu égratigné, et annonce d’une voix virile:
« — Qu’on m’amène maintenant cette squaw que je dois tuer à mains nues ! »

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C’est l’histoire d’un type qui va cambrioler un appartement. Il est là avec sa lampe de poche en train de fouiller dans les tiroirs, lorsque tout à coup il entend un voix derrière lui:
« — Jésus et Marie te regardent ! »
Surpris, le cambrioleur se retourne, et de nouveau la voix:
« — Jésus et Marie te regardent ! »
Avec sa lampe de poche, le voleur essaie de repérer d’où vient cette voix, lorsqu’il voit un perroquet sur un perchoir.
« — Jésus et Marie te regardent ! » dit le perroquet.
« — Ha ! C’est toi qui a dit ça, espèce de sale perroquet ! »
« — Oui, c’est moi, Napoléon le perroquet: Jésus et Marie te regardent ! »
« — Tais-toi ! Et puis d’abord Napoléon, c’est pas un nom de perroquet ! »
« — Jésus et Marie non plus, c’est pas des noms de dobermans, et pourtant ils te regardent ! »

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Un Texan et un Français sont dans un train, assis l’un en face de l’autre. Ils se dévisagent avec curiosité. L’Américain est l’archétype du parfait cow-boy. La chemise à carreaux, le chapeau, les bottes, la totale. Le Français est tout ce qu’il y a de plus moyen, avec son béret. Au bout d’un moment, le Texan lâche une volée de petits crachats, qui viennent dessiner une auréole parfaite autour de la tête du Français, et il dit:
« — Smith,… John Smith, champion du monde professionnel de crachat 1995, je suis même dans le livre des records. »
Après une légère hésitation, le Français envoie un gros mollard en pleine figure du Texan, et lui répond:
« — Dupont, Jean. Amateur. »

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James Bond se rend dans une soirée. Très vite, il s’aperçoit que c’est ringard et plein de beaufs. Mais comme c’est la grève de la SNCF de la RATP et des Postes réunies et qu’il sait qu’il mettra au moins 2 h à trouver un taxi, il se dit:
« — Bon, j’ai perdu ma soirée, autant ramener une grosse conne plutôt que rien du tout, pour tirer un coup. »
Sur ce, il repère la fille qui a l’air d’être la moins beauf de la soirée et se présente.
« — Bonsoir, je me présente: Bond, James Bond ! »
La fille, un peu interloquée:
« — Bonsoir. Moi, c’est Monde, Ray Monde. »

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Dans la vie, il faut avoir des couilles au cul, mais tant qu’à faire autant que ce soit les siennes.
Louis Jouvet

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C’est un Marseillais qui se promène en bateau, et un jour il fait naufrage et se retrouve sur une île déserte… Au bout de 3 ans, il voit apparaître un bateau à l’horizon… Il allume un feu, fait des grands signes… ça marche ! Le bateau s’approche de l’île et… le bateau s’appelle La Canebière, c’est des paysss ! Les gars le recueillent…
« — Ça fait 3 ans que t’es ici ! T’as pas dû t’amuser ! 3 ans sans boire un pastaga, hou là ! »
« — Oh oui, peuchère ! »
« — Aller, va, on t’offre un pastis… »
Et il boit le Pastis (du Janot en plus).
« — Ça fait 3 ans que t’as pas mangé de bouillabaisse ? »
« — Oui, 3 ans… »
Et le cuistot fait une magnifique bouillabaisse, comme là-bas dis… Il mange la bouillabaisse.
« — Alors, ça fait aussi 3 ans alors, que t’as pas tiré ? »
« — Oh, les copains, c’est pas vrai ! Vous avez amené les boules ? ! »

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C’est Chirac qui se rend sur la tombe de De Gaulle. Il est devant la tombe lorsqu’il entend la voix du Général qui lui dit:
« — Amène-moi un cheval ! »
Chirac est un peu étonné mais repart sans rien faire. Quelque temps plus tard, il revient sur la tombe et entend la même voix qui redemande:
« — Amène-moi un cheval ! »
Là, Chirac commence à s’inquiéter quand même et décide d’en parler avec Juppé. Juppé ne le croit pas et demande à voir ou plutôt entendre par lui-même. Il se rendent tous les 2 sur la tombe de De Gaulle, et là on entend la voix du général:
« — Jacques, je t’avais demandé un cheval, pas un âne ! »

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Un ancien soldat Allemand de la 2ème guerre mondiale revient dans un village Français ou il était affecté. Il rentre dans un bar, et engage la conversation avec la table voisine.
« — Ach ! La kerre, kross malheur cette kerre. J’étais stationné ici pentant la seconde kerre montiale. »
Et, à la table d’à côté, il y a un vieux sourd comme un pot, avec un jeune…
« — Qu’est-ce qu’il dit ? » fait le vieux.
« — Il dit que la seconde guerre mondiale était un malheur ! » rétorque le jeune.
« — Ja, mais fotre fillage est magnifique. Je le connaissais très pien. »
« — Comment ? » fait le vieux.
« — Il dit qu’il connaît bien le village, il y était… »
« — Mais alors, fait le vieux, il connaît sûrement Pierrette Dupuis ? »
« — Ach, ja ! Pierrette Dupuis, ja… Un frai folcan, cette femme. Ich habe un exzellent soufenir. »
« — Quoi ? » fait le vieux.
« — Il dit qu’il connaît bien Maman, Papa ! »

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C’est l’histoire d’un bègue qui trouve un jour un cheval mort dans la rue, juste en face d’où il habite, Il décide de téléphoner au commissariat…
« — Bbb.bbb.bbb…bonjj jj…bonjour ! C’est… c’est… c’est… c’est l’co.co…co… commisss… missariat ? »
« — Allô ? Oui, c’est bien le commissariat. Que voulez-vous ? »
« — Y.y.y…y’a un che.che.che.cheval mm.mm. mm.mort à la rr…rr.rrue Gaga…Ga.Gaga.Gaga… »
« — À la rue Garibaldi ? »
« — Nnnon ! À la rr…rr.rrue Gaga… Ga.Gaga. Gaga… »
« — Bon, écoutez: je n’ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée ! »
5 minutes plus tard, le téléphone sonne à nouveau chez les flics:
« — Bbb.bbb.bbb…bonjj jj…bonjour ! C’est… c’est… c’est… c’est l’co.co… co… commisss… missariat ? »
« — Allô ? Oui c’est bien le commissariat. Que voulez-vous ? »
« — Y.y.y…y’a un che.che.che.cheval mm.mm.mm.mort à la rrrr.rrue Gaga…Ga… Gaga.Gaga… »
« — À la rue Garibaldi ?
« — Nnnon ! À la rr…rr.rrue Gaga…Ga… Gaga. Gaga… »
« — Bon, écoutez: je n’ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée ! »
Puis encore 5 minutes plus tard, le téléphone re-resonne chez les flics !
« — Bbb.bbb.bbb…bonjj jj…bonjour ! C’est…c’est …c’est… c’est l’co.…co…commisss…missariat ? »
« — Allô ? Oui c’est bien le commissariat. Que voulez-vous ? »
« — Y.y.y…y’a un che.che.che.cheval mm.mm. mm.mort à la rr…rr.rrue Gaga…Ga.Gaga.Gaga… »
« — À la rue Garibaldi ? »
« — Nnnon ! À la rr…rr.rrue Gaga…Ga.Gaga. Gaga… »
« — Bon, écoutez: je n’ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée ! »
Enfin, UNE HEURE PLUS TARD:
Re-belote !
« — Bbb.bbb.bbb…bonjj jj…bonjour ! C’est… c’est… c’est… c’est l’co.co… co…commisss …missariat ? »
« — Allô ? Oui c’est bien le commissariat. Que voulez-vous ? »
« — Y.y.y…y’a un che.che.che.cheval mm.mm. mm.mort à la rr…rr.rrue Gaga…Ga.Gaga.Gaga… »
« — À la rue Garibaldi ? »
« — Ouiiiiiii ! À la rr.rrue Gaga…Ga.Gaga. Garibaldi ! »
« — Mais il fallait nous le dire plus tôt ! Enfin, pourquoi avoir attendu aussi longtemps ? »
« — Il a f.ff.ffallu qu.qq.q.que j. je. jj.j que jj. que je le déplace ! »

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Un ministre Africain vient en voyage officiel en France, et se fait inviter à dîner chez son homologue Français. En voyant la somptueuse villa de ce dernier, et toutes les toiles de maître aux murs, il lui demande comment il peut bien s’assurer un tel train de vie avec sa paye somme toute modeste de serveur de la République. Le Français l’entraîne près de la fenêtre:
« — Vous voyez l’autoroute là-bas ? »
« — Oui. »
« — Elle a coûté 20 milliards, l’entreprise l’a facturée 25 et m’a versé la différence. »
2 ans plus tard, le ministre Français est en voyage officiel en Afrique et rend visite à son homologue. Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il n’en avait encore jamais vu. Stupéfait, il demande:
« — Mais je ne comprends pas, il y a 2 ans vous trouviez que j’avais un train de vie princier, mais par rapport à vous… »
Le ministre Africain l’entraîne près de la fenêtre:
« — Vous voyez l’autoroute là-bas ? »
« — Non ! »
« — Ben voilà ! »

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Un richissime Américain vient s’encanailler à Paris, ville dont un de ses potes a (discrètement) vanté les charmes sulfureux lors du dernier congrès conservateur. Il débarque à Orly, il saute dans un taxi:
« — Haille, monsieuw, voudrwiez-vo condouiwre moi à Pigalle, please ? »
Le chauffeur acquiesce et hop. Arrivé, il écarquille et finalement choisit. Blonde, mignonne, bien roulée, pas trop vulgaire, mais on sent l’efficacité. Un bon choix, quoi.
« — Haille ! C’est combwien ? »
« — 300, pour toi, mon chou. »
« — O.K. ! Let’s go ! »
À peine arrivé dans la chambre borgne, suivant la fille, il ferme vigoureusement la porte, donne un tour de clef, et extirpe un gigantesque 44 Magnum chargé jusqu’à la gueule (la fille pâlit méchamment):
« — Well ! À pwoil, maintenant ! »
Elle se dessape fissa.
« — All right, retouwrne yourself ! »
Elle s’exécute.
« — Penche-toi en avant (bend over !) ! »
Il lui colle alors le canon de l’arme derrière l’oreille, et d’un coup, crac, sodomise la pauvrette apeurée (elle est au bord de la syncope). Après avoir fait sa petite affaire, il remballe sérieusement son attirail, range le flingue, sort 300 dollars (!) de sa poche, les donne à la fille, ouvre la porte et s’en va tranquillement. Martine, se remettant de ses émotions et ne comprenant plus rien, lui court après:
« — Eh ! Monsieur ! J’ai droit à une explication, non ? Dites-moi, peut-être que cela ne se fait pas chez vous, mais ici, par derrière, c’est courant. Pourquoi avoir sorti le revolver ? »
Il s’arrête, la regarde gentiment, sourit et lui répond:
« — Well. Tou say, si je avais pas sowrti le wrevolvewr, ton twrou, il auwrait été gwros comme ça ! »
(avec un geste mimant une assiette)

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Jack un jeune londonien, reçoit une mignonne Française en séjour d’échange linguistique. Après une journée de visite des rues de Londres, son père lui demande:
« — Jack, qu’as-tu appris aujourd’hui avec Corinne ? »
« — J’ai appris le nom des doigts de la main. »
« — Alors je t’écoute… »
« — Le pouce, l’index, la plaisanterie, l’annul… »
« — Hey Jack, ce n’est pas la plaisanterie, mais le majeur ! »
« — Et pourtant, dans le cinéma, Corinne m’a dit: “Jack, tu ne trouves pas que tu pousses la plaisanterie trop loin ?” »

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Un employé se rend au bureau du responsable des paies et lui montre son chèque:
« — Il manque vingt dollars sur mon chèque du mois ! » dit-il.
« — C’est exact, mais tu oublies que tu as reçu vingt dollars de trop la semaine dernière. C’est curieux, mais tu ne t’es pas plaint à ce moment-là ? »
« — Une erreur, ça va, je peux passer dessus, répond le gars, mais pas 2 d’affilée ! »

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C’est l’histoire d’un mec qui vient de se marier. Si pour lui, la vie à 2 est une expérience nouvelle, on ne peut pas en dire autant de sa dulcinée qui en est déjà à son 5ème mariage. Mais l’homme est très surpris le 1er soir au lit car il s’aperçoit que sa femme est vierge…
« — Dis donc chérie, ils étaient si moches que ça tes précédents maris ? »
« — Non, pas du tout. Je vais t’expliquer:
•Le 1
er, c’était un pianiste, alors tu comprends ces artistes: tout avec les doigts…
•Le 2
ème, c’était un communiste, alors tu vois: des promesses, des promesses, des promesses…
•Le 3
ème, c’était un avocat: des paroles, des paroles, des paroles… »
« — Et le 4
ème ? »
« — C’était un socialiste. »
« — Et alors ? »
« — Et ben, je l’ai eu dans le cul ! »

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Une dame voulant se marier pour la 4ème fois, va s’acheter une robe de mariée. La vendeuse lui rappelle qu’elle ne peut pas porter une robe blanche, puisqu’elle s’est déjà mariée 3 fois. Elle répond:
« — Bien sûr que je peux, je suis toujours vierge ! »
La vendeuse lui répond:
« — Impossible ! »
Et la dame dit:
« — Et non, c’est vrai: mon 1
er mari était psychologue, et tout ce qu’il voulait c’était en parler. Le 2ème était gynécologue, il ne voulait que regarder. Et le 3ème, ah le 3ème… Il était philatéliste, ah mon Dieu, comme il me manque ! »

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Ça se passe en 81 juste après l’élection de Mitterand. Et Pierre Maurois, le nouveau Premier Ministre et maire de Lille va visiter une école à Roubaix (Ch’est dans ch’Nord). Donc, la maîtresse, pour ne pas être prise au dépourvu, demande à tous les élèves de dire ce qu’ils voudraient raconter à Pierre Maurois. Vient le tour de Cafouniet.
Cafouniet’:
« — Moi, m’dame, ma chatte vient d’avoir 5 petits, et ils sont tous socialistes ! »
La maîtresse:
« — Ah, très bien, ça va sûrement intéresser M. Maurois… »
Le jour tant attendu, Pierre Maurois est dans la classe, et il interroge les petits. Arrive le tour de Cafouniet’:
Cafouniet’:
« — Moi m’sieur, j’ai 5 petits chats, dont 3 socialistes… »
La maîtresse:
« — Mais, tu avais dit qu’il y en avait 5 ! »
Cafouniet’:
« — Oui, mais il y en a 2 qui ont ouvert les yeux ! »

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Un Indien entre dans un bar et demande:
« — Hug ! Moi Indien. Moi vouloir boisson forte ! »
Alors le barman lui sert un verre de bière.
Le lendemain, l’Indien se représente:
« — Hug ! Moi Indien. Moi vouloir boisson plus forte qu’hier ! »
Alors le barman lui sert un verre de whisky. Le lendemain, l’Indien se représente:
« — Hug ! Moi Indien. Moi vouloir boisson plus forte qu’hier ! »
Alors le barman lui sert un verre de Caribou.
Le lendemain, l’Indien se représente:
« — Hug ! Moi Indien. Moi vouloir boisson plus forte qu’hier ! »
Alors le barman n’en revient pas et lui sert un verre de 94%. Le lendemain, l’Indien se représente:
« — Hug ! Moi Indien. Moi vouloir boisson plus forte qu’hier ! »
Alors le barman lui dit d’attendre un peu, descend à la cave, va chercher du décapant à meuble et lui en sert un verre. Le lendemain, l’Indien se représente:
« — Hug ! Moi Indien. Moi vouloir verre d’eau ! »
Alors le barman fort étonné lui demande se qui s’est passé.
« — Hug ! Moi Indien. Hier, quand moi pisser, moi brûler mocassin ! »

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Pendant un vol transcontinental, un passager proche d’un hublot s’aperçoit que 2 des moteurs de l’avion sont en feu. Il commence à crier:
« — LES MOTEURS SONT EN FEU ! »
Et rapidement la panique gagne tous les passagers. À ce moment-là, le pilote apparaît dans le compartiment passagers avec un parachute attaché sur son dos et dit:
« — Ne vous en faites pas, je m’en vais chercher du secours ! »

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Une belle voiture traverse le pont de Tancarville. Au bout du pont, un motard de la Gendarmerie est au milieu de la route et fait signe au conducteur de s’arrêter. Le gendarme presse poliment tous les occupants de la voiture de descendre. À ce momentlà, le conducteur baisse sa vitre et demande:
« — Que se passe-t-il ? »
Le gendarme répond:
« — Toutes mes félicitations ! Vous êtes le conducteur idéal. Cela fait plusieurs heures que nous vous suivons, et votre conduite a été irréprochable. La gendarmerie Nationale a donc décidé de vous attribuer le prix du meilleur conducteur. C’est-à-dire un prix d’un montant de 10 000 F. »
Le conducteur, rassuré sur son sort répond :
« — Formidable alors ! »
Au moment de remettre l’argent au conducteur, et de faire quelques photos, les journalistes présents demandent:
« — Qu’allez-vous faire de tout cet argent ? »
Le conducteur, encore euphorique, répond:
« — Peut-être que je vais pouvoir me payer les leçons pour passer le permis de conduire maintenant ! »
La femme du conducteur le reprend:
« — Ne l’écoutez pas, Monsieur, il ne sait pas ce qu’il dit, il a bu ! »
Et le grand-père, à l’arrière, ajoute:
« — Je savais bien qu’on n’aurait que des ennuis à rouler dans une voiture volée… »
(Fernand RAYNAUD)

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Sur la RN 89, à la sortie de Bordeaux, un couple de flics arrête une automobile…
Un des flics:
« — Pourquoi votre ceinture n’est pas attachée ? »
« — Mais elle l’était… Je viens juste de la détacher parce que vous nous avez arrêtés ! »
« — Arrêtez s’il vous plaît… Vous avez plutôt fait semblant de l’attacher ! »
« — Mais non… je vous certifie que je l’avais. Demandez à ma femme… »
Ce que fit le 2
ème flic…
« — Je suis désolée, Monsieur l’agent… Mais je ne discute jamais avec mon mari quand il a bu ! »

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C’est un gars qui est en voyage dans un pays d’Afrique. Il a vraiment besoin de faire sa grosse commission et recherche désespérément des toilettes. À sa grande surprise, il trouve des toilettes publiques… Il rentre à l’intérieur en pinçant son nez, mais après tout il se dit qu’il fera bien avec l’odeur… Après s’être libéré de son fardeau, il regarde partout autour de lui: Pas de papiertoilettes. À la place sur le mur, un pictogramme est légendé en plusieurs langues (dont le Français) et ça dit:
« — Pas de papier. Utilisez votre doigt, puis introduisez-le dans l’orifice de ce côté pour le nettoyage ! »
Le gars s’essuie consciencieusement avec son doigt, introduit dans l’orifice indiqué, et se le fait aplatir par un bon coup de marteau !
« — Ouïlle ! » crie le gars, avant d’introduire le doigt dans sa bouche par réflexe !

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C’est un type qui rentre dans une grande brasserie. Il s’assied à une table, et tout en s’asseyant, il fait tomber la cuiller qui était disposée à sa table. Le garçon, ayant entendu le bruit de la cuiller, vient illico lui remplacer par une toute nouvelle qu’il sort de sa poche. Le client, impressionné par la rapidité du serveur, lui dit:
« — Est-ce que tous les serveurs emmènent une cuiller dans leur poche ? »
Le serveur répond:
« — Un rapport d’audit a démontré que 25% des clients faisaient tomber leur cuiller par terre en s’asseyant à leur table. Un expert en efficacité hôtelière nous a donc conseillé de porter sur nous en permanence une cuiller de rechange afin d’économiser un voyage en cuisine. »
À la fin du repas, comme notre client demandait son addition, il remarque un détail sur la tenue du serveur:
« — Excusez-moi mais, pourquoi avez-vous une ficelle qui pend de votre gilet ? »
Le serveur lui répond:
« — C’est toujours notre expert en efficacité: il a déterminé que l’on passait trop de temps à laver nos mains après avoir été aux toilettes… La ficelle est donc attachée à mon pénis, et quand je dois aller uriner, j’utilise la ficelle. De cette manière, je n’ai pas à le toucher, et donc je n’ai pas à me laver les mains. »
Le client lui répond:
« — Ah oui, c’est très bien… Mais dites-moi, comment faites-vous lorsque vous avez terminé pour faire rentrer votre pénis dans votre pantalon ? »
Le serveur répond:`
« — Je ne sais pas comment font les autres serveurs, mais personnellement, j’utilise la cuiller ! »

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Ça se passe en Grèce dans la région des Météores, là où l’on trouve ces monastères perchés tout en haut de rochers, complètement inaccessibles par les moyens classiques. Le seul moyen d’accéder au monastère est de monter dans un panier suspendu qui sera tiré en haut par plusieurs moines… Un touriste qui voulait aller voir comment c’était là haut, monte dans la nacelle et se fait treuiller. À miparcours, ayant certainement le vertige, il panique un peu et son regard se porte sur la corde qui tracte la nacelle. Il remarque que c’est une vieille corde et qu’elle commence à s’effilocher. Alors d’une voix tremblante, il s’adresse au moine qui l’accompagne et lui demande s’ils changent souvent la corde de la nacelle. Et le moine répond:
« — À chaque fois qu’elle casse… »

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Un type en voyage en Espagne entre dans un restaurant. Il consulte le menu et commande des “roupettas”, bien que ne sachant pas ce que c’est. Le serveur lui amène 2 grosses boules noires nappées d’un sauce exquise. Après avoir dégusté son repas, il demande au serveur ce que c’est.
« — Voyez-vous, il y a une corrida juste à côté. Lorsque le taureau est tué on récupère les morceaux que l’on apprête. Les “roupettas” sont les couilles du taureau. »
« — Mais c’est absolument délicieux ! » répond le type.
Un an plus tard, au cours d’un autre voyage, il décide de retourner au même restaurant. Il commande un plat de “roupettas”. Le serveur lui amène un plat contenant 2 petites boules dans leur sauce.
« — Roupettas ! »
« — Mais, l’an dernier, les boules étaient immenses ! »
Le serveur lui répond:
« — Vous savez, dans une corrida, ce n’est pas toujours le taureau qui perd ! »

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Il y a 3 sortes de personnes au monde:
— Celles qui savent compter, et celles qui ne savent pas.

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Qu’est-ce qui a 2 000 pattes, et pas de poil sur le sexe ?
— Les 2 premiers rangs d’un concert de Patrick Bruel.

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Une pour ceux qui aiment le golf…
Éric et Sarah sont dans leur chambre d’hôtel et se préparent à consommer leur mariage.
Sarah dit:
« — Je dois te dire une chose avant qu’on aille au lit: J’ai déjà fait l’amour avec un autre homme avant de te rencontrer. »
Éric réfléchit une minute et dit:
« — Ce n’est pas grave, qui était-ce ? »
« — Severiano Ballesteros, le fameux golfeur ! »
Et les voilà dans le lit où ils se paient du bon temps. Ensuite Éric sort du lit et enfile son caleçon…
« — Qu’est-ce que tu fais ? » demande Sarah.
« — J’avais l’intention de m’habiller et de faire un peu de café. »
Sarah dit:
« — Severiano n’aurait jamais fait ça ! »
« — Non ? demande Éric, qu’est-ce qu’il aurait fait alors ? »
« — Il serait retourné au lit et aurait remis ça ! »
« — Bon d’accord ! Allons-y ! »
Ils se paient alors à nouveau du bon temps, et ça dure un peu plus longtemps aussi.
À la fin, Éric sort du lit et enfile son caleçon…
« — Qu’est-ce que tu fais ? » demande Sarah.
« — J’avais l’intention de m’habiller et de faire un peu de café. »
Sarah dit:
« — Severiano n’aurait jamais fait ça ! »
« — Non ? demande Éric, qu’est-ce qu’il aurait fait alors ? »
« — Il serait retourné au lit et aurait remis ça ! »
Éric grimpe dans le lit, et se lance dans un vrai marathon. Ayant terminé, il sort du lit et luttant contre la fatigue et le sommeil, essaie d’enfiler son caleçon.
« — Qu’est-ce que tu fais ? » demande Sarah.
« —  J’avais l’intention de m’habiller et de faire un peu de café. »
Sarah dit :
« —  Severiano n’aurait jamais fait ça ! »
« — Non ? demande Éric, qu’est-ce qu’il aurait fait alors ? »
« — Il serait retourné au lit et aurait remis ça ! »
Éric va à la table de nuit et décroche le téléphone: « — Qui appelles-tu ? » demande Sarah.
« — Severiano Ballesteros. Je veux savoir en combien de par se fait ce bon Dieu de trou ! »

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Roger travaille dans une conserverie de légumes industrielle. Ça fait quelques années déjà qu’il fait ce boulot, et un jour, il fait une confidence à sa femme: Son fantasme est de coller son pénis dans la trancheuse de légumes. Sa femme lui conseille alors d’aller voir un psychiatre, mais Roger dit qu’il serait trop gêné d’avouer ça à quelqu’un d’autre qu’elle. Quelques semaines plus tard, Roger rentre à la maison, il est tout pâle. Sa femme s’en rend compte et lui demande ce qui ne va pas.
« — Tu te souviens, je t’avais parlé de mon envie folle de mettre mon pénis dans la marineuse de légumes ? »
« — Oh Roger, ne me dis pas… »
« — Si, je l’ai fait ! »
« — Mon Dieu Roger, et qu’est-ce qu’il est arrivé ? »
« — Je me suis fait virer. »
« — Oh non… Et qu’est-ce qu’ils ont fait avec la trancheuse de légumes ? »
« — Oh… ils l’ont virée elle aussi. »

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Que se passe-t-il dans un bordel lorsqu’il y a le feu ? — Les femmes sont paniquées et chez les hommes c’est la débandade.

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C’est un gars qui va consulter le médecin pour un petit problème. L’homme:
« — Vous voyez docteur [PROUT], j’ai ce terrible problème [PROUT] qui m’embarrasse [PROUT] vraiment: Où que j’aille je ne peux contenir ces pets [PRRRRROUT], mais ce n’est pas le plus embêtant… Je m’inquiète car mes pets, qui sont si bruyants [PRRRRROUT], ne sentent rien. Pouvez-vous faire quelque chose pour mon problème intestinal, ça me rend dingue [PRRORRRRROUT]. »
Le docteur: (en pinçant son nez)
« — Tout d’abord, on va s’occuper de votre problème d’odorat ! »

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C’est un gars qui rentre dans une agence de voyage et s’achète une croisière de 2 semaines pour lui et sa petite amie. Quelques jours avant d’embarquer, le voyagiste le rappelle pour lui dire que la croisière est annulée, mais qu’il peut lui proposer une croisière de 3 jours à la place. Le gars est d’accord. Alors il se rend chez le pharmacien et achète une boîte de comprimés de Dramamine [anti-nauséeux] et 3 préservatifs.
Le jour suivant, l’agent de voyage le rappelle encore pour lui dire qu’une croisière de 5 jours est disponible. Le gars dit qu’il est d’accord pour cette nouvelle croisière. Ensuite il retourne à la pharmacie et achète une boîte de Dramamine et plus, et 2 préservatifs de plus.
Un jour avant le départ, l’agent de voyage le recontacte pour lui dire que cette fois-ci il dispose in-extremis d’une croisière de 8 jours. Le gars lui répond D’accord pour celle-là, et il retourne à la pharmacie s’acheter une boîte de Dramamine en plus et 3 préservatifs de plus.
Et là le pharmacien n’y tient plus et lui demande:
« — Dites un peu, si ça vous rend malade à ce point, pourquoi est-ce que vous continuez à le faire ? »

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Monsieur vient de mourir. Madame se désole.
Le personnel de la maison s’affaire à la toilette du mort et pose beaucoup de questions à madame.
Quelle chemise faut-il mettre au mort ?
Avec quel costume faut-il habiller le mort ?
Faut-il mettre des chaussettes et des souliers au mort ?
Faut-il mettre des fleurs sur le lit du mort ?
Faut-il allumer des bougies dans la chambre du mort ?
À chaque question, madame répond en ajoutant qu’on ne dit pas le mort, mais Monsieur. Et lorsque le service des pompes funèbres arrive, Firmin annonce à madame l’arrivée des… croques-Monsieur !

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Comment appelle-t-on des chaussures d’enterrement ?
— Des pompes funèbres !

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Alors c’est un mec qui toute sa vie a rêvé de visiter le désert, il aime la chaleur et le froid de la nuit, le silence et les tempêtes de sable, enfin toutes les caractéristiques du désert lui plaisent puisque par définition un désert c’est désert…
Bref, pour réaliser son rêve, il prend un an de congé sabbatique, il fait ses bagages et il part comme ça, avec pour idée d’acheter un chameau dès son arrivée.
L’avion à peine atterri non loin du Sahara, il se met donc en quête d’un chameau et il trouve tout près de l’aéroport un marchand très sympathique, qui lui explique le “maniement” d’un chameau:
« — Tu verras: c’est pas compliqué, pour avancer tu dis OUF ! Si tu veux qu’il aille plus vite tu lui dis OUF OUF ! Et si tu veux aller encore plus vite tu lui dis OUF OUF OUF ! Pour s’arrêter, tu lui dis simplement AMEN ! »
« — Ah oui, t’as raison, c’est pas compliqué… »
Alors le mec s’en va avec son chameau et part à la découverte du désert. Il veut essayer toutes les allures du chameau, alors il commence par le pas, bien sûr, qu’il commande au chameau par un OUF. Puis il essaye le trot du chameau par un OUF OUF ! Et enfin le galop du chameau avec le fameux OUF OUF OUF !
Ainsi bercé par l’allure du chameau, il s’endort sur son dos (c’est compréhensible pour un mec qui s’est tapé 8 heures d’avion). Lors de son réveil le chameau bien sûr court toujours, mais il écarquille les yeux et il aperçoit un précipice où le chameau se dirige tout droit… Et malheureusement pour lui il a oublié comment on arrête le chameau.
Alors il se met à essayer tous les mots qui lui passe par la tête:
« — Alléluia ! M… c’est pas ça. Abracadabra ! M… c’est pas ça non plus. Pourtant je suis sûr que ça commence par un a. Ah oui c’est AMEN ! »
Et le chameau docile s’arrête juste devant le précipice, juste à temps !
Le mec dit alors:
« — Aaaah ! OUF ! »

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Un gars et sa petite fille sont au magasin de jouets pour acheter une poupée Barbie.
Le gars voit une Barbie qui fait du ski: 19.99 $ Il en voit une autre qui fait de la moto: 29.99 $ Et il en voit une 3
ème, Barbie divorcée: 149.99 $. Le gars accroche un vendeur et lui dit:
« — Comment ça se fait que la Barbie divorcée est si chère ? »
Et le vendeur de répondre:
« — C’est parce qu’elle vient avec la maison de Ken, l’auto de Ken, le chalet de Ken, les meubles de Ken, la moto de Ken… »

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Pourquoi Barbie n’a pas d’enfants ?
— Parce que Ken est vendu dans une boîte séparée.

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C’est une femme et sa petite fille qui sont au rayon jouet d’un magasin. La maman demande à sa fille de quel jouet elle a envie pour son anniversaire. La petite fille répond:
« — Je voudrais bien avoir GI Joe et Barbie. »
La maman répond:
« — Mais chérie, tu sais bien que Barbie n’est pas vendue avec GI Joe: Barbie vient toujours avec Ken. »
Alors la petite fille regarde sa mère d’un air très sérieux et dit:
« — Maman, Barbie vient toujours avec GI Joe; elle simule avec Ken. »

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Vous saviez que Mattel vient de sortir plusieurs nouveaux modèles de Barbie ?
Il y a…
BARBIE DIVORCÉE: vendue avec tous les accessoires venant de Ken.
BARBIE MÈRE CÉLIBATAIRE: Une allocation est versée par Mattel tous les mois.
BARBIE FUME DU CRACK: Vendue avec une pipe. On peut utiliser du sucre ou remplacer le crack par de la cocaïne.
BARBIE FAIT LE TAPIN: maquillée outrageusement, porte un short en jean ultra court et des collants.
BARBIE LA BRUNE: La seule Barbie possédant un cerveau.
BARBIE PHYSICIENNE NUCLÉAIRE: Eh ouais ! Non, c’est une blague.
BARBIE PUNK: adepte du piercing (les trous sont déjà percés).
BARBIE SILICONÉE: Vendue sans soutien-gorge.
BARBIE A UN CANCER: Enlevez la perruque et Barbie est chauve.
BARBIE FÉMINISTE: A du poil aux jambes et sous les aisselles. Porte les cheveux courts.
BARBIE SDF: Livrée avec ses haillons et son caddie.
BARBIE BOBBIT: Livrée avec un couteau et un pénis de rechange pour Ken.
BARBIE FEMME BATTUE: Avec un œil au beurre noir et des ecchymoses.

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Les 3 pires tortures Chinoises.
Un gars est perdu au beau milieu de la campagne Chinoise. Cela fait 3 semaines qu’il n’a rien mangé, et il est obligé de dormir dehors. Un après-midi où il errait dans un bois à la recherche de quelque chose à manger, il aperçoit une maison isolée. Cependant, la fumée qui s’échappe de la cheminée lui indique qu’elle est habitée.
L’homme frappe à la porte. Un vieillard lui ouvre et lui dit:
« — Que voulez-vous ? »
L’homme dit:
« — Je suis perdu depuis 3 semaines et je n’ai pas mangé ou si peu depuis ce temps. Vous seriez d’une extrême bonté si vous me permettiez de manger un peu et dormir chez vous ce soir… »
Le vieux Chinois lui répond:
« — J’accepte à une condition: En aucun cas vous ne devrez chercher à voir ma petite-fille ! »
L’homme épuisé et affamé accepte tout de suite:
« — Je promets de respecter ma parole, et de partir d’ici dès demain matin ! »
Le vieux Chinois répond:
« — C’est bon. Mais si je vous attrape à tourner autour de ma petite-fille, je vous ferai subir les 3 pires tortures qu’il est possible de faire subir à un homme ! »
« — D’accord, d’accord ! » dit notre homme en entrant enfin dans la maison.
En même temps, il se demande quelle sorte de femme est capable de vivre ainsi en pleine forêt avec son grand-père pour seule compagnie…
L’homme commence donc par prendre un bain, puis il descend pour manger. C’est à ce moment qu’il rencontre la plus jolie fille de toute la Chine… Si bien que de tout le repas, il ne peut quitter des yeux ce joyau qu’est la petite fille du vieillard… Évidemment, pendant la nuit, notre homme n’arrive pas à tenir sa promesse: Il s’introduit dans la chambre de la jeune fille (qui lui avait laissé sa porte ouverte) et tous 2 profitent d’un peu de bon temps. Ensuite, notre homme rentre dans sa chambre pour dormir. Il pense:
« — Après ce que je viens de vivre, les tortures que ce vieillard voudrait m’infliger ne pèsent pas lourd… »
Au petit matin, l’homme se réveille en ressentant un poids terrible sur la poitrine. Il ouvre les yeux et voit qu’une énorme pierre lui a été posée sur le tronc. Sur la pierre, un papier dit:
« — 1
ère torture Chinoise: un poids de 50 kg sur la poitrine ! »
L’homme pense: “Quoi ! Ça la pire torture Chinoise ! Laissez-moi rire.”
Ensuite il se lève, va à la fenêtre de la chambre, ouvre la vitre et jette la pierre dehors. Au moment où il jette la pierre, il peut lire le papier qui était posé de l’autre côté de la pierre et qui dit:
« — 2
ème torture Chinoise: pierre attachée au testicule droit ! »L’homme se dit en un éclair:« — Je m’en fous, c’est pas si haut que ça, je saute avec la pierre ! »
Et au moment où il se défenestre, il voit le 3
ème bout de papier qui dit:« — 3ème torture Chinoise: testicule gauche accroché au pied du lit ! »

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Il y a 2 semaines, c’était mon 44ème anniversaire, et le moral n’était pas au top. Pourtant, je savais qu’en me levant pour aller déjeuner, ma femme n’oublierait pas de me souhaiter un Joyeux anniversaire et me ferait un cadeau. Mais ce matin-là, elle ne m’a même pas dit Bonjour et encore moins Bon anniversaire. Alors je me suis dit:« — Bon, ce n’est pas grave, à moi aussi ça m’arrive d’oublier. Les enfants, eux, se souviendront. »Mais les enfants descendirent pour déjeuner sans un mot pour moi… Alors quand je partis pour le travail, le moral était vraiment descendu au plus bas. Comme j’arrivais au bureau, Julie, ma secrétaire me dit:« — Bonjour patron, joyeux anniversaire ! et là le moral commença à remonter. »
Je me mis au travail, et lorsque midi approcha, Julie frappa à ma porte et dit:« — Patron, aujourd’hui c’est votre anniversaire, et en plus c’est une très belle journée. Si vous m’invitiez à dîner ? »J’étais tout à fait d’accord, alors je lui ai répondu:
« — Allons-y ! »Pour dîner, nous avions choisi une petite auberge à l’écart de la ville. Le repas fut très agréable et ma secrétaire très attentionnée pour moi… En sortant du restaurant, Julie me dit:« — Patron, si nous ne retournions pas au travail cet après-midi ? »Comme je ne répondais pas, elle ajouta:« — Allons à mon appartement, je vous montrerait mes collections de vases de Chine. »Comme je me laissais entreprendre, nous arrivâmes bientôt chez elle. Devant un verre de cognac, elle me dit:« — Si ça ne vous fait rien Patron, je vais passer à la salle de bain pour me changer… »Évidemment, je laissais faire. Lorsqu’elle revint, je m’étais moi aussi mis à l’aise. Et c’est en caleçon que j’accueillis ma secrétaire, ma femme, mes enfants et l’équipe du bureau. Tous chantaient « Joyeux anniversaire ! » en apportant un superbe gâteau !

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Michel Dugenou adore le cassoulet. Seulement voilà: Michel Dugenou s’est marié il y a 6 mois avec une jeune femme adorable qu’il aime à la folie, et il a un peu peur de la manière dont elle pourrait réagir aux effets secondaires de ce plat (plus crûment: il a peur qu’elle fasse la gueule s’il pète au lit). Aussi, Michel n’a pas mangé de cassoulet depuis 6 mois. Mais voilà: aujourd’hui, Michel a trente ans, et il se dit qu’il va quand même bien pouvoir se faire un petit plaisir tout seul. Alors, pendant la pause de midi, il va se manger un énorme plat de cassoulet au restaurant du coin.
Le soir, quand Michel rentre du travail (un peu ballonné quand même), sa femme l’attend sur le pas de la porte et lui dit:
« — Bon anniversaire, mon chéri ! Je t’ai fait une surprise ! »
« — Ah oui, quoi ? »
« — Non, tu verras plus tard. Mais d’abord, laisse moi te mettre un bandeau sur les yeux, pour que tu ne voies pas ma surprise ! »
Et elle lui masque les yeux, et le guide jusqu’à la salle à manger où elle le fait asseoir à table. À ce moment, le téléphone sonne dans la cuisine. Elle dit alors à Michel:
« — Reste ici mon amour, je vais répondre, mais surtout promets-moi de ne pas bouger d’ici ni d’enlever ton bandeau ! »
Au bout d’un moment, la conversation semblant s’éterniser, Michel se dit qu’il peut se relâcher un peu, et évacue bruyamment le gaz qui lui torturait les boyaux depuis 5 mn (bref, il pète un bon coup). Très satisfait du soulagement obtenu, et profitant du fait que sa femme est toujours pendue au bout du fil, il recommence, et c’est bientôt un véritable concert de pets qui monte dans la salle à manger. Dugenou en rit d’aise tout seul, si content de pouvoir se soulager pour la 1
ère fois depuis 6 mois. Un quart d’heure plus tard, sa femme finit par raccrocher; elle revient dans la salle à manger, dénoue le bandeau de Michel et s’écrie:
« — Surprise, Michel, regarde: tous tes amis du bureau sont venus dîner pour ton anniversaire ! »

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Les croque-morts essaient de soulever le cercueil en présence de la famille éplorée. Ils s’y mettent à 2, ils s’y mettent à 4. Ils s’y mettent à 8… rien à faire. C’est à croire que cette damnée boîte est vissée au sol. Et voilà que l’un d’eux sort un petit sachet de sa poche et répand une poudre blanche sur le cercueil. Et tout aussitôt, on peut soulever la caisse comme une plume ! Alors, tous les autres demandent au bonhomme:
« — C’est épatant, ça ! Qu’est-ce que c’est que cette poudre ? »
« — Oh ! dit le gars, c’est juste de la levure de bière… »

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C’est un curé de campagne qui se rend à bicyclette au cimetière pour un enterrement. Juste avant, il est allé faire des courses dans une droguerie pour acheter divers produits dont il connaît l’utilité pour ce qui va suivre… À vous de trouver lesquels en lisant l’histoire… La route qui mène au cimetière est en forte pente, et les freins de son vélo lâchent… Mais le curé sort alors une boîte en carton de sous sa soutane, et en répand le contenu sur son vélo, qui s’arrête alors… Arrivé au cimetière, il annonce aux personnes présentes pour l’enterrement, incrédules:
« — Ne pleurez pas, un miracle va avoir lieu, Jean (car c’est le nom du mort) va ressusciter ! »
Comme personne ne le croit et qu’il doit y avoir un climat de foi pour que le miracle ait lieu, il sort un flacon de sous sa soutane, et en répand le contenu sur l’assistance… qui aussitôt après est prise d’une foi inébranlable quant à la résurrection du mort… Le curé s’approche alors de l’endroit où le mort repose sous terre, sort un autre flacon et verse son contenu sur la sépulture de Jean (le mort)… et celuici soudain sort de terre, vivant !
Quels étaient les 3 produits utilisés par le curé ? Le 1
er, pour arrêter son vélo sans frein: de la poudre à récurer (arrêt-curé)Le 2ème, pour donner la foi: un produit antiseptique (anti-sceptiques)Le 3ème, pour ressusciter le mort: du détergent (déterre-gens).

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Dans un chantier de construction, un arabe est en train de creuser un trou. Le contremaître l’appelle depuis sa cabane de chantier:
« — Oh ! Mohammed ! Viens ici ! »
Dans la cabane, le contremaître lui demande:
« — Donne-moi ton adresse ! »
Et il l’inscrit sur une feuille.
Un peu plus tard:
« — Oh ! Mohammed ! Reviens ici ! »
Et lorsque Mohammed est dans la cabane:
« — File-moi ton numéro de Sécu ! »
Encore un peu plus tard:
« — Oh Mohammed, ramène-toi ! »
Mohammed ne dit rien, mais pense très fort à embrocher le contremaître…
« — Ton téléphone c’est quoi déjà ? »
Et là, Mohammed répond:
« — Pourquoi ti mi demandes pas tout ça en une fois ! Ji un trou à creuser et ti mi fais aller i vinir ! »
« — Parce que tu sors plus de terre avec tes godasses qu’avec ta pelle ! »

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Un travailleur immigré officie comme manœuvre sur un chantier de construction. Un jour, il va voir l’intendant du chantier:
« — Chef, ça va pas, la brouette elle fait “Couic… couic… couic …couic” ! Et ça me casse les oreilles. Il faudrait di l’huile… »
« — Va demander l’autorisation au contremaître à côté mon gars ! » fait l’intendant.
« — Heu missié le contremaître, ji voudré dé l’huile pour ma roue di la brouette… elle fait “Couic… couic… couic …couic” ! »
« — Tu es renvoyé, viré, tu quittes le chantier immédiatement je ne veux plus te revoir ici. »
L’ouvrier ne comprend pas et demande des explications:
« — Mais ji comprends pas, chef, ji viens juste ti signaler que la brouette elle fait du bruit et toi ti veux me renvoyer, pourquoi ? » »
« — Parce que ta brouette c’est pas “Couic… couic… couic …couic” qu’elle devrait faire mais “Couic-couic-couic-couic” !
(en prononçant très vite).

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2 vieilles stars de Hollywood se retrouvent à l’occasion de la cérémonie des Oscars. La 1ère veut se faire mousser et lâche:
« — Tu sais que j’avais fait assurer cette poitrine pour un million de dollars ? »
L’autre:
« — Ah oui ? Et tu as fait quoi de tout cet argent ? »

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Une prostituée à une autre:
« — Qu’est-ce que t’as demandé au Père Noël ? »
L’autre de répondre:
« — Ben comme pour tout le monde… 300 balles ! »
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Un PDG téléphone à un PDG concurrent:
« — Je m’apprête à engager votre ancien chauffeur. Peut on avoir confiance en lui ? »
« — Voyons, je lui ai confié 100 fois ma vie, sur les routes le plus dangereuses… »
« — Oui, mais peut-on lui confier quelque chose de valeur ? »

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3 explorateurs s’enfoncent de plus en plus profondément dans la jungle encore inviolée, terrae incognitae. Pas de chance, car après le 3ème jour, ils sont capturés par la redoutable tribu, non pas des réducteurs de têtes, ni des cannibales, mais des faiseurs de canoës en peau d’explorateurs.
Pour être loyal, le chef de la tribu demande aux 3 condamnés leurs dernières volontés.
Le 1
er, essayant de gagner un maximum de temps, leurs dit qu’il aimerait envoyer un e-mail a sa compagne. Le chef sourit, l’invite dans sa hutte et l’installe devant sa toute nouvelle dual-pentium pro workstation et 5 min. plus tard, le gars est éventré, sa peau lui est délicatement retirée pour en faire un canoë tout neuf.
Le 2
ème, se creusant les méninges, leur dit qu’il aimerait toucher la lune. Le chef appelle ses 2 meilleurs pagayeurs et les envoie dans le plus proche musée. Ils montent dans leurs canoës et 2 jours plus tard, les voilà qui débarquent avec un échantillon volé de roche lunaire. Le type croyant avoir pu échapper à une mort certaine est écorché et sa peau est mise à sécher pour la fabrication d’un autre canoë.
Le 3
ème, grand sourire, demande au chef une fourchette.
« — Quoi ? » répondit-il.
« — Vous pouvez me demander tout ce que vous pouvez imaginer et à la place vous voulez une fourchette ! »
Il s’en alla lui-même en chercher une à la cantine du coin. Il revint et tendit la fourchette au 3
ème mec.
« — Voilà votre fourchette. Et maintenant vous allez mourir ! »
« — Pas sûr ! dit le mec en levant très haut sa main qui tenait la fourchette. Regardez c’que j’en fais d’votre canoë ! »
Et il commence à se planter la fourchette partout sur le corps.

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C’est Mohammed (gamin de 10 ans) qui a vraiment faim. Il habite Casablanca et il ne trouve rien à manger à la maison. Il va donc faire un petit tour au souk, histoire de voir s’il ne trouve pas une opportunité. Le voilà parti, il commence à lorgner sur les poulets d’un vendeur:
« — Mohammed, si tu pars pas tout di suite, je ti donne le fouet. »
« — Mais m’siou ji fi rien, ji chouffe
(regarder), c’est tout ! »
Mohammed s’éloigne mais il se dit qu’avec un peu d’astuce il arrivera à voler un poulet. Il se rapproche et fait basculer tout l’étalage de fruits. Le marchand sort alors rapidement pour récupérer son bien. Mohammed se glisse dans l’échoppe et vole rapidement un poulet, mais le marchand le voit !
« — Mohammed ! Voleur ! Police ! Au secours ! Mohammed est un voleur ! »
La police arrive et essaie de rattraper Mohammed qui court avec son poulet. Impossible à rattraper, Mohammed connaît trop bien le souk.
2 heures après, la police fait une patrouille sur la plage, histoire de voir si Mohammed n’y est pas. Elle trouve alors Mohammed avec un tas de plumes à côté de lui. Le gamin est manifestement repu et commence une petite sieste:
« — Mohammed, ci toi le voleur, ti as mangé tout li poulet ! »
« — Moi, ji suis pas un voleur, ji fais juste la sieste ! »
« — C’est quoi toutes li plumes ? »
« — Les plumes ? Ji m’installe tranquille pour faire une sieste, voilà un poulet qui s’approche et qui me dit: “Oh ! Mohammed, ti reste là ? Ti peux me garder mes affaires, ji vais prendre un bain !” »

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2 jeunes garçons se font prendre par la police alors qu’ils fument de l’herbe. Ils passent dans la journée devant le juge qui leur dit:
« — Vous me semblez être de bons garçons et j’aimerais vous donner une seconde chance avant de vous expédier en prison. Je veux que vous passiez cette fin de semaine à convaincre le plus de personnes possible des méfaits liés à la drogue, et, si vous rencontrez des personnes qui se droguent, tentez de les convaincre d’arrêter. Je vous reverrai ici même lundi pour faire le bilan. »
Lundi arrive et nos 2 p’tits gars sont de retour devant le juge. Le juge demande au 1
er:
« — Alors, qu’avez-vous fait cette fin de semaine ? »
« — Votre honneur, j’ai réussi à convaincre 17 personnes d’arrêter totalement d’utiliser de la drogue ! »
« — 17 personnes ? C’est très, très bien. Comment êtes-vous arrivé à cela ? »
« — Je leur ai montré un petit dessin, votre honneur. J’ai dessiné 2 cercles comme cela:
(dessinez un petit cercle et, à côté, un grand cercle) Puis je leur ai dit: ceci (le grand cercle) c’est votre cerveau avant la drogue et ceci (petit cercle) c’est votre cerveau après la drogue. »
« — Excellente démonstration, dit le juge. Et vous (au 2
ème garçon), quel est votre bilan ? »
« — Votre honneur, j’ai persuadé 156 personnes d’abandonner la drogue à jamais ! »
« — 156 personnes ! C’est incroyable ! Comment avez-vous réussi cela ? »
« — Eh bien j’ai utilisé la même approche.
(Il dessine les 2 mêmes cercles)… Je leur ai dit (pointant le petit cercle): ça, c’est votre trou-du-cul avant la prison… »

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Nous sommes samedi. Un jeune garçon vient d’être embauché comme vendeur dans une grande surface. Le patron se déplace personnellement pour lui montrer comment bien vendre:
« — Regarde-moi faire… » dit le patron en s’approchant d’un client qui venait à peine d’entrer.
« — Puis-je vous aider, Monsieur ? » dit le patron.
Le client lui répond:
« — Je viens juste d’emménager dans ma nouvelle maison et je voulais de l’engrais pour mon gazon. »
Le patron répond:
« — Très bien, monsieur. Nous avons des sacs de 10 et de 25 kg. Je vous suggère de prendre le sac de 25 kg ! »
« — Pourquoi cela ? Ne serait-ce pas un peu trop ? »
« — Eh bien, le sac de 25 kg vous permettra de tenir une année complète, alors qu’avec le sac de 10 kg, vous serez à court pendant l’été… » répond le patron.
« — Très bien, je prends le sac de 25 kg répond le client.
« — Parfait Monsieur. Et quelle sorte de râteau allez-vous utiliser ? »
« — Un râteau ? Pourquoi devrais-je utiliser un râteau ? »
« — Monsieur, si vous ne passez pas votre gazon au râteau avant de mettre de l’engrais, les granulés d’engrais n’iront pas au contact du sol et n’auront aucun effet… » répond le patron.
« — Dans ce cas, mettez-moi un râteau en plus. »
« — Très bien Monsieur. Et avec cela, je vous mets un arroseur fixe ou un arroseur oscillant ? »
Le client commence à être agacé et répond sèchement:
« — Un arroseur ? Hé, je suis juste venu acheter de l’engrais. Pourquoi devrais-je en plus prendre un arroseur ? »
Le patron répond, toujours calme:
« — Eh bien monsieur, par ici, le climat est assez sec, alors, si vous arrosez juste après avoir fertilisé votre gazon, l’engrais aura un effet maximal et vous aurez certainement le plus beau gazon parmi tous vos voisins. »
Encore une fois, le client se laisse faire.
Et le patron continue:
« — Je parie que vous n’avez pas de tondeuse ? Gagné. Voulez-vous plutôt une tondeuse à essence ou une tondeuse électrique ? »
« — UNE TONDEUSE ? Vous m’avez déjà vendu un râteau et un arroseur en plus de l’engrais. Vous ne trouvez pas que ça suffit ? »
Le patron, toujours calme, lui répond:
« — Un gazon fraîchement semé doit être tondu dès que possible. C’est ce qui permet de le rendre le plus dru, et donc le plus beau. En le tondant au plus tôt, votre gazon sera aussi beau que celui d’un green de golf ! D’autre part, notre promotion sur les tondeuses se termine ce samedi ! »
Le client lui répond:
« — C’est d’accord, je cède, mettez-moi une tondeuse électrique en plus ! »

Après que l’homme soit sorti du magasin avec tous ses achats, le patron va voir le nouvel employé et lui dit:
« — Alors, tu penses que tu arriveras à faire ça ? »
L’employé répond que ça devrait aller. Du coup, le patron le laisse aborder un nouveau client. Le nouvel employé s’approche du client:
« — Puis-je vous aider, Monsieur ? »
L’homme répond:
« — Oui. J’ai besoin de tampons pour ma femme. »
Le nouvel employé est estomaqué par la demande du client. Il ne s’attendait pas à un truc comme ça. Comme il veut malgré tout impressionner le patron favorablement, il réfléchit et soudain, il trouve la solution:
« — Très bien, Monsieur. Et voulez-vous une tondeuse à essence ou une tondeuse électrique avec ça ? »
« — Une tondeuse ? Ça ne va pas dans votre tête ? Je suis venu pour des tampons pour ma femme. Pourquoi aurai-je besoin d’une tondeuse à gazon en plus ? »
L’employé répond:
« — Eh bien Monsieur, si je puis me permettre, comme vous êtes venu acheter des tampons pour votre femme, je pense que ferez une croix sur les galipettes ce week-end. Alors autant tondre la pelouse… »

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80 ans après la bataille de Little Big Horn, un journaliste de la côte Est faisait des recherches sur le Général George Armstrong Custer. On lui avait dit qu’un Indien qui avait vécu la bataille vivait encore, et mieux, il se souvenait d’absolument TOUS les événements de sa longue vie. Le journaliste décide alors de rendre visite à ce Grand Chef ‘Aigle Noir’, qui vit maintenant dans une petite ville de Pennsylvanie. Le grand chef est très avenant et est d’accord pour répondre aux questions du journaliste.
« — Quel jour de la semaine a eu lieu la bataille ? » demande le journaliste.
« — Un mercredi. » répond le chef.
« — Que portait Custer ? »
« — Un uniforme noir, une épée de cérémonie, un vieux chapeau. »
« — Qu’est-ce que Custer avait mangé au petitdéjeuner ? »
« — Des œufs. »
Le journaliste est assez sceptique en entendant ces réponses. Il remercie le grand chef, quitte la ville, et décide de ne jamais publier son article. 10 ans plus tard, le journaliste passe par hasard par cette même petite ville de Pennsylvanie en voiture. Il décide d’aller voir si le grand Chef est toujours en vie. À sa grande surprise, le grand chef est toujours là. Comme le journaliste vient vers le chef pour le saluer, il lève la main en l’air et fait le salut Indien:
« — How ! »
(=“Comment” en français !)
Et le chef lui répond:
« — Sur le plat, avec des pommes de terre sautées pour accompagner. »

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Pourquoi les sorcières ne portent-elles jamais de culotte ?
— Pour avoir une meilleure prise sur le balai.

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C’est un type qui est dans une boîte de nuit, mais qui a soudain envie de satisfaire quelques besoins intestinaux. Il se dirige donc vers les toilettes, ouvre la porte des chiottes, referme la porte à clef, baisse son pantalon et s’assoit sur le trône. Laissant traîner son regard, il voit affichée en grand sur la porte en face de lui une énorme photo de femme nue, avec plein de petites étiquettes collées partout, mais avec une extraordinaire précision anatomique: pieds, genoux, seins, etc…, et une tout près du sexe. Mais là, il ne voit pas ce qui est écrit sur l’étiquette tellement c’est petit. Il se penche en avant afin de lire, mais ne voit toujours rien. Il s’approche encore et lit:
« — Arrête, si tu continue, tu vas chier à côté du trou… »

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2 fous veulent s’échapper de l’asile. Alors un des 2 dit:
« — Regarde, je vais allumer la lampe électrique, tu vas monter sur le faisceau lumineux, et tu sauteras par dessus le mur ! »
Et l’autre répond:
« — Tu me prends pour un con ? Quand je serai au milieu, tu vas éteindre ! »

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Pourquoi les sourds mettent des slips transparents à leurs femmes ?
— C’est pour pouvoir mieux lire sur les lèvres !

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La différence entre la dictature et la démocratie ?
*Sous un régime dictatorial, c’est: “Ferme ta gueule !”
*En démocratie, par contre, c’est: “Cause toujours !”

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C’est l’histoire d’un mec qui crève le pneu de sa voiture devant le mur d’un asile. Sur le mur, un fou est accoudé et le regarde. Le mec démonte sa roue, troublé par le regard fixe du fou qui le regarde toujours. Il prend sa roue de secours et, toujours troublé, fait tombé les écrous de la roue dans la bouche d’égout qui était justement tout à côté (comme par un fait exprès: ce serait une histoire que personne n’y croirait). Alors, le mec est très embêté parce qu’il ne peut plus remonter sa roue. Il se demande ce qu’il va faire quand tout à coup, le fou lui dit:
« — Vous n’avez qu’à prendre un écrou sur chaque roue. Avec 3 écrous par roue, vous pourrez facilement aller à un garage.
Le mec, là, il est épaté:
« — Ben ça alors ! C’est vachement intelligent, ce que vous me dites là. Mais qu’est-ce que vous faites dans cet asile ? »
« — Ben je suis fou, pas con. »

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Dans le compartiment d’un train, un homme porte 2 bébés, un dans chaque bras. Une femme s’installe devant lui et entame la conversation:
« — Quels beaux bébés ! Comment s’appellent-
ils ? »
L’homme lance un regard agacé à la dame et répond:
« — Je ne sais pas. »
La dame continue malgré tout:
« — Ce sont des petits garçons ou des petites filles ? »
L’homme semble encore plus agacé et répond:
« — Je ne sais pas. »
La femme:
« — Mais enfin, quelle sorte de père êtes-vous donc ? »
L’homme répond:
« — Je ne suis pas leur père, je suis représentant en préservatifs et eux, ce sont 2 “plaintes” que je vais déposer à la direction ! »

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Une jeune femme est assise dans un bus faisant des mamours à son tout jeune bébé, lorsque qu’un mec bourré arrive en titubant dans l’allée centrale. Il s’arrête et regarde dans la direction de la jeune femme, puis il dit:
« — Eh ben, c’est le bébé le plus moche que j’ai jamais vu dans ma vie ! »
La femme fond en larmes. En voyant la scène (sans avoir pu entendre ce qui s’est dit) dans son rétroviseur, le chauffeur du bus arrête net, se lève et va attraper le mec bourré par son col, puis il le jette hors de l’autocar.
Puis le chauffeur dit à la jeune femme:
« — Je ne sais pas ce que ce gars vous a dit pour vous mettre dans cet état, mais si ça peut aider à apaiser votre chagrin, je vous propose un peu de café de ma bouteille thermos… »
La femme le remercie et accepte.
Le chauffeur prend alors sa thermos, verse un verre de café à la jeune dame et lui tend. Allant ensuite fouiller dans le fond du sac qui contient son repas de midi, le chauffeur sort un banane et dit en la sortant:
« — Et voilà pour votre petit singe. »

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Un Américain de New York arrive en Irlande pour quelques jours de vacances. À l’aéroport de Dublin, il aperçoit un gars du cru qui se tient derrière une table où sont présentés des crânes humains.
« — Que faites-vous avec ça ? » demande le touriste.
« — Je vends des crânes. » répond l’Irlandais.
« — Et qu’est-ce qu’ils ont de spécial vos crânes ? » demande le touriste.
« — Hé, j’ai les crânes des Irlandais les plus renommés qui ont jamais vécu ! »
« — Ah oui, donnez-moi quelques noms pour voir ! » demande le touriste.
« — Celui-ci, c’est celui de James Joyce, l’auteur de romans et de pièces de théâtre… Celui-là, c’est celui de St-Brendan, le navigateur… Celui-là, c’est Michael Collins le leader de la révolte de 1916 et celui-ci, c’est le plus important de tous, c’est celui de St-Patrick, le St-Patron de L’Irlande, Dieu ait son âme. »
« — C’est vraiment St. Patrick ? » demande le touriste.
« — Bien sûr ! »
« — Alors il me le faut ! » répond le touriste et il paie à l’Irlandais le prix convenu, soit 500 livres.
En rentrant à New York, le touriste qui est en fait patron d’un pub, accroche le crâne de St-Patrick au mur de son établissement. Et les gens viennent de tout le pays pour voir le crâne de St-Patrick, et grâce à ça, le patron fait rapidement fortune.
Quelques années plus tard, le patron new-yorkais décide de repartir en voyage en Irlande pour profiter de sa retraite. En arrivant à l’aéroport de Dublin, il reconnaît son vendeur de crânes, qui est toujours derrière son étalage, et qui vend toujours ses crânes.
« — Alors quoi de neuf ? » demande le touriste.
« — Oh, je vends des crânes. »
« — Et quels crânes avez-vous aujourd’hui ? » demande le touriste.
« — Les crânes des Irlandais les plus fameux de l’histoire ! »
« — Vraiment ? Allez, donnez-moi quelques noms ! » demande le touriste.
« — Celui-ci, c’est celui de James Joyce, l’auteur de romans et de pièces de théâtre… Celui-là, c’est celui de St-Brendan, le navigateur… Celui-là, c’est Michael Collins le leader de la révolte de 1916 et celui-ci, c’est le plus important de tous, c’est celui de St-Patrick, le St-Patron de L’Irlande, Dieu ait son âme. »
« — St-Patrick ? Vraiment St-Patrick ? » demande le touriste.
« — Exactement ! »
« — Vous ne semblez pas vous en souvenir, mais il y a à peu près 7 ans, vous m’avez vendu un crâne un peu plus gros que celui-ci en m’affirmant que c’était le crâne de St-Patrick ! » répond le touriste.
« — Ah oui ! Je me souviens de vous maintenant !… Vous voyez… C’est que, celui-ci, c’est St-Patrick quand il était jeune ! »

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C’est un gars qui fait une oraison funèbre lors de l’enterrement d’une personne bien connue: il dit entre autres choses …Et sa disparition laissera un vide douloureux…
Le lendemain, un autre gars qui était présent demande à l’orateur:
« — Comment un vide peut-il être douloureux ?
Et l’orateur répond:
« — Vous n’avez jamais eu mal à la tête ?

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2 blousons noirs ont volé une moto… Ils grimpent dessus et foncent comme des tarés sur la route. Il y a tellement de vent et ils vont tellement vite que le type qui est à l’arrière, il a mis son blouson à l’envers, donc boutonné dans le dos, pour ne pas qu’il s’ouvre en route. Au bout d’une dizaine de kilomètres, l’autre lui demande:
« — Hey ! Ça va derrière ? »
Pas de réponse. Il se retourne: plus personne ! Son pote a dû tomber de la moto. Il retourne donc en arrière pour voir s’il retrouve le type. Il arrive près d’un attroupement au milieu de la route. Il descend de la bécane, et s’approche en écartant la foule. Et là, il voit son copain couché sur le macadam, quand un flic dit:
« — Bon, ça y est ? Vous y êtes tous ? Bon… À 3, on lui remet la tête à l’endroit ! »

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Ce sont 2 atomes qui se rencontrent. L’un dit à l’autre:
« — Merde, j’ai perdu un électron ! »
L’autre:
« — T’es sûr ? »
Et le 1
er répond:
« — POSITIVEMENT ! »

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Un neutron est passé en jugement … Mais aucune charge n’a pu être retenue contre lui…

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Au moment où le train ralentit pour entrer en gare, un voyageur bègue s’adresse à un monsieur et lui demande:
« — Pa-pa-pa-pardon, Mon-monsieur. Est-Est-Estce-que-que-que c’est la ga-ga-gare de Bo-Bo-Bordeaux ? »
L’autre ne répond pas et continue à regarder par la fenêtre. Le bègue réitère sa demande:
« — Pa-pa-pardon, c’est Bo-Bo-Bordeaux ? »
L’autre ne répond toujours pas. Finalement, le train s’arrête et on entend au haut-parleur:
« — Bordeaux, ici Bordeaux. 3 minutes d’arrêt. »
Le voyageur attrape sa valise et descend en 4
ème vitesse. Un autre voyageur reste dans le train. Il était plus loin dans le compartiment, et avait assisté à toute la scène; il s’adresse à celui qui n’avait pas répondu:
« — Ce n’est pas très gentil. Pourquoi n’avez-vous pas répondu à ce monsieur ? »
« — J’a-j’a-j’avais pas-pas-pas le temps et en-en-en plus, il m’au-m’au-m’aurait sû-sû-sû-re-ment ça-çacassé la gueu-gueule ! »

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Poulet… de canon.
Dans le dernier numéro du magazine Américain “Meat and Poultry”, la rédaction cite avec délectation un article récent de la revue “Feathers”, organe de la Fédération de l’industrie volaillère de Californie, où l’on conte l’intéressante (et véridique !) histoire suivante.
Il semble que l’administration aéronautique fédérale Américaine (FAA) ait un moyen unique de tester la résistance des pare-brise d’avions. Le système est composé d’un pistolet qui lance des poulets morts sur les dits-pare-brise à la vitesse approximative d’un avion en vol. La théorie est simple: si le pare-brise résiste à l’impact de la carcasse, il devrait survivre à une véritable collision avec un oiseau vivant. Les Anglais se sont montrés très intéressés et ont décidé ainsi de tester la résistance des pare-brise du modèle de locomotive à grande vitesse qu’ils sont en train de développer; ils ont donc emprunté le lanceur de poulet Américain, l’ont chargé et ont fait feu. Le poulet sol-sol a explosé la vitre du train, traversé le fauteuil du mécano, défoncé la console d’instrument de bord avant de s’encastrer dans le panneau arrière de la cabine de pilotage. Les Anglais un peu surpris, ont alors demandé à la FAA de vérifier la validité de leur test.
La FAA s’est donc livrée à un examen de la procédure pour aboutir à la recommandation suivante:
— Utiliser un poulet décongelé !

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L’ambassadeur Français d’un pays Africain à été invité chez un diplomate du cru. Tous les 2 discutent des récents progrès réalisés dans le pays ces dernières années, alors que les Russes étaient ici comme chez eux:
« — Ils ont construit une centrale électrique, un aéroport, ils nous ont appris à boire de la vodka et à jouer à la roulette Russe ! »
L’ambassadeur Français à une moue d’effroi et de dégoût:
« — La roulette Russe est un jeu très dangereux ! »
« — C’est vrai, répond l’Africain, c’est pourquoi nous avons inventé la roulette africaine. Ça vous dirait d’y jouer ? »
« — Je ne suis pas sûr… Comment ça se joue ? »
L’Africain frappe dans ses mains, et alors 6 magnifiques Africaines, totalement nues arrivent auprès d’eux. Le diplomate explique:
« — Choisissez celle qui vous plaît, et elle vous donnera du plaisir oralement ! »
« — Ah, c’est quand même plus plaisant et moins risqué que la roulette Russe… ! »
Et le diplomate lui répond alors:
« — Oui, mais sur les 6, il y a une cannibale ! »

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Un homme mal rasé, avec un survêtement dégueulasse, les cheveux gras et le regard inquiétant entre dans une banque. Il se dirige vers le comptoir et lance à la secrétaire qui se trouve là:
« — Je voudrais ouvrir un putain de compte de merde ! »
La secrétaire lui réplique:
« — Ah mais monsieur cela ne vous dispense pas de rester poli ! »
« — Bon écoute, pétasse, t’as les oreilles bouchées ou quoi ? Je viens de te dire que je veux ouvrir un putain de compte de merde ! »
Sur ce, la secrétaire appelle le Directeur:
« — Monsieur le Directeur ? Monsieur le Directeur ? J’ai un petit problème… »
Le directeur de la banque arrive et demande:
« — Oui ? Que se passe-t-il ? »
« — C’est ce monsieur qui désire ouvrir un compte dans notre établissement. »
L’homme mal rasé lance brutalement:
« — Bon écoute le dirlo, je veux juste ouvrir un putain de compte de mes couilles ! C’est pas dur à faire quand même ! Merde alors ! »
Le directeur, impassible:
« — Ah ! Mais, monsieur, il nous faut votre identité, fiches de payes, relevés de gaz et d’électricité, quittance de loyer, etc, etc… »
Le gars répond:
« — Non mais c’est dingue ! Je viens de gagner 500 millions au LOTO et vous me demandez tout ce bordel ! »
Le directeur lui réplique:
« — Quoi ? Et c’est cette connasse qui vous emmerde ? »

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À Marseille, 2 vieux discutent:
« — Dis, tu sais que ma fille se marie ? »
« — Non ? Oh ! Putain ! »
« — Non, pas celle-là, l’autre… »

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Un jour Cafouniet rencontre son ami Patisse Boudaine.
« — Salut. Alors c’est vrai que tu as eu un fils ? Comment tu l’as appelé ? »
« — Jétroquien ! »
« — Quoi ? C’est pas un prénom ça ! »
« — Ben non, mais t’as bien appelé ta fille Jessica ! »

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« — Félicitations, tu es papa ! »
« — Merci. »
« — Comment vas-tu l’appeler, ce charmant bambin ? »
« — On va l’appeler Vergepasse ! »
« — Vergepasse, quel drôle de prénom ! »
« — Ben, t’as bien appelé le tien Jonathan. »

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C’est un gars assis au bar d’un restaurant. Il attend qu’une table se libère et remarque une très jolie jeune femme, elle aussi assise au bar, en train de prendre un apéritif. Le gars s’avance vers elle et dit:
« — Ça va vous paraître un peu abrupt, mais accepteriez-vous de dîner avec moi ce soir ? »
La jeune femme se lève tout d’un coup de son siège et crie presque:
« — Quoi ! ? ! Vous accompagner chez vous ? Pour qui me prenez-vous, espèce de pervers obsédé ! »
En entendant ça, le gars retourne tout penaud à son siège de bar en pensant:
« — Cette femme est complètement folle… »
5 minutes plus tard, la femme quitte son siège de bar et rejoint notre gars. Elle lui dit alors:
« — Je suis terriblement désolée pour la scène de tout à l’heure. Je suis en licence de psychologie et nous étudions en ce moment les réactions des gens lorsqu’on leur fait une réponse surprenante ! »
Alors le gars se lève d’un seul coup de son tabouret de bar et hurle:
« — Quoi ? 2 000 F ! Vous êtes folle ! »

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Un gars accoste une fille:
« — Ça te dirait de tirer un petit coup ? »
« — Vous me prenez pour qui ? Je ne suis pas une pute ! »
« — Mais qui vous à parlé argent ? »

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C’était samedi. Roger venait de passer tout l’aprèsmidi au bord de la rivière, sous le soleil de plomb, et tout ça pour rentrer bredouille: pas un seul poisson n’avait daigné mordre à l’hameçon !
Roger, qui n’a pas l’habitude de rentrer à la maison sans rien, s’arrête au supermarché pour prendre 4 truites. Il demande au poissonnier:
« — Prenez-en 4 grosses, et donnez-les moi sans les emballer ! »
« — Et pourquoi ne voulez-vous pas d’emballage ? »
« — Parce que je veux que ma femme croie que c’est moi qui les ai pêchées ! »
« — Ah, d’accord… Mais dans ce cas, je vous suggère de prendre plutôt des gardons ! »
« — Ah bon ? ! Et pourquoi ? »
« — Parce que votre femme est passée tout-à-
l’heure, et elle m’a dit de vous conseiller ça si vous passiez par ici: ce soir, elle veut faire de la friture. »

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L’année dernière, un ami a fait évoluer son PETITEAMIE 3.1 en PETITEAMIEPLUS 1.0 (connu en interne sous le nom de FIANCÉE 1.0) sans problème apparent, si ce n’est l’ajout d’un petit élément de hardware. Récemment, il a fait évoluer PETITEAMIEPLUS 1.0 en ÉPOUSE 1.0, et c’est un goinfre en mémoire. Ça occupe tout l’espace, et ÉPOUSE 1.0 doit être démarré avant de faire quoique ce soit. Bien qu’il ne les ait pas commandées, ÉPOUSE 1.0 à été livré avec des extensions telles que BELLEMÈRE, BEAUPÈRE et BEAUFRÈRE. Il ne faut pas oublier la création de sous-programmes ENFANTS qui consomment énormément de ressources. De plus, lors de la désinstallation d’ÉPOUSE 1.0, ces sous-programmes sont également effacés, mais un programme PENSIONALIMENTAIRE est créé, programme consommant encore plus de ressources que les programmes ENFANTS. Une solution à ce bug semble être PROCÈSPOURLAGARDE 1.5, mais ce programme à de nombreux défauts:
Il existe différentes fonctions pour se prémunir:
« — Installer PRÉSERVATIF 1.0, qui empêche physiquement l’écriture du programme MORPION. À changer régulièrement.
— Installer d’autres extensions dans PETITEAMIEPLUS ou ÉPOUSE, les changer tous les mois. Mais là, le risque est légèrement supérieur. Ils sont cumulables sans risque de conflits, installables sur tous types de version.
1- Le sous-protocole AVOCAT 1.0 utilisé par ce programme consomme d’autant plus de ressources que le niveau d’efficacité est placé haut (configuration du programme).
2- En cas d’échec, les ressources utilisées par PENSIONALIMENTAIRE peuvent encore être augmentées.
3- En cas de réussite, les sous-programmes ENFANTS restent installés mais il existe des risques de résurgence du programme ÉPOUSE 1.0. De plus, ces sous-programmes entraînent des difficultés à installer n’importe quelle version de PETITEAMIE. Autre point irritant: ce nouveau programme entraîne le plantage quasi-systématique d’applications pourtant vitales telles que NUITFOOTBALL 4.3, SOIRÉEBEUVERIE 7.5 ou encore SEXEORGIAQUE 2.2.
Moi-même, j’ai essayé de faire marcher PETITEAMIEPLUS 2.0 sans désinstaller PETITEAMIEPLUS 1.0, mais ils utilisent le même port d’entrée/sortie et j’ai eu des conflits. J’ai alors essayé de désinstaller PETITEAMIEPLUS 1.0, mais, faute de programme de désinstallation, je n’ai pas réussi: il a refusé de se désinstaller. J’ai essayé de le désinstaller à la main, mais il a laissé des fichiers dans mon répertoire système.
Un autre problème avec toutes les versions de PETITEAMIEPLUS que j’ai utilisées est que c’est complètement orienté objet, et que ça ne supporte que les périphériques avec des contacts plaqués or. Quelques caractéristiques que j’aimerais voir dans PETITEAMIEPLUS 3.0:
— Un bouton Ne me reparle pas de ça
— Un bouton Silence ou Minimiser
— Une fonction de mise en veille
— Un désinstalleur pour que PETITEAMIEPLUS 3.0 puisse être complètement désinstallé si besoin dans perte de cash, ni d’autres objets.
— Une option Promiscuité permettant de réactiver les fonctions sexuelles abandonnées lors du passage de PETITEAMIE vers ÉPOUSE
— Un bouton Abort (dégueulasse, mais il faut en parler).

∞∞∞∞∞ PRÉCAUTIONS GÉNÉRALES ∞∞∞∞∞
ÉPOUSE 1.0 à un bug non documenté: si vous essayez d’installer MAÎTRESSE 1.1 avant de désinstaller ÉPOUSE 1.0, ce dernier effacera tous les fichiers de MS Money, avant de procéder à la désinstallation elle-même. À ce moment, MAÎTRESSE 1.1 refusera de s’installer en raison de ressources système insuffisantes.
N’essayez pas d’installer ÉPOUSE 2.0 sans avoir complètement retiré toutes traces de ÉPOUSE 1.0 de votre système sous peine de conflits inévitables sans cela.
Pour ma part j’ai décidé d’éviter tous les problèmes associés à ÉPOUSE version 1.0 en restant sur PETITEAMIEPLUS 2.0. Néanmoins j’ai quand même rencontré quelques ennuis que je vais vous faire partager:
Apparemment il n’est pas possible d’installer PETITEAMIEPLUS 2.0 par dessus PETITEAMIEPLUS 1.0; il faut d’abord désinstaller PETITEAMIEPLUS 1.0. Les autres utilisateurs me font savoir que c’est un bug éternel et que j’aurais dû être au courant; il semblerait que cela soit un conflit de port I/O.
De plus le programme de désinstallation ne fonctionne pas très bien et laisse des traces de l’application précédente dans le système (sous forme de mobiliers cassés et de sous-vêtements oubliés). Un autre petit point noir: toutes les versions de PETITEAMIEPLUS envoient régulièrement des messages à l’utilisateur lui vantant les mérites de la mise à jour vers ÉPOUSE 1.0.
D’ailleurs le support technique ne donne qu’une seule solution pour tout ça: Opter pour Bistrot 4.21 avec Cuite 5.1.
Attention, j’ai installé Bistro 4.21 avec Cuite 5.1. Il faut d’abord savoir qu’il y a une routine d’exécution de Cuite 5.1 quand on ouvre Bistro 4.21. De plus, après Cuite 5.1 il y a souvent des problèmes de mémoire. J’ai vaguement résolu ce problème avec la version Bêta d’Aspro 2.01. Enfin, Femme 1.0 devient très instable et peut vous éjecter du système. Il ne reste alors plus que votre bonne et vieille application Masturbat 6.9x disponible sur http://www.veuvepoignet.com.

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C’est un aveugle qui cherche à se faire embaucher dans une scierie. Le patron de la scierie lui demande:
« — Et vous pensez que vous pouvez travailler ici avec votre handicap ? »
« — Oui, bien sûr, parce que je peux me servir de mon odorat, là où les autres ont besoin de leur vue ! »
Le patron de la scierie n’y croit pas trop et décide de tester les compétences de l’aveugle. Il fait amener plusieurs échantillons de bois différents, dans le but de les faire reconnaître à l’aveugle. Le 1
er échantillon est posé sur la table. L’aveugle le renifle et dit:
« — Ça, c’est du chêne, et même du jeune chêne ! » affirme l’aveugle.
Le patron pose un 2
ème échantillon sur la table:
« — Ça c’est du hêtre ! » affirme l’aveugle.
Le patron pose un 3
ème échantillon sur la table:
« — Ça c’est du merisier ! » affirme l’aveugle. L’aveugle ne s’est pas trompé une seule fois et le patron est très impressionné. Comme il est très joueur, il veut tenter une expérience: Il passe dans le bureau d’à côté et va chercher la secrétaire (qui à déjà 20 ans de service dans la scierie). Il lui demande de se coucher devant l’aveugle sur la table et de baisser sa culotte, ce qu’elle fait. Le patron lance alors à l’aveugle:
« — Si vous reconnaissez cet échantillon, je vous donne le boulot ! »
L’aveugle renifle, puis renifle encore, enfin il dit:
« — Ah ! Vous me tendez un piège ! Ce n’est pas un bois que l’on utilise normalement dans une scierie… Je pense que c’est le bois de la porte des chiottes d’un vieux bateau de pêche à la crevette ! »

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Ce jour-là, l’empereur romain (allez on va dire César, faisons simple) était de sortie sur sa galère. Les esclaves ramaient au son du tambour, quand tout à coup, le tambour s’arrête, et le contremaître es esclaves descend dans la soute:
« — Les gars, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous ! Je vais commencer par la bonne: Vous avez 15 minutes de pause. »
Son discours est ponctué par l’acclamation de toute l’équipe des esclaves. Lorsque les hourras s’arrêtent, le moins timide des esclaves de la bande:
« — Dites… et la mauvaise nouvelle ? »
Le contremaître répond:
« — Après la pause, l’empereur veut faire du ski nautique ! »

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Un type chiant se promène dans le désert, il a soif, il a faim, il a chaud, il titube et tombe.«
— Aïe ! Ça fait mal, mais qu’est-ce qui m’a fait trébucher ? Mais c’est une lampe ! »
Il la caresse et là, miracle ! Un génie !
« — Bonjour
[Nom_Du_Mec_Chiant], j’étais enfermé dans la lampe depuis des années. Je suis un génie et, pour te remercier, je vais exaucer un vœu. Mais tu n’auras le droit qu’à une proposition. Mais attention [Nom_Du_Mec_Chiant], je suis un petit génie et je ne peux réaliser ton vœu qu’à la condition de me fournir un objet en rapport avec celui-ci. Alors, fais attention: tu n’as le droit qu’à une proposition. »
Et là
[Nom_Du_Mec_Chiant] sort un globe terrestre de sa poche et dit:
« — Voilà, mon bon génie, tu vois toute la misère sur la terre, les maladies, les guerres, et bien je voudrais la paix sur la terre, une abondance de nourriture, que les hommes s’aiment, que les vilaines maladies disparaissent de la surface du globe et qu’on puisse enfin avoir des rapports non protégés, bref je voudrais le bonheur sur la terre comme au ciel. »
« — Alors là [Nom_Du_Mec_Chiant], je suis vraiment désolé, mais je te l’ai dit: je suis un tout petit petit génie et il y a des vœux que je ne peux vraiment pas réaliser. Pour moi, c’est vraiment trop dur. Je n’ai pas assez de pouvoir, trouve autre chose. »
« — Bien, mon bon génie, me voilà et j’aimerais être drôle et intelligent. »
« — Euh…
[Nom_Du_Mec_Chiant] tu peux me repasser le globe s’il te plaît. »

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De Gaulle et Pompidou (à l’époque président et Premier Ministre) assistent ensemble à la 1ère d’une pièce de théâtre. à l’entracte ils se rendent ensemble aux urinoirs. Alors qu’ils se soulagent, Pompidou dit:
« — Belle pièce, mon Général ! »
Et De Gaulle:« — Regardez devant vous, Pompidou ! »

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Toujours dans le genre politico-culturel:tout membre de l’Académie Française passe par 4 stades:1 - Il oublie les noms propres2 - Il oublie les noms communs3 - Il oublie de fermer sa braguette4 - Il oublie de l’ouvrir !

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C’est la Toussaint. Dans un cimetière du 13ème arrondissement à Paris, un homme apporte des fleurs pour la tombe de ses parents. Sur la tombe d’à côté, un Chinois est en train de répandre du riz sur la pierre tombale de ses parents à lui. Le Français (un chouilla xénophobe) lui demande:
« — Et vous pensez qu’un jour ils pourront manger votre riz ? »
Le chinois lui rétorque:
« — Bien sûr ! Le même jour qu’ils pourront sentir vos fleurs ! »

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2 comédiens se rencontrent:
« — Alors, qu’est-ce que tu deviens ? »
« — Eh ! Bien, je tourne avec Lelouch… »
« — Quoi ! Claude Lelouch ! »
« — Non, Daniel Lelouch, son cousin. Même manière de filmer, même talent, mais moins cher, c’est tout. Ainsi je cotoie DeparDieu… »
« — Quoi ! Gérard DeparDieu ! »
« — Non ! Julien DeparDieu, son cousin. Même manière de jouer, même talent, mais moins cher, c’est tout. La musique du film est composée par Lenorman… »
« — Quoi ! Pas Gérard, j’espère ? »
« — Ben si. »

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C’est l’histoire d’un notaire dans sa BMW qui grille un feu rouge et percute une voiture dans une petite ville de la région de Perpignan. L’autre voiture est une 2 CV fourgonnette, conduite par un agriculteur. Comme souvent dans ces cas-là, ce n’est pas celui qui est dans son droit qui gueule le plus fort… Ici aussi, c’est notre notaire qui commence à insulter le paysan pour ne s’être pas arrêté. Un comble !
Mais le paysan est plutôt bonasse et ne s’en fait pas pour autant. Il dit au notaire:
« — Bah, restez calme ! On verra plus tard pour les dégâts à nos voitures. Le plus important, c’est quand même que ni vous ni moi ne soyons blessés ! Je suis viticulteur et aujourd’hui j’allais livrer des bouteilles de muscat à un restaurateur. Je vous propose de trinquer avec moi pour nous remettre de nos émotions. Il doit bien rester une bouteille qui n’a pas cassé là-derrière… »
Alors le viticulteur passe à l’arrière de la camionnette et en ressort avec une bouteille. Il la tend au notaire qui ne fait pas de chichi et s’en prend une bonne lampée. Puis le notaire dit:
« — Mais vous ne trinquez pas avec moi ? »
Alors notre fermier répond:
« — Non, je pense que je vais plutôt attendre que les gendarmes arrivent… »

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Joe à toujours été le numéro 2, le Poulidor du catch. Il a toujours rêvé de combattre le numéro 1, Le Destructeur, mais son entraîneur s’y est toujours opposé. Il faut dire que Le Destructeur connaît une prise secrète dont l’application à abrégé la carrière catchistique de ses 9 challengers précédants.
Joe insiste tant et tant cependant, que finalement, son entraîneur lui arrange un combat avec Le Destructeur. Le combat commence. Rapidement Le Destructeur s’empare de Joe et s’applique à tenter sur lui sa prise secrète. À ce moment précis, l’entraîneur de Joe détourne la tête, sachant très bien ce qui va se passer…
C’est au moment où l’entraîneur à la tête tournée qu’il entend un rugissement, immédiatement suivi de la clameur de la foule. Il se retourne alors pour contempler le désastre… et voit que Joe est parvenu à balancer Le Destructeur par dessus les cordes du ring ! Le combat est très vite terminé, au bénéfice de Joe bien sûr; de retour aux vestiaires, l’entraîneur demande à Joe comment il a réussi ce prodige. Joe lui répond:
« — J’étais la tête en bas, la taille broyée dans les bras du destructeur. J’étais sur le point d’abandonner toute résistance, quand soudain j’ai vu une paire de couilles. Je savais que c’était ma seule chance de lui faire lâcher prise, alors, comme les couilles étaient à portée de mes dents, j’ai mordu dedans un bon coup. »
« — Wow, dit l’entraîneur, quelle présence d’esprit ! Je te félicite, même si ce n’est pas très fair-play, en tout cas, ça a été efficace ! »
« — Oui, répond Joe, c’est incroyable ce qu’un homme parvient à faire quand il mord ses propres testicules. »

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Un homme d’affaire Américain prend l’avion pour aller jouer à la roulette pendant le week-end à Las Vegas. Il perd sa chemise le samedi soir et n’a plus que 5 cents en poche et son billet de retour pour rentrer chez lui. (Prévoyant, il n’a pris aucun chèque et aucune carte de crédit). Malheureusement, il lui faut aller à l’aéroport pour rentrer chez lui… Alors il va vers le chauffeur de taxi qui attend devant le casino et lui explique sa situation. Il promet d’expédier l’argent au chauffeur depuis chez lui, une fois qu’il sera rentré. Il lui propose même de garder son permis de conduire en gage… mais le chauffeur de taxi est intraitable:
« — Si vous n’avez pas les 15 dollars de la course jusqu’à l’aéroport, sortez de mon taxi ! »
Alors l’homme d’affaire descend du taxi et commence à faire du stop pour aller jusqu’à l’aéroport. Naturellement, il rate son avion… Une année plus tard, l’homme d’affaires est de retour à Las Vegas dans le même casino. Cette foisci, il a beaucoup gagné. Et lorsque vient le moment de prendre le chemin de l’aéroport, il s’avance vers la queue de taxis… et qui voit-il en dernière position dans la file de taxis ? Son ‘ami’ qui l’avait envoyé paître l’année précédente ! Alors, il lui vient une idée. Il s’avance vers le taxi en tête de station et demande au chauffeur:
« — Combien pour une course jusqu’à l’aéroport ? »
« — 15 dollars ! »
« — Et combien en plus si je vous demande de me faire une pipe avant d’arriver là-bas ? »
« — Quoi ! ? Va te faire foutre connard ! »
Ensuite, l’homme d’affaires fait le 2
ème chauffeur de taxi, avec les mêmes questions, et obtient les mêmes réponses… et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’il arrive au dernier taxi, celui de son ami intraitable.
À ce moment-là, il monte à l’arrière du taxi et dit:
« — Combien pour une course jusqu’à l’aéroport ? »
« — 15 dollars ! »
« — C’est d’accord ! » répond l’homme d’affaires.
Et le taxi démarre…
Au moment où ils sont en train de doubler toute la file de taxis, l’homme d’affaires se met à la fenêtre du taxi, et regarde chaque chauffeur de taxi de la queue avec un grand sourire aux lèvres en faisant le signe du pouce levé !

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Il y a bien longtemps, du temps des corsaires et des pirates, le capitaine et l’équipage d’un vaisseau du roy étaient sur le point de se faire aborder par un vaisseau pirate.
Sur l’ordre du capitaine, tout le monde est sur le pont et se prépare à riposter à l’assaut des pirates. Le capitaine lance alors à son matelot personnel la phrase que tout l’équipage attend, celle qui donne du courage à tous pour le combat:
« — Apporte-moi ma chemise rouge ! Que tout l’équipage puisse me voir combattre vaillament ! »
Le matelot remonte dare-dare sur le pont avec la chemise rouge et la tend au capitaine qui l’enfile aussitôt. L’abordage a lieu, tout le monde se bat très courageusement, grâce à l’exemple fourni par le capitaine et sa chemise rouge. Finalement, après 2 heures de bataille, le bateau pirate est coulé et les pirates encore en vie sont faits prisonniers. L’équipage fête, comme il se doit, la bataille gagnée contre les flibustiers, puis tout le monde va se coucher pour un repos bien mérité.
Le lendemain au réveil, la vigie réveille tout le monde en criant:
« — Des bateaux pirates nous encerclent. Ils sont au moins 10 ! »
Le capitaine monte sur le pont, suivi de son matelot personnel. Tout le monde attend alors la phrase du capitaine, l’exhortation au combat…
Et le capitaine se tourne vers son matelot et lui dit:
« — Apporte-moi mon pantalon marron ! »

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Suggestion lue dans une usine informatique :
Objet: suppression de la climatisation.
Il est possible de faire de substantielles économies en supprimant la climatisation de l’entreprise Moyen:
Il suffit de mettre d’un côté du bâtiment tous ceux qui brassent de l’air et, de l’autre, tous ceux qui nous le pompent.

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Un beau jour, un mec va s’acheter une moto superpuissante il en est super-fier et il décide de faire un petit tour. Il s’arrête à un feu rouge et qu’est-ce qu’il voit à côté de lui, un ridicule et minuscule petit scooter !
Il se dit:
« — Tu vas voir la puisssance de ma moto ! »
Le feu devient vert vvvvvvvvvvrrrrouooouu: il est parti… Il regarde à côté: ttthhhteuu… le scoouter le suit… Il arrive à un autre feu rouge… Le feu devient vert.
La moto: vvvvrrrrrrrooooouuuumm il décolle !
À côté: ttttthhhhhhheeeeuuu… le scooter le suit encore !
Un autre feu vert feu rouge… Le feu devient vert… La moto: wwwwwrrrrrrrooooooouuuummm !
Le scooter: ttttttthhhhhhhhheeeeeeeuuuuuuuu !
Le gars qui a la moto finit par demander à l’autre:
« — Dis donc, qu’est-ce que t’as mis dans ta bécane ? »
L’autre lui répond:
« — Aarrrêêêêêttte, j’ai ma bretelle coincée dans ton rétrovisseur ! »

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C’est un type avec une moto surpuissante qui est arrêté à un feu rouge. Un adolescent sur une mobylette arrive et lui dit:
« — Ouah, elle est bath ta moto ! »
L’autre:
« — Ouais, tu va voir comme elle démarre ! »
À ce moment le feu passe au vert, le type démarre en trombe et s’arrête au feu suivant 200 m plus loin. 5 secondes après, le type en mob rapplique et lui fait:
« — Impressionnant, mais tu mets pas ton casque ? Moi, j’oserais pas ne pas en porter à cette vitesse. »
Le type en moto lui répond:
« — Ouais, c’est ça, allez, va jouer ! »
Et à ce moment-là le feu passe au vert et il démarre en trombe et s’arrête au feu suivant 200 m plus loin. 5 secondes et le type en mob rapplique et lui fait:
« — T’as tort, c’est dangereux de rouler sans casque. Surtout à la vitesse où tu roules. »
Le type en moto s’énerve mais ne répond rien. Il attend que le feu passe au vert et il part encore plus vite pour semer la mob, mais pas de chance le feu suivant passe au rouge et il s’arrête. Et puis il voit le type en mob qui approche, et il ne veut surtout pas l’entendre encore, alors tant pis, il démarre en trombe… et se plante dans une voiture qui arrive à droite ! Heureusement, il n’y a que de la tôle froissée, pas de blessé. Et le type en mob arrive et dit:
« — C’est dingue, t’es le 5
ème motard sans casque que je rencontre ce matin et qui se plante ! »

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Journal de bord au Québec en hiver. (les termes entre parenthèses sont les traductions en Français). Décembre le 2…
Il vient tout juste de commencer neiger. la 1ère fois de la saison ou ma douce moitié et moi buvons tranquillement notre petit Cognac près de la fenêtre du salon, regardant les doux flocons osciller en tombant, s’attacher aux arbres et couvrir le sol. Que c’est beau et agréable.
Décembre le 9…
Nous nous réveillons avec une incroyablement belle couverture de neige immaculée couvrant tout le paysage. Quelle vue fantastique ! Chaque arbre et chaque arbuste sont couverts d’un beau manteau blanc. J’ai pelleté la neige pour la 1ère fois cette année et je me suis amusé comme un fou. J’ai pelleté le trottoir, l’entrée de la cour. Plus tard, la gratte (chasse-neige) est passée et à recouvert l’entrée de la cour avec de la neige compacte de la rue. Le chauffeur m’a souri et je lui ai envoyé la main en retour. Bah ! Du diable ! Je n’ai qu’à seulement pelleter de nouveau l’entrée.
Décembre le 13…
Le soleil a fait fondre presque toute la neige.
Ah ! Je suis sûr que nous en aurons d’autres avant que ce merveilleux hiver soit fini.
Décembre le 14…
Il est tombé 8 pouces (25 cm) pendant la nuit et la température est descendue à -10. J’ai encore pelleté l’entrée et le trottoir. Peu après, la gratte est repassée et à répété son même petit jeu.
Décembre le 15…
J’ai vendu l’auto et acheté un 4X4 Blazer pour que l’on puisse continuer se promener dans la neige. Je l’ai équipé de 4 pneus-neige.
Décembre le 18…
Je suis tombé sur le cul sur la glace noire dans l’entrée. j’ai laissé 123.00 $ au chiropracteur mais rien n’était brisé en fin de compte. le crisse (putain) de ciel se couvre encore…
Décembre le 19…
Encore frette (très, très froid) en calvaire. -32 ce matin, routes glacées, conduite impossible; j’ai percuté une rampe de l’autoroute avec l’auto de ma femme. Probablement 2 000 $ de dommage. Elle est en tabarnack.
Décembre le 20…
Un autre ciboire de 14 pouces de marde (merde) blanche la nuit passée. Encore de l’eucharistie pelletage aujourd’hui. La St-Crème de gratte est passée 2 fois aujourd’hui.
Décembre le 22…
On est assurés d’un Noël Blanc; parce qu’un autre 7 pouces nous est tombé dessus la nuit passée et avec cette calisse de basse température, elle fondera pas avant le mois d’août crisse ! Je me suis encore habillé pour sortir et pelleter c’te crisse de marde encore: bottes, jump-suit (combinaison de motoneige), foulard, cache-oreilles, gants, … et pis là, j’ai eu envie de pisser !
Décembre le 24…
Si je pogne l’enfant de chienne qui chauffe (conduit) la gratte, j’y fais faire 100 pieds dans la neige en le tirant par les gosses (couilles). Je commence à penser qu’il se cache au coin de la rue et attends que je finisse de pelleter pour venir passer à 100 milles à l’heure devant mon entrée et garocher (pitcher) sa crisse de marde (juron très vulgaire) de la rue dans mon entrée de cour. Décembre le 25…
Joyeux Noël Tabarnak ! Ils prédisent 12 autres pouces de c’te sacrément crisse de marde blanche encore. Y a-t-il quelqu’un qui sait comment de Jésus-Christ, de pelletées de neige, 12 pouces, veulent dire. Fuck le Père Noël ! Il a pas à pelleter le vieux Tabarnak. Le gars de la souffleuse est venu pour une donation. J’y ai calissé un coup de pelle dans la face, le crisse, je l’ai envoyé à l’hôpital dans les chambre 22, 23, 24, et 26. les docteurs pensent qu’il va survivre.
Décembre le 28…
11 autres pouces, je deviens probablement aveugle de la blancheur ou encore je suis un cas sévère de dépression, parce que ma femme commence à être regardable.
Décembre le 29…
La toilette a gelé et le toit s’est renfoncé par le poids d’la maudite marde de neige. Donc, avis aux voisins, si vous sortez dehors, ne mangez pas de neige jaune. Décembre le 30…
J’ai crissé le feu à la maison et je calisse mon camp (Je me casse) en Floride pour toujours et allez vous faire foutre.

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WONDERFUL QUÉBEC
(Récit d’un étranger venu s’installer au Québec).
1er août
Nous venons d’emménager dans notre nouvelle maison au Québec. C’est très beau ici. Les montagnes sont si majestueuses. J’ai très hâte de les voir recouvertes de neige.
1er octobre
Québec est le plus bel endroit du monde. Les feuilles des arbres ont pris toutes les teintes possibles de rouge et d’orange. Nous sommes allés nous promener en montagne et nous avons vu des chevreuils. Quelles créatures gracieuses ! Ce sont certainement les plus beaux animaux de la création. Cet endroit est un Paradis ! Je l’adore.
1er novembre
La saison de chasse au chevreuil commence bientôt. Je ne peux pas croire qu’on puisse tuer un si bel animal. J’espère qu’il neigera bientôt.
J’aime tellement le Québec.
1er décembre
Il a neigé hier soir. Nous nous sommes réveillés ce matin pour découvrir que tout était devenu blanc. On dirait une carte postale. Nous sommes tous sortis et nous avons fait un combat de balles de neige. Quel bel endroit ! J’adore le Québec.
10 décembre
Encore de la neige hier soir. C’est merveilleux ! La charrue nous a encore fait sa petite farce dans l’entrée. J’aime tellement le Québec !
15 décembre
Encore de la neige hier soir. Je n’ai pas pu sortir de ma cour pour aller travailler. Je suis épuisé de pelleter. Crisse de charrue !
21 décembre
Il est encore tombé de la marde blanche hier soir. J’ai des ampoules plein les mains à force de pelleter. Je crois que le gars de la charrue se cache dans un coin de la rue et attend que je finisse de pelleter. Le calisse de chien.
25 décembre
Joyeux sacrament de Noël ! Encore de la tabarnac de neige. Si jamais je mets la main sur le calisse de chien qui conduit la charrue, je m’en vas y faire faire un hostie de boutte sur les coudes. Je comprends pas pourquoi y mettent pas plus de calcium sur les routes pour faire fondre la glace.
27 décembre
Encore de la marde blanche hier soir. Ça fait 3 jours qu’on n’est pas sortis, sauf pour pelleter la tabarnac d’entrée à chaque fois que le calisse de sale passe avec son hostie de charrue ! On peut pas aller nulle part. Le char est pris dans une montagne de calvaire de marde blanche. Le gars de la météo dit qu’y va en tomber 10 pouces à soir.
28 décembre
Le crisse d’innocent de la météo s’est trompé. On a eu 24 pouces de la calisse de marde blanche. Si ça continue comme ça, ça sera pas fondu avant l’mois d’août ! La charrue est restée prise dans le banc de neige sur la route et l’hostie d’écœurant qui la conduit est venu frapper chez-nous pour demander s’il pouvait emprunter ma pelle. Après lui avoir dit que j’avais passé au travers 6 pelles pour pelleter tout la marde qu’il m’avait poussée dans l’entrée, j’y ai cassé la 7ème sur sa crisse de tête.
30 janvier
On a fini par sortir de la maison aujourd’hui. On est allé au magasin pour acheter de quoi manger et en revenant, un calisse de chevreuil s’est braqué devant le char et je l’ai frappé. J’ai pour 3 000 $ de dommage. Crisse de chevreuil ! Comment ça se fait que les hosties de chasseurs les ont pas tous tués au mois de novembre ?
1er mai
J’ai emmené le char au garage en ville. Y’a ben des crisses de trous ! Le tabarnac de char est tout rouillé à cause de l’hostie de calcium qu’ils mettent partout dans les chemins.
30 mai
On est déménagé en Floride. J’peux pas comprendre qu’il y a du monde assez innocent pour vouloir vivre dans une crisse d’Enfer comme le Québec !

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Un nouvel ordinateur super-surpuissant est en démo dans une salle attenante au Pentagone. Comme ça vaut beaucoup de sous, pour calmer 2 ou 3 excités du Congrès, on a même organisé une journée “public”, avec un panel de ménagères bien choisi et les caméras de CNN (TM).
1
ère ménagère (soucieuse):
« — Pourrait-on demander à cette machine ce qu’elle voit pour le boulot et les sous d’ici 10 ans ? »
L’opérateur tape la question, le bidule greu-greute un peu et crache sur l’imprimante:
« L’économie se portera mieux. Tout le monde aura du travail et des sous. »
2
ème ménagère:
« — Et la situation militaire mondiale ? »
Re greu-greu… et:
« — Le monde sera pacifique dans 10 ans. Plus de guerre. Plus besoin d’armées. »
Et enfin, la 3
ème ménagère:
« — Ouais, ben moi j’y pige rien. Le prix du beurre, là, ce sera quoi ? »
Greu-greu…:
« — Le même partout: 25 yuan. »

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C’est à proprement parlé pas vraiment une histoire, mais plutôt un coup à faire à un copain: demandez lui de prendre une feuille de papier et un crayon. Faites lui écrire sur une feuille:
« — C’est combien une place de cinéma ?
Et pour finir faite lui lire la phrase SANS PRONONCER LES ‘C ‘.
Quand, avec bien du mal, il dira:
« — Est ombien une pla de inéma ? »
Vous lui dites:
« — Pour les golios c’est demi tarif ! »
Ça marche à tous les coups.

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Jacques Balutin, Jackie Sardou et Jean Lefebvre sont dans un bateau. Le bateau coule. Qui est-ce qui est sauvé ?
— Le théâtre Français.

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Il y a aussi cette version:
Chantal Goya, Dorothée et Hélène ont un grave accident de voiture ! Qui est-ce qui est sauvé ?
— La chanson Française.

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Les 2b3 tombent tous les 3 d’un avion sans parachute. Lequel des 3 s’écrasera sur le sol en 1er ? — Peu importe !

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C’est un gars qui se rend chez son copain pour récupérer des outils. La femme du copain lui ouvre la porte; elle est toute triste. Le gars dit:
« — Bonjour Martine. Est-ce que Bernard est là ? »

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Martine lui répond en sanglotant:
« — Bernard a eu une terrible attaque ce matin pendant que nous prenions le petit-déjeuner… Il est mort devant moi. »
Le copain reste pensif quelques secondes puis il dit:
« — Et il ne t’a pas parlé de ma boîte à outils ? »

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Ce sont 2 chasseurs à la recherche d’un terrain de chasse. Ils sont en 4X4 et arrivent près d’une ferme. Le conducteur s’arrête et descend de la voiture. Il va s’adresser au fermier qui est en train de réparer son tracteur dans la cour de la ferme.
« — Bonjour Monsieur. Nous autoriseriez-vous à chasser sur vos terres ? »
Le vieux fermier répond:
« — Ça peut se faire. Mais en échange, plutôt que de vous faire payer quelque chose, je vous demanderai une faveur: ce vieux cheval là-bas est atteint d’un cancer des testicules et doit beaucoup souffrir. Cependant, je n’ai pas le courage de le tuer. Voulez-vous bien faire ça pour moi ? »
Le chasseur lui répond:
« — OK ! »
Et il retourne vers sa voiture. Tout en marchant, il se dit qu’il va faire une blague à son copain resté dans le 4X4… Il monte dans la voiture et quand son copain lui demande ce qu’a dit le fermier, il répond:
« — Non, on ne peut pas chasser ici, mais je vais donner une leçon à ce vieux con ! »
Là-dessus, il prend son fusil, sort de la voiture et il abat le vieux cheval et concluant par un “Ça lui apprendra !” À ce moment-là, un 2
ème coup de feu résonne de l’autre côté de la voiture et l’autre chasseur dit:
« — Ouais ! Moi j’ai eu la vache ! »

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Un mec se présente dans un restaurant et propose le deal suivant au patron:
« — Écoutez, moi j’ai pas d’argent, mais je vous propose un pari: vous me présentez une assiette propre, et je vous devine ce qu’il y avait dedans avant de la laver. Si je devine, vous m’offrez un repas. »
Intrigué, le restaurateur accepte. Il pose devant le mec une assiette propre. Le mec:
« — Mmmmh, ça c’était du civet de lièvre au champignons. »
Et effectivement, ça c’était ce que l’assiette avait contenu ! La scène se répète 1, 2, 3 jours. Au bout d’une semaine, le restaurateur commence à en avoir marre de devoir donner à manger gratuitement au mec. Dès qu’il le voit arriver, il va dans l’arrière du restaurant, et demande à la serveuse:
« — Ginette, vite, baisse ta culotte ! »
« — Mais enfin, patron ! ? »
« — C’est pour faire une blague Ginette, baisse ta culotte et frotte toi la chatte contre cette assiette, vite ! Après tu la laves et tu me la donnes. »
Le patron retourne chez le mec assis à sa table et lui donne l’assiette. Le mec renifle une, 2 fois l’assiette, interloqué, et après il demande;
« — Mais la Ginette, elle travaille ici ? »

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C’est un gars qui est au restaurant et qui voit sur la carte un “Poulet de Bresse”. Lorsque le garçon vient prendre la commande, il lui dit que c’est ça qu’il veut. Un peu plus tard, on lui amène un poulet entier rôti. Alors le gars introduit son index dans le fondement du poulet, goûte son doigt et dit:
« — Ah non ! Ce n’est pas un poulet de Bresse. C’est un poulet des Landes. Apportez-moi un vrai poulet de Bresse je vous prie. »
Un peu plus tard, le garçon lui amène un autre poulet rôti. Le client recommence la même manipulation, se léche l’index et dit:
« — Ce n’est toujours pas un poulet de Bresse. celuici vient de la Sarthe, de Louez pour être plus précis. Repartez en cuisine et cette fois-ci amenez-moi un vrai poulet de Bresse. »
Alors encore un peu plus tard, un nouveau poulet rôti est présenté au client. Celui-ci reprend son petit manège. Et cette fois-ci, un sourire éclaire son visage:
« — Ah enfin ! Un vrai poulet de Bresse ! »
Alors le serveur se retourne, baisse son pantalon et lui dit:
« — Vous ne pouriez pas faire quelque chose pour moi, j’ai été élevé à l’assistance publique ? »

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Ce qui suit est un échange au tribunal entre l’avocat de la défense et un fermier demandant un dédommagement pour blessures corporelles.
L’avocat:
« — Sur le lieu de l’accident, avez-vous dit au policier que vous ne vous étiez jamais senti aussi bien de toute votre vie ? »
Le fermier:
« — C’est exact. »
L’avocat:
« — Alors, comment se fait-il que vous demandiez un dédommagement sous le prétexte que vous avez été sérieusement blessé quand le véhicule de mon client a heurté votre van ? »
Le fermier:
« — Quand le policier est arrivé, il s’est dirigé vers mon cheval, qui avait une jambe cassée, et lui a tiré une balle dans la tête. Après il s’est dirigé vers Médor, mon chien, qui était à moitié écrabouillé, et lui a tiré une balle dans la tête. Quand il m’a demandé comment je me sentais, j’ai pensé que compte tenu des circonstances, il était judicieux de dire que je ne m’étais jamais senti aussi bien de toute ma vie. »

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