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AGRICULTEURS
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Un bon gros paysan a acheté un tout nouveau coq, trouvant
le sien trop vieux pour “satisfaire” toutes ses poules.
Alors quand le jeune coq arrive dans la basse-cour, le
vieux coq vient le trouver et lui dit:
« — Salut jeunot, voilà tu sais que j’approche
de la fin, alors si tu veux, tu pourrais me laisser
quelques poules… »
Le jeune coq stupéfié, lui répond:
« — Ah non ! Tu as fait ton temps pépé,
maintenant c’est mon tour, je prends toutes les
poules… »
Mais le vieux coq, malin, lui demande
« — Alors je te propose une course: le 1er
arrivé à la clôture, là-bas aura toutes les poules mais
tu me laisses quand même 1 mètre d’avance, OK ? »
Le jeune coq, costaud, en pleine forme, comparé au vieux
coq, qui a du mal à se tenir sur ses pattes, répond
« — OK, papy, pas de problème, eh. eh.
eh… »
Le jeune coq est persuadé de ne faire qu’une bouchée du
vieux ! La course commence… Le paysan voit son jeune coq
courir après le vieux coq, s’empresse de saisir son
fusil, et mitraille le jeune coq en gueulant:
« — Putain, ça fait le 5ème
coq
que j’achète, c’est le 5ème
coq
pédé ! »
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Eugène, un vieux
paysan, gagne au tiercé et, tout content, il va au
bistrot fêter ça avec ses copains. Il leur dit:
« — Allez, tournée générale ! »
Et puis demande à ses amis:
« — J’aimerai faire un cadeau à ma femme mais
je n’ai pas d’idée. »
« — Offre-lui une télévision couleur. »
« — Oh mais elle en a déjà une. »
« — Eh bien, une machine à laver alors. »
« — Oh, mais elle en a déjà une aussi. »
« — Je sais, offre-lui un balai à chiotte, tu
verras c’est bien pratique. »
« — Oh ben, oui, c’est une bonne idée car elle
n’en a pas. »
Eugène quitte le bistrot et va acheter son balai et
l’offre a sa femme. Quelques jours plus tard, les amis
d’Eugène lui demandent:
« — Alors ta femme était contente de son
cadeau ? »
« — Oui, elle était contente de son balai, elle
s’en est servie 3 jours mais finalement elle est revenue
au papier elle trouve ça plus
pratique ! »
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C’est un
agriculteur qui laboure son champ… depuis des années. Un
beau jour sa femme se casse et n’étant plus secondé par
sa femme, il vend sa ferme et s’installe à la ville où il
devient vitrier. À des gens à qui il racontait son
histoire, il finit par:
« — Ah ! Avant je labourais, maintenant je
mastique ! »
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C’est 2 vieilles
paysannes qui ramassent des patates, à un moment l’une
d’elles saisit 2 grosses patates pleines de terre et dit
à l’autre:
« — Vingt Dieux, elle sont comme les couilles
de mon Victor ! »
Alors l’autre:
« — Aussi grosses ! ? »
« — NON, aussi
sales ! »
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Eugène, un vieux
paysan du Berry est enrhumé et décide d’aller voir son
médecin. Il arrive en ville, monte les étages
difficilement et s’installe dans la salle d’attente.
« — Personne suivante ! » dit le
médecin.
« — Voilà, voilà ! » dit Eugène.
« — Entrez, dit le médecin, et
déshabillez-vous. »
Eugène se déshabille et le médecin constate qu’Eugène ne
porte pas de slip.
« — Comment vous ne portez pas de
slip ? » dit le médecin.
« — Mais c’est indispensable, en effet un slip
c’est propre et c’est chaud. »
« — Ah non, fait Eugène, j’ai 60 ans et je
n’en ai jamais porté. »
Le médecin l’examine et constate juste un gros rhume. Il
lui prescrit un sirop pour la toux et des pastilles pour
la gorge, et il lui dit également d’aller acheter des
slips. Et n’oubliez pas:
« — Un slip, c’est chaud et c’est
propre. »
Eugène va acheter ses médicaments et ses slips et rentre
chez lui. Le lendemain, il met son slip et va au champ.
Il monte sur son tracteur et laboure son champ. Une heure
plus tard, il lui prend une envie pressante. Il descend
de son tracteur, baisse son pantalon et oublie qu’il a un
slip. Il fait son gros besoin. Il renfile son pantalon et
se retourne.
« — Oh, il avait raison le docteur, un slip
c’est propre. »
Eugène remonte sur son tracteur et s’assoit.
« — Oh, il avait raison le docteur, un slip
c’est chaud. »
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Un type se perd
dans la forêt. Heureusement il se fait héberger par un
paysan qui lui offre le gîte et le couvert. Le lendemain,
le type qui voudrait remercier le paysan, constate qu’il
n’a pas un rond en poche, mais, comme il est ventriloque,
il décide de lui faire un petit tour en guise de
remerciements. Le type va vers une poule et lui dit:
« — Salut Madame la poule ! Comment ça
va ? »
La Poule:
« — Bonjour Monsieur, ça va bien, il y a juste
le paysan qui me pique mes œufs, mais autrement ça
va… »
Le paysan, estomaqué:
« — DeDieu ! Vous faites parler les
poules ? »
Le type:
« — Oh, pas rien que les poules,
regardez ! »
Il va vers la vache:
« — Salut la Vache, comment ça va ? »
La Vache:
« — Bonjour Monsieur, ça va, il y a juste le
paysan qui me tire mon lait tous les matins, mais sinon
ça va… »
Le Paysan:
« — CrévinDieu ! Les vaches
aussi ? »
Le type:
« — Oh tous les animaux, regardez
celle-ci ! »
Il va vers la chèvre et fait:
« — Bonjour, Madame la chèvre ! »
Alors le paysan, tout affolé, dit au type:
« — L’écoutez pas ! C’est une
menteuse ! »
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Le fermier
s’installe pour traire sa vache, petit tabouret, seau en
dessous du pis, et on y va à la manœuvre… Au bout d’une
minute, la vache donne un coup de sabot dans le seau…
« — Ch@* ?% $ de vache ! »
s’exclame notre héros rural, il attache la patte de la
coupable à un poteau, et reprend sa laitière besogne…
Une autre minute s’écoule et la vache, de l’autre patte,
renverse le lait,
« — Bor% $ ?* de vache de mes
2 ! » s’époumone l’agraire personnage tout en
attachant la 2ème
patte
à un autre poteau, et il se remet à la tâche…
La vache, opiniâtre en diable, lui refait le coup, mais
cette fois à l’aide de sa queue !
« — Ah baptême, de baptême ! jure-t-il
derechef, j’vas t’arranger ça moé tu va voère… »
dit-il en attachant la queue de sa Marguerite à une
poutre du plafond.
Comme il est à sa besogne, ses bretelles se font la
paire, ses culottes lui tombent sur les chevilles et son
épouse entre dans l’étable… et là, le fermier se dit:
« — Eh merde, elle voudra jamais me
croire… »
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C’est un gars qui
cherche à acheter une ferme. Un beau jour, alors qu’il se
balade en voiture, il en voit une qui se trouve située
idéalement. Il s’arrête et va à la rencontre de
l’agriculteur qui se trouve avoir dépassé l’âge de la
retraite depuis longtemps (et donc, il est prêt à
vendre).
Tous les 2 discutent, et finissent même par s’accorder
sur le prix. Pourtant, l’acheteur potentiel met une
condition:
« — Y a-t-il des abeilles dans la ferme ?
Je ne les supporte pas ! »
Le paysan répond qu’il n’y a pas plus d’abeilles dans sa
ferme qu’il n’y en a au pôle nord. Pour lui prouver ses
dires, le paysan lui fait le pari de l’attacher nu à un
arbre, et de le couvrir de lait (il n’y a que ça de sucré
et de disponible à la ferme): si au bout d’une heure
l’acheteur a été piqué par une abeille, alors il pourra
avoir la ferme gratuitement !
Naturellement, l’acheteur potentiel est prêt à tenter le
pari, et se laisse attacher nu à l’arbre. Une heure plus
tard, le fermier revient voir son acheteur.
Avant même de le voir, il l’entend crier comme un cochon
qu’on égorge. Le paysan lui demande:
« — Ne me dites pas que vous avez été
piqué ? »
Le gars lui répond:
« — Non, non, mais par pitié, ne pourriez-vous
pas montrer à ce veau qui est sa
mère ? »
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C’est un mec qui
se promène à la campagne, lorsqu’il croise une toute
petite fille de 6 ans qui conduit une vache au bout d’une
corde. Le mec lui dit:
« — Ben où tu vas, comme ça, avec ta
vache ? »
« — Je l’emmène au taureau m’sieur. »
« — Ben, ton père ne pourrait pas le
faire ? »
« — Oh non ! Il faut un taureau pour
ça ! »
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Un Parisien arrive
chez des amis à la campagne… Son ami paysan le
reçoit:« — Cré vingt diou ! C’est-y pas
l’Maurice ! »
« — Si, si. Bonjour Serge… Alors… toujours
autant de mouches dans la ferme ? Je me rappelle
l’année dernière il y avait plein de mouches partout,
c’était invivable ! »
« — Ah non ! À c’t’heure, j’ai trouvé un
truc, maintenant j’utilise l’pépé ! »
« — Ah bon ? »
« — Ben ouais, on enduit l’pépé de miel et
zouuu toutes les mouches elle vont sur lui cré d’vin
diou ! »
« — Ah mais il doit gigoter dans tous les sens…
le pauvre ! ? »
« — Ah ben non ça… l’est
paralysé. »
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C’est Jeannot le
fermier qui se sent pas super-bien, aujourd’hui…
D’habitude, il se lève avec les poules (et même un peu
avant) et va chercher quelques bûches dans la remise pour
que Raymonde puisse faire chauffer l’eau des patates à
midi, et ça se passe bien. Mais là, il lève les bras pour
choper sa bûche et OUAILLE, il se sent tout fripé, tout
tiré, tout tire-bouchonné dans l’entrejambe.
Ça lui rappelle le jour où la Raymonde et lui prenaient
du bon temps dans l’étable du père Mathieu et qu’il
s’était pris un coup de sabot de la Blanchette (qu’était
un peu nerveuse à cause des cris). Il se souvient qu’à
l’époque, son père l’avait amené chez le vétérinaire pour
lui examiner les coucougnes.
Alors aujourd’hui, il décide de sortir la 2 CV et d’aller
en ville voir un toubib. Arrivé au cabinet du docteur, il
patiente un peu. Puis le docteur vient le chercher et
l’écoute dire qu’il a mal aux coucougnes.
« — Enlevez votre pantalon. »
Jeannot enlève ses bretelles et ses braies tombent par
terre. Alors le docteur lui dit:
« — Ohlala, mais ça m’étonne pas, que vous ayez
mal ! Vous ne mettez pas de slip ? »
« — Bah non, ma doué ! »
« — Pas de caleçon, rien ? »
« — Ben non cré vin diou ! »
« — C’est pour ça ! On est en hiver, et il
faut que vous teniez vos testicules au chaud, sinon
forcément vous allez en souffrir… Allez donc vous acheter
un slip !… Et puis vous verrez, c’est plus propre et
ça tient bien chaud ! »
« — Ah bin d’accord, alors. »
Jeannot paie le toubib et s’en retourne chez lui, après
avoir acheté un magnifique slip kangourou blanc taille 5.
Il revient à la maison… euh, à la ferme, et va voir la
Raymonde:
« — Ça y est, le docteur il m’a dit ce qui
allait pas, maintenant j’ai un slip, et c’est plus propre
et ça tient chaud ! »
« — Bon Dieu d’la ! » dit la
Raymonde, avant de retourner aux fourneaux.
Jeannot retourne alors travailler sur son tracteur. Au
bout de 2 heures, il ressent un besoin pressant. Il
descend de tracteur, court vite vers un buisson, baisse
son pantalon et… pousse. Quand il a fini, il se relève et
boucle son ceinturon en regardant en arrière: rien !
Pas la moindre petite crotte ! Pas d’odeur, pas de
trace, rien !
« — Bah, dis donc, c’est vrai que c’est plus
propre ! »
Il retourne au tracteur, satisfait, et s’assied au
volant:
« — Mais Cré vin diou, c’est que c’est vrai
aussi que ça tient chaud ! »
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C’est un fermier
qui se retrouve à l’hôpital avec une jambe cassée.
L’interne de garde lui demande:
« — Comment est-ce arrivé ? »
Le fermier commence:
« — Eh bien, c’était il y a 25 ans… »
L’interne l’interrompt:
« — Ne me racontez pas votre vie: Dites-moi
simplement comment vous vous êtes cassé la jambe ce
matin ! »
Le fermier répond:
« — Comme je vous le disais, il y a 25 ans, je
travaillais comme journalier dans une ferme de la région.
C’était ma 1ère
nuit
sur place, et juste après que je sois couché, la fille du
fermier (une superbe créature) est entrée dans ma
chambre. Elle m’a demandé si je n’avais besoin de rien.
je lui ai répondu: “Non, non, tout va bien”. Puis elle a
encore demandé: “Vous êtes vraiment sûr qu’il n’y a rien
que je puisse faire pour vous ?” et là, je lui ai
répondu: “Non, non, je vous remercie”. »
L’interne reprend la parole et demande:
« — Mais je ne vois pas très bien ce que cette
histoire a à voir avec votre jambe ? »
Et le fermier répond:
« — Ben, c’est que ce matin, alors que je
réparais mon toit, j’ai finalement compris ce qu’elle
avait voulu dire… et je suis tombé par
terre ! »
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Une paysanne gagne
un week-end à Paris… Quand elle revient, son mari lui a
préparé une bonne potée aux choux… Après le repas, la
paysanne veut montrer à son mari un truc qu’elle a appris
en regardant une revue cochonne, et qui s’appelle le 69.
Les 2 prennent la position et commencent le travail.
C’est sympa pendant 5 minutes, après quoi le chou
commence à macérer sévère, et la femme finit par péter au
nez de son mari. 2 minutes passent et la femme lâche un
2ème
pet.
Le mari s’exclame alors
« — Dis donc la Marie, j’espère qu’il n’y en a
pas encore 67 comme ça. »
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C’est un éleveur
de vache qui se retrouve avec une vache qui louche. Ça
l’embête pas mal, parce que sa vache n’arrête pas de se
cogner partout. Alors, pour voir si on peut faire quelque
chose, il appelle le véto. Le véto l’examine puis il dit:
« — Je vais vous montrer comment lui remettre
les yeux d’aplomb. Mais malheureusement, la correction ne
sera que temporaire, et il faudra renouveler l’opération
à chaque fois que la vache se remettra à loucher. »
Alors le véto prend un tuyau, introduit une extrémité
dans le rectum de la vache, place sa bouche à l’autre
extrémité et souffle un bon coup ! Et Pof, comme par
magie, les yeux de la vache sont rectifiés… Le fermier
est tout content de voir sa vache redevenue normale, mais
ça ne dure pas, car avant qu’ils ne partent, la vache
s’est remise à loucher. Le véto dit à l’éleveur d’essayer
la technique par lui-même. Le fermier prend alors le
tube, inverse les côtés et s’apprête à souffler quand le
véto dit:
« — Mais qu’est-ce que vous faites, Pourquoi
avez-vous inversé le tube ? »
« — Bah, pour pas mettre ma bouche là où vous
avez mis la vôtre ! »
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L’avocat:
« — Sur les lieux de l’accident, n’avez-vous
pas dit au policier que “vous ne vous étiez jamais senti
aussi bien de toute votre vie ?” »
Le fermier:
« — C’est exact. »
L’avocat:
« — Et c’est maintenant seulement que vous
venez vous plaindre d’avoir été sérieusement blessé dans
l’accident entre la voiture de mon client et votre
carriole ! ? »
Le fermier:
« — C’est parce que, lorsque le policier est
arrivé sur les lieux de l’accident, il est allé voir mon
cheval, qui avait une patte cassée, et il l’a descendu
d’une balle dans la tête. Ensuite, il est allé vers
Rouky, mon chien qui était couché sur la route et qui se
vidait de son sang, et il l’a descendu lui aussi. Alors
quand ensuite il s’est approché de moi et m’a demandé
comment je me sentais, j’ai pensé qu’il valait mieux lui
dire que j’allais parfaitement
bien. »
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C’est un
technocrate européen qui a décidé que dorénavant, tous
les œufs de poule devraient être datés du jour de ponte.
Naturellement, on fait procéder à des inspections
surprises… Dans une petite fermette du fin fond de la
Creuse, un inspecteur de la D.G.C.C.R.F. ramène sa
fraise.
« — Bonjour madame. Je suis inspecteur de la
répression des fraudes. Je suis venu constater si vous
procédiez bien au marquage du jour de ponte sur tous les
œufs que vous vendez. »
« — Ah ben ça oui mon gars. Bien sûr qu’y sont
datés mes œufs. Tiens, regarde… »
Alors l’inspecteur regarde les œufs, et constate que sur
chaque œuf est inscrit “Aujourd’hui… Aujourd’hui…
Aujourd’hui…”
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Dans un petit bled
paumé du Larzac, en plein hiver, un gars dérape sur une
plaque de verglas avec sa voiture et tombe dans le fossé.
Heureusement pour lui, le père Mathieu passe par là avec
son percheron Basile et la carriole. Gentiment, le père
Mathieu propose à l’automobiliste de le sortir de ce
traquenard. Il attache la voiture au moyen d’une corde à
la carriole et commence à crier:
« — Hue Bébert, hue ! »
Mais Basile le percheron ne bouge pas. Alors le père
Mathieu crie:
« — Hue Mado, hue ! »
Mais Basile ne bouge toujours pas. Le père Mathieu
relance:
« — Hue Nestor, hue ! »
Aucune réaction de Basile. Enfin Mathieu dit:
« — Hue Basile, hue ! »
Et enfin, tout tranquillement, Basile le percheron tire
la voiture hors du fossé. L’automobiliste content
s’enquiert auprès du père Mathieu:
« — Dites-moi un peu, comment cela se fait-il
que vous ayez appelé votre cheval 3 fois de suite avec un
mauvais nom ? »
« — Ah, ça, c’est parce que Basile est non
seulement aveugle, mais il est aussi fainéant comme pas
possible: S’il se pensait être le seul à tirer, il aurait
même pas essayé ! »
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C’est 3 gars qui
se rencontrent dans un bar après être perdu de vue depuis
près de 3 ans.
Le 1er
dit
aux 2 autres qu’il s’est acheté une ferme de
20 hectares avec une vingtaine de vaches et qu’il se
fait environ 80 000 F de bénéfice par année.
Le 2ème
quant
à lui dit qu’il a aussi acheté une ferme mais de
40 hectares avec une trentaine de vaches et qu’il se
fait environ 150 000 F de bénéfice par année.
Le 3ème
se
tord de rire à en pisser dans ses culottes, un de ses 2
amis lui demande pourquoi et il répond qu’ils sont
complètement loosers parce que lui il a 4 vaches,
50 mètres de trottoir et qu’il se fait environ
500 000 F par année.
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C’est Dédé et
Marius qui sont assis sur un banc sous les platanes dans
un petit village très rural. Les 2 vieillards parlent du
passé:
« — Dédé, tu sais ce qu’il me rappelle le champ
là en face de toi ? »
« — Non Marius. »
« — Eh bien c’est dans ce champ que pour la
1ère
fois
j’ai fait l’amour… »
« — Non ? »
« — Si, si, c’est vrai ! C’était avec la
Germaine. »
« — C’était comment, raconte ! »
« — Oh, tu sais pour une 1ère
fois
c’était plutôt sympa ! »
« — Je m’en doute… »
« — Et tu sais quoi, il y avait sa mère qui
nous regardait ! »
« — Non, tu te fous de ma gueule ! »
« — Si je te jure ! »
« — Et qu’est-ce qu’elle disait en vous
regardant ? »
« — Meuuuuhhh ! »
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C’est un couple de
vieux paysans qui participe à la remise des prix d’un
concours de taureaux.
Le présentateur annonce les prix:
« — 3ème
prix,
le taureau Gédéon, 3 ans, 3 saillies par jour. »
La vieille (tapant du coude son mari):
« — T’entends 3 fois par jour ! »
Le présentateur:
« — 2ème
prix,
le taureau Géronimo, 5 ans, 6 saillies par jour. »
La vieille (idem):
« — T’entends ? ! »
Le présentateur:
« — 1er
prix,
le taureau Germain, 4 ans et demi, 9 saillies par
jour. »
La vielle (idem):
« — T’entends ! »
Le vieux (s’adressant au présentateur):
« — Dis donc mon gars, les 9 fois par jour,
c’est avec la même vache ? »
Le présentateur:
« — Bien sûr que non ! »
Le vieux (à sa femme):
« — T’entends ! »
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C’est un couple de
paysans qui débarquent à Paris pour le salon de
l’agriculture. La femme veut en profiter pour faire ses
emplettes chez Tati. Là, elle essaye un très joli short
comme on en trouve pas ailleurs, mais hélas impossible de
rentrer dedans. Elle essaie un chouette de bermuda
élastique, mais malgré tous ses efforts… c’est pas sa
taille. Le mari, qui a toujours un mot gentil pour sa
pépette:
« — Tu trouveras rien… T’as le cul large comme
une batteuse ! »
Après une journée bien remplie, ils se retrouvent à
l’hôtel. Comme il a une petite envie le bonhomme commence
à tripoter sa Germaine, qui se retourne en disant:
« — Tu ne pense pas que j’vais mettre la
batteuse en route pour un si petit
épi ? »
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C’est un jour le
père Eugène (celui de la pub Iseki) qui passe par la
ferme des Mastard pour leur parler de la prochaine
manifestation contre Bruxelles. Comme il ne voit personne
dans la cour de ferme, il va tremper ses bottes dans la
boue, et entreprend d’aller voir dans l’étable. À peine
entré dans l’étable, qu’est-ce qu’il voit-y pas ?
Les 2 fils Mastard, montés sur un tabouret, qui sont en
train de baiser une vache ! Assez interloqué, le
père Eugène, vieux garçon tranquille, rentre dans sa
ferme sans rien dire.
Mais en chemin il réfléchit et se dit:
« — Si les fils Mastard font ça, c’est que ça
doit pas être si mauvais que ça… »
Alors il va se chercher un tabouret dans sa cuisine,
marche jusque dans son étable, se choisit une génisse pas
farouche et entreprend de la besogner… À ce moment-là,
alors qu’il est en train de prendre son pied, les fils
Mastard (qui l’avaient vu venir chez eux et qui l’avaient
suivi) se montrent à la porte de l’étable et partent d’un
grand éclat de rire ! Le père Eugène leur demande:
« — Et pourquoi vous rigolez, bande de p’tits
cons ? Je viens de vous voir faire la même chose
chez vous ! »
Alors les 2 frères:
« — Et ouais ! Mais t’as pas vu laquelle
tu tires ? ! T’as choisi la plus moche du
troupeau ! »
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Dans une ferme au
fin fond du Jura, 2 fermiers typiques: Albert et sa femme
la Marie.
Il est 10 h environ au cadran solaire de la ferme.
Comme chaque lundi, la Marie balaie la cour. Soudain,
elle voit passer, devant son balai et à toute vitesse
comme s’il était effrayé par quelque chose, un petit
poussin. Il n’est pas jaune, sa couleur naturelle mais
brunâtre, dégoulinant et surtout dégage une forte odeur
indescriptible. Pas de quoi en faire un plat, la Marie
reprend son balai et son geste franchement inutile. Et de
2, un 2ème
poussin, dans le
même état que le 1er
et
dans une course effrénée, des cris stridents et les yeux
exorbités, s’enfuit au fond de la grange. Étrange se
dit-elle, balayant de plus belle. Et de 3, le
3ème
poussin
dégoulinant, carrément noir vient heurter son balai avant
de détaler à tire-d’aile. Cette fois la Marie fonce vers
le coin de la ferme et s’écrie:
« — C’est toi l’Albert ? »
« — Oui, c’est moi !… Dis donc, la Marie,
t’aurais pas du papier parce que là, j’ai plus de
poussin ! »
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Retrouvons
l’Hubert et la Marie au moment de passer leur nuit de
noces. La Marie se déshabille, s’couche; l’Hubert ar’tire
l’patalon, l’pose sur le rebord du lit, r’tire sa k’mise
met sa k’mise de nuit pi y s’couche. Il s’endort
aussitôt. La Marie s’dit:
“La mé m’avions point dit kchétait comme cha la nit
d’noces !”
Elle secoue l’Hubert:
« — Hubert, Hubert ! »
Hubert:
« — M’ouai ! »
Marie:
« — Ai frais du côté drait ! »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à draite de
Marie pis y s’endort. Marie est inquiète et 5 minutes
plus tard, Marie:
« — Hubert ! »
Hubert:
« — Mhum… »
Marie:
« — Ai frais du côté gauche ! »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à gauche de
Marie pis y s’endort. Marie est de plus en plus inquiète.
Marie, d’une voix ferme:
« — Ai frais du côté drait ! »
Hubert:
« — Marie, j’veux ben enco’ fair’ un effort,
mais c’est l’dernier ! »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à draite de
Marie pis y s’endort. Marie, 10 minutes plus tard:
« — Hubert, Hubert, ai frais du côté
gauche ! »
Hubert:
« — Non, Marie, j’t’ai dit qu’c’était la
dernière fois !
Marie:
« — T’as pas besoin d’te l’ver, t’as qu’à
passer pa’d’sus mé ! »
Hubert:
« — Ah bah cha, est pas bête, y’avait point
pensé ! »
Hubert entreprend de passer par dessus Marie, et
lorsqu’il est sur elle, elle le coince entre ses cuisses
et lui dit:
Marie:
« — Hubert, comment qui fait
l’taureau ? »
Hubert:
« — Meuh ! »
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C’est un paysan
qui a une étable avec une vache. Un jour il décide
d’aller acheter une poule, il la ramène et l’installe
avec la vache dans son étable. Le lendemain matin il va
dans son étable, prend sa poule et lui met un doigt dans
le cul (pour voir s’il y a un œuf qui se prépare). La
poule est légèrement choquée… Le jour d’après, idem, un
doigt dans le cul. Encore le lendemain, un doigt dans le
cul… La poule est vraiment choquée, elle demande à la
vache:
« — Dis donc, c’est comme ça tous les jours
ici ? Qu’est-ce qu’il a ce type à venir me
fourrer ses doigts dans le cul, il est pas
normal ! ? »
Et la vache lui répond:
« — Ma pauvre, m’en parle pas ! Moi ça
fait des années qu’il me caresse les seins, et il ne m’a
encore jamais embrassé sur la
bouche ! »
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Un paysan et sa
femme sont couchés un soir, la femme tricotte et le mari
lit "Le chasseur Français". Levant ses yeux de sa
lecture, l’homme dit:
« — Tu sais que l’être humain est la seule
espèce capable d’orgasme ? ! »
Le femme le regarde un moment, puis lui répond:
« — Ah oui ? Prouve-le ! »
À son étonnement, le type se lève et s’en va. Une heure
après il revient, couvert de boue et de sueur.
« — Pour les vaches et les chèvres, c’est
prouvé; mais les truies c’est difficile à dire, de toute
façon elles sont toujours en train de
gueuler. »
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C’est une audience
du tribunal de Corrèze. On est en train de juger un gars
du genre simplet pour zoophilie… Le gars est accusé
d’avoir forniqué avec un mouton ! Le procureur
demande au témoin à charge de raconter ce qu’il a vu:
« — Eh bien, monsieur le procureur, je suis
retraité, et ce jour-là, je me baladais dans un chemin.
J’ai vu ce mouton qui broutait consciencieusement, et cet
homme, l’accusé, qui est arrivé tout doucement par
derrière… »
« — Et ensuite ? »
« — Ensuite, il a débouclé sa ceinture et
attrapé le mouton… »
« — Et après ? »
« — Ben, après, il a besogné le mouton comme
ça, en levrette pendant 2-3 minutes. Et c’est alors que
le mouton s’est retourné et l’a léché ! »
Alors en entendant ça, un des membres du jury se tourne
vers un des jurés à côté de lui et lui dit à l’oreille:
« — Et ben quoi ?… Tous les bons moutons
font ça ! »
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Un dimanche matin
au bistrot du village, un bon gros paysan de la France
profonde discute avec un autre fermier:
« — Avant-hier, lui dit-il, mon père a tué son
gros cochon de 150 kg. et il a réussi à faire
100 kg. de saucisse. »
« — Ben ! lui répond l’autre, c’est rien
ça. Moi mon père, avec un petit bout de saucisse “comme
ça”, il est arrivé à faire un gros cochon comme
moi ! »
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C’est un paysan
sur sa charrette, son chien à côté de lui. La charrette
est tirée par un cheval, vieux, maigre, malade et
fatigué. Le paysan tape à tour de bras sur le cheval. Au
milieu de la côte, le cheval s’arrête, se retourne dans
ses brancards, croise les sabots et dit au paysan:
« — Voilà vingt ans que tu me fais travailler
sans me donner à bouffer. Je commence à en avoir
marre… »
Médusé, le paysan s’exclame:
« — Ça alors, c’est la 1ère
fois
que j’entends un cheval parler… »
Et le chien, à côté de lui, ajoute:
« — Moi aussi. »
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C’est l’histoire
d’une famille de 4 personnes, mère, père, et 2 fils, qui
ont une vache. Et pour eux, la vache est très importante,
car elle leur procure le lait, des veaux, du beurre, des
fromages…
Et, un matin, la mère sort pour aller traire la vache, et
elle trouve la vache morte. Alors, très chagrinée, elle
fait un arrêt cardiaque et meurt.
Une heure après, le mari sort et va à l’étable, et il
trouve la vache morte et sa femme morte à côté. Frappé
par les événements, il fait une rupture d’anévrisme, et
meurt.
Un peu plus tard, le grand fils se réveille, et ne voyant
pas ses parents, il sort les chercher, et les trouve tous
les 2 morts à côté de la vache morte.
Alors, dégoûté de la vie et n’ayant plus de raison
d’exister, il décide de se suicider, et va à la rivière
pour se jeter dans l’eau. Là, il voit une sirène qui est
assise sur un rocher, et lui parle.
Elle lui dit qu’elle connaît son malheur, et qu’elle peut
ressusciter tout le monde, à condition qu’il fasse
l’amour avec elle 10 fois sans s’arrêter.
Alors, le fils très content de cette nouvelle décide
d’essayer. Et il essaye, mais au bout de 7 fois, il n’en
peut plus, et abandonne, alors, il se jette à l’eau et se
tue.
Vers midi, le plus jeune fils se lève, et n’entendant
aucun bruit, va à l’étable, et trouve la vache, sa mère
et son père mort. Alors, dépité, il décide de se tuer
dans la rivière.
Mais là, il voit la sirène sur le rocher qui lui parle et
lui dit qu’elle connaît son malheur, mais qu’elle peut
tout arranger s’il fait l’amour avec elle 20 fois
sans s’arrêter. Elle lui dit aussi que son grand frère a
essayé, mais qu’il a échoué.
Alors le jeune garçon réfléchit, et demande à la sirène.
« — Vingt fois c’est tout ? »
La sirène étonnée répond:
« — Trente fois si tu veux. »
Le garçon regarde la sirène et demande:
« — Trente fois c’est tout ? »
La sirène ne comprend pas trop et lui dit:
« — Quarante fois si tu veux. »
Le garçon lui dit:
« — Quarante fois tu es sûre ? »
La sirène répond:
« — Oui. »
Alors le garçon lui dit:
« — Parce que hier soir, la vache, à la
quarantième fois, elle est
morte. »
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Dans un bar
Parisien, une superbe nana est abordée par un jeune gars
d’la campagne fraîchement débarqué dans la capitale pour
le salon de l’agriculture. Le jeune gars qu’a pas froid
aux yeux l’aborde comme ça:
« — Eh dis donc, qu’est-ce que tu dirais si je
te ramenais chez moi. T’es le genre de fille qui se
plairait bien chez nous. Et pis tu sais, on pourrait
passer du sacré bon temps ensemble ! »
La fille amusée lui répond:
« — Je ne sais pas trop… D’où es-tu
exactement ? »
« — Je viens du Cantal, le pays où les hivers
sont rudes et les hommes sont des vrais hommes. »
« — Oh, j’ai entendu parler de vous les gars du
Cantal… il paraît que vous baisez avec des truies, des
chèvres, des vaches, des poulets… »
Le gars l’interrompt indigné:
« — DES
POULETS ? ! »
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C’est un couple de
vieux agriculteurs qui ont passé toute leur vie dans les
Causses. Un beau jour, ils gagnent au Loto, et ils sont
invités à venir toucher leur chèque à Paris. Pris en
charge dès le début de leur périple par la Française des
Jeux, ils passent du TGV au taxi, puis le taxi les emmène
dans un palace Parisien. Et là, c’est l’esclandre. Le ton
monte très vite. Madame dit au groom:
« — Il n’est pas question que l’on passe la
nuit dans une chambre aussi petite ! Qu’il n’y ait
pas de salle de bains, passe encore, mais pas de fenêtre,
pas de lit, ça c’est trop ! »
« — Mais madame… »
« — Il n’y a pas de “Mais madame” ? Vous
ne pouvez pas nous traiter comme de la merde simplement
parce qu’on débarque de la campagne et qu’on est jamais
allé à l’hôtel. Je vais me plaindre au directeur. Où
est-il ? »
Alors le groom lui dit:
« — Mais madame, ce n’est pas votre chambre,
c’est l’ascenseur. »
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Un V.R.P. fait du
démarchage en pleine cambrousse. Il est déjà très tard,
et, alors qu’il pensait rentrer à l’hôtel pour dîner et
se coucher, sa voiture tombe en panne. Malheureusement
pour lui, il n’a pas de téléphone mobile et il n’y a pas
d’habitation dans les parages. En fait, si, il y a cette
ferme là-bas plus loin. Le V.R.P. décide de marcher
jusque-là. Sur place, le fermier et la très jolie
fermière l’accueillent. Le V.R.P. demande à passer un
coup de fil pour être dépanné par Peugeot assistance,
mais le fermier lui dit qu’il n’a pas de téléphone. Par
contre, très gentiment, le paysan propose au gars de
l’héberger pour la nuit, et de tirer sa voiture son
tracteur jusqu’au village voisin le lendemain matin. Le
V.R.P. accepte de bon cœur; ils prennent le repas (sans
télévision - eh oui, ça existe) et dès 10 heures du
soir, le fermier dit qu’il est l’heure de “faire un gros
dodo”. Mais il ajoute:
« — Nous n’avons qu’une chambre, aussi vous
devrez coucher sur le canapé du salon. »
Après la toilette, tout le monde rejoint sa couche et
s’endort. Enfin presque, car quelques minutes après
s’être couché, le V.R.P. reçoit la visite de la fermière,
en chemise de nuit, qui vient lui susurrer à l’oreille:
« — Faites-moi l’amour ! »
Le V.R.P. n’est pas sûr de l’attitude à avoir:
« — Mais votre mari est dans l’autre pièce, il
va nous entendre ! »
« — Rien à craindre de ce côté-là: il dort
comme une marmotte… »
Et pour lui montrer qu’elle dit vrai, elle le tire jusque
dans la chambre maritale, tire les couvertures du lit et
met à nu le postérieur de son mari, duquel elle arrache
un poil d’un coup sec sans que celui-ci ne se trémousse
le moins du monde ! Rassuré par tant de
tranquillité, les amants s’en donnent à cœur joie et
réinventent des positions du Kama-Soutra. Le
çava-ça-vient dure une bonne heure, et alors que la femme
semblait assouvie, elle se lève, va manger un bout de
saucisson, se refait une santé, et revient voir son
V.R.P. d’amour en lui disant:
« — Chéri, encore ! »
Le V.R.P. se demande si, à force, le mari ne va pas se
réveiller. Une fois encore, la femme l’emmène dans la
chambre prélever un 2ème
poil
de cul sans que cela ne crée l’ombre d’un frémissement.
Et du coup le ça-va-ça-vient reprend de plus belle.
L’opération se répétera une nouvelle fois par la suite,
et finalement, les 2 amants exténués repartiront dans
leurs draps respectifs pour terminer la nuit; le
lendemain matin, au déjeuner comme on dit, le V.R.P. se
retrouve en face du fermier et se sent un peu honteux. À
ce moment-là, le fermier lui dit:
« — Tu sais mon gars, j’ai rien contre le fait
que tu fasses l’amour à ma femme sous mon toit, mais
estce qu’il fallait vraiment que tu marques ton score en
me tirant les poils du
cul ? »
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