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MILITAIRES
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Dugenou fait son service dans un régiment d’infanterie. Sa sœur vient de mourir dans un accident de voiture, mais il ne le sait pas encore. Son Colonel l’apprend via la brigade de Gendarmerie et fait appeler l’adjudant de semaine:
« — Adjudant Lafleur ! »
« — Vos ordres mon Colonel ! »
« — Oui, dites-moi, Lafleur, la sœur de Dugenou est décédée ce matin. Je vous ai fait appeler pour que vous lui annonciez la nouvelle avec tact. Dugenou est un garçon sensible, et vous saurez le ménager. »
Lafleur sort du bureau du Colonel et fait sonner le rassemblement. Une fois devant la compagnie rassemblée, il vocifère:
« — Les ceusses dont la sœur est morte, un pas en avant ! »
Personne ne bouge.
« — Dugenou ! Vous m’frez 15 jours de trou pour non-obéissance aux ordres. »

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Chez les légionnaires…
Un type est bizuté, et les légionnaires lui disent:
« — Bon, tu prends une chèvre dans ce troupeau et tu te la tapes. »
Le type, après négociations infructueuses, y va, et là, les légionnaires éclatent de rire. Il se révolte:
« — Je comprends pas ce qui vous fait rire ? »
Les légionnaires:
« — T’as pris la plus moche. »

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C’est le général des forces de l’ONU qui inspecte les rangs. Il s’approche du soldat Russe qui est au garde à vous raide comme un piquet. Il prend sa Kalachnikov et lui met un grand coup dans le dos. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande:
« — Tu as mal ? »
« — Niet camarade général ! »
« — Pourquoi tu n’as pas mal ? »
« — Parce que les soldats Russes ne craignent pas la douleur ! »
Il s’approche alors de l’Américain prend son colt et lui met un grand coup sur la tête. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande:
« — Tu as mal ? »
« — No, mon général. »
« — Pourquoi tu n’as pas mal ? »
« — Parce que les soldats Américains ne craignent pas la douleur ! »
Il s’approche alors du Français, prend son fusil à baïonnette et la lui plante dans le pied. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande:
« — Tu as mal ? »
« — Non, mon général. »
« — Pourquoi tu n’as pas mal ? »
« — Parce que je chausse du 39 et ces cons de l’intendance mon donné du 44 ! »

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Au début de son service militaire, un type se pointe devant le capitaine qui l’interroge sur son métier dans le civil.
« — C’est très simple, dit le type, je suis glutier dans le civil. »
« — Vous êtes quoi ? »
« — Je suis glutier… je fais des glus… »
« — Et ça consiste en quoi ? »
« — Eh bien, heu, c’est-à-dire que…, c’est difficile à expliquer, il faudrait que je vous montre, que je vous fasse une démonstration, vous comprendriez mieux… »
« — Bon, d’accord. Vous avez carte blanche pour me faire un GLU, finit par dire le capitaine. »
Le gars se met au travail et exige qu’on lui exécute divers travaux préalables, absolument nécessaires à l’élaboration de son GLU:
— Creusement d’une fosse de 10 m de profondeur, 6m de long, 3 m de large.
— Remplissage de cette fosse par de l’eau.
— Construction, depuis la fosse, d’un plan incliné bétonné de 100 m de long, 3 degrés de dénivellation.
— Construction d’une plate-forme bétonnée horizontale à l’autre extrémité du plan incliné de longueur: 50 m/sol, symétrique au 1
er.
— Achat d’un camion neuf de 25 tonnes.
Ouf ! Ça y est, les spécialistes du génie ont répondu à toutes ses exigences, le type est prêt à faire son GLU. C’est dimanche matin, toute la caserne est rassemblée pour assister à cet événement qui rentrera à coup sûr dans les anales (ne corrigez pas ma faute d’orthographe, s’il vous plaît) de l’armée Française. Il monte dans le camion, le démarre (au quart de tour) le fait monter le plan incliné et vient l’immobiliser au bout de la plate-forme. Puis, il descend du camion et le pousse dans la descente. Le lourd véhicule pénètre dans l’eau et fait: scploufffffff puis glu, glu, glu…

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La guerre est une chose trop sérieuse pour la confier aux militaires.

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Les cimetières sont remplis d’officiers irremplaçables, que l’on a pourtant remplacés.

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Un ancien soldat Allemand de la 2ème guerre mondiale revient dans un village Français où il était affecté. Il rentre dans un bar, et engage la conversation avec la table voisine.
« — Ach ! La kerre, kross malheur cette kerre. J’étais stazionné ici pentant la seconde kerre montiale. »
Et à la table d’à côté, il y a un vieux sourd comme un pot, avec un jeune…
« — Qu’est-ce qu’il dit ? » fait le vieux.
« — Il dit que la seconde guerre mondiale était un malheur ! » rétorque le jeune.
« — Ja, mais fotre fillage est magnifique. Je le connaissais très pien. »
« — Comment ? » fait le vieux.
« — Il dit qu’il connaît bien le village, il y était… »
« — Mais alors, fait le vieux, il connaît sûrement Pierrette Dupuis ? »
« — Ach, ja ! Pierrette Dupuis, ja… Un frai folcan, cette femme. Ich habe un excellent soufenir. »
« — Quoi ? » fait le vieux.
« — Il dit qu’il connaît bien Maman, Papa ! »

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C’est un Général qui inspecte différents régiments. Il arrive devant celui des fantassins.
« — Soldat ! A quoi sert ce fusil ? » hurle le Général.
« — À fusiller, mon Général ! »
Le Général est un tantinet fier, et continue sa ronde. Il passe devant l’artillerie.
« — Soldat ! À quoi sert ce canon ? »
« — À canonner, mon Général ! »
Punaise, ce qu’il est fier, notre chef (ce n’est qu’un militaire aux plaisirs simples)… Mais bon, faut qu’il reste sérieux. Il déboule devant le régiment des chars, où se trouvent par hasard quelques simplets (comme moi…).
« — Soldat ! A quoi sert ce tank ? »
« — A tankuler, mon général ! »

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Vous savez à quoi servent les 2 poches latérales sur les treillis des légionnaires ?
— À mettre les pattes de la chèvre…

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— Une petite unité de temps ? La milliseconde.
— Une petite unité de longueur ? Le millimètre.
— Une petite unité d’intelligence ? Le militaire !

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Un soldat se demande comment s’habiller pour aller à la guerre. Un collègue lui indique que Napoléon s’habillait en rouge parce que s’il était blessé, ses ennemis ne pouvaient s’apercevoir qu’il saigne et en ainsi en tirer avantage. Le soldat répond:
« — C’est une bonne idée, va donc me chercher mes culottes brunes. »
C’est un navire de guerre Américain qui vogue vers la Thaïlande, où il doit effectuer des manœuvres. Bien entendu, tous les hommes à bord ne pensent qu’à l’escale qu’ils vont faire dans le port de Bangkok. Malheureusement, à quelques miles du port de Bangkok, le Capitaine reçoit un câble:
« — Très grave épidémie dans les bordels. Interdire à vos hommes tout rapport sexuel avec les prostituées. »
Arrivé à quai, ce sont des hommes abattus par cette nouvelle qui descendent du bateau. 48 heures plus tard, tout le monde est remonté et le navire repart. Direction: le port de Marseille où une dernière escale les attend avant le retour au pays. Sur le chemin, les hommes commentent leur séjour en Thaïlande:
« — Moi, j’ai joué aux dés. Qu’est-ce que je me suis emmerdé ! »
« — Ben moi, je me suis saoulé tout le temps. Qu’est-ce que je me suis emmerdé ! »
« — Ben moi, j’ai baisé comme un salaud 24h/24… »
Tout le monde regarde l’auteur de cette phrase.
« — Mais t’es fou… »
« — Et la maladie ? »
Le G.I. répond:
« — Rien à cirer, au moins je me suis éclaté ! Les thaïlandaises, les gars, elles font de ces trucs… »
Tout le monde le regarde d’un air envieux. Le voyage continue. Quelques jours avant l’arrivée à Marseille, notre G.I. prend sa douche. Il s’aperçoit alors qu’il a…le sexe tout bleu. Il panique, et va voir le médecin du bord. Celui-ci ne lui cache pas son inquiétude:
« — Qu’est-ce qui vous est arrivé ? »
« — Ben, c’est-à-dire, à Bangkok, j’ai pas pu m’empêcher de… »
« — Malheureux ! Vous avez attrapé la Coïtus Bleuïtitis. Il faut vous amputer du sexe, ou vous serez mort dans une semaine. »
Le G.I. est désespéré. Le navire à quai à Marseille, il part se saouler dans un bar louche. Là, un de ses potes le trouve. Ils discutent:
« — Qu’est-ce qui t’arrive ? »
« — J’ai attrapé une saloperie à Bangkok. Ils veulent me couper la bite. »
« — Écoute, si ça peut t’aider, je connais un vieux Chinois ici. Il m’avait soigné pour une chaude pisse en 45, peut-être qu’il peut quelque chose pour toi… »
Ils vont voir le vieux. Celui-ci examine le G.I., marmonne, puis se précipite sur une armoire. Il en sort 3 pots d’herbe, des gélules, des onguents, des sirops. Il débite:
« — Voilà, vous prenez ça 3 fois le matin, avec ça. Après vous massez avec ça. À midi, vous avalez ça sans respirer, et après vous prenez ça. Le soir, vous prenez ça en infusion. Tout va bien se passer. »
Le G.I., radieux, lui demande:
« — Alors, on ne va pas me la couper ? »
Le vieux lui réponds:
« — Non, non, rassurez-vous. Ça va tomber tout seul… »

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Aux journées portes ouvertes d’une base militaire, 3 personnes ont gagné à une tombola un tour dans un petit avion avec un général de l’armée Française. Les gagnants sont: un scout, un vieil homme et un avocat. Tout le monde monte dans le petit avion, et une fois en l’air, le général prend la parole:
« — Bonjour à vous tous. Vous savez, j’ai été celui qui a dressé les plans de cette base aérienne ! »
Et il désigne la base aérienne que l’on voit par le hublot. Puis il ajoute:
« — Et on peut dire que de faire les plans d’une telle base nécessitait vraiment quelqu’un à la clairvoyance et à l’intelligence hors du commun ! »
Malheureusement, dans la seconde qui suit la fin de sa phrase, une explosion réduit à néant le moteur de l’appareil, tuant par la même occasion le pilote. Rapidement, l’avion perd de l’altitude et comme personne ne sait piloter, tout le monde se met à la recherche des parachutes. Il se trouve qu’il y a 3 parachutes… Le général est le 1
er à en prendre un, justifiant son geste par:
« — Je suis un des cerveaux de ce pays, je dois survivre ! »
Ensuite l’avocat prend lui aussi un parachute en disant:
« — Je suis indispensable à mes clients ! »
Et il saute. Ne restent plus alors que le scout et le vieil homme. Le vieil homme regarde le jeune scout et lui dit:
« — Fils, tu as toute ta vie devant toi, alors que moi, j’ai eu mon temps. C’est toi qui va prendre le dernier parachute ! »
Et le scout répond:
« — Oh, ne vous en faites pas, il reste encore 2 parachutes… Le “cerveau” a pris mon sac à dos ! »

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En Birmanie, un colonel donne les derniers conseils à ses G.I. avant que ceux-ci partent au combat:
« — G.I.’s ! Je suis fier de vous, vous allez au combat. Mais avant que vous ne partiez, je vais vous donner les 3 grands secrets pour survivre aux 3 grands dangers de la jungle. Le 1
er danger, ce sont les moustiques: ils apportent les piqûres qui font souffrir, mais surtout la malaria qui peut tuer les plus résistants. Contre les moustiques, vous avez la bombe de fly-tox: vous prenez la bombe et vous vaporisez; si la bombe est finie, vous en avez une de rechange dans la poche droite, vous vaporisez jusqu’à ce que les moustiques soient tous morts et vous survivrez aux moustiques. Le 2ème danger, ce sont les niakwés. Ce sont de farouches combattants fanatiques et bien armés. Contre les niakwés, vous avez le pistolet-mitrailleur: vous prenez le pistolet-mitrailleur et vous mettez le chargeur, puis vous tirez sur les niakwés; si le chargeur est fini, vous en avez un de rechange dans la poche gauche, vous tirez jusqu’à ce que tous les niakwés soient morts et vous survivrez aux niakwés. Le 3ème danger, le pire, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir. Sa morsure est mortelle en moins de trente secondes.
Contre le terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous n’avez que votre courage et la tactique que je vais vous donner: si vous voyez un terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous faites le tour, vous en prenez le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et vous remontez doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que vous puissiez serrer le cou juste derrière la tête. Alors vous le prenez, et vous lui tordez le cou, et c’est ainsi que vous survivrez au terrible serpent mamba rayé orange et noir. Voilà G.I.’s, vous êtes prêts à partir… Bonne chance ! »
Un mois après, les G.I.’s rentrent de leur mission. Le colonel est là et interroge les soldats:
« — Ahh, colonel, c’était terrible… Les moustiques, des nuées de moustiques… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé: j’ai pris le fly-tox, j’ai vaporisé, j’ai tué des milliers de moustiques. Ma bombe s’est vidée, j’ai pris la bombe de rechange dans la poche droite, et j’ai continué à vaporiser. La 2
ème bombe s’est vidée, et il y avait encore des moustiques, alors j’ai pris la bombe sur le cadavre de mon copain qui était tombé à côté de moi, et j’ai continué à vaporiser… Au moment où la bombe finissait, j’ai tué le dernier moustique qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »
Un 2
ème soldat:
« — Ahh, colonel, c’était terrible… Les niakwés, des nuées de niakwés… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé: j’ai pris le pistolet-mitrailleur, j’ai tiré, j’ai tué des dizaines de niakwés. Mon chargeur s’est vidé, j’ai pris le chargeur de rechange dans la poche gauche, et j’ai continué à tirer. Le 2
ème chargeur s’est vidé, et il y avait encore des niakwés, alors j’ai pris le chargeur sur le cadavre de mon copain qui était tombé à côté de moi, et j’ai continué à tirer… Au moment où le chargeur finissait, j’ai tué le dernier niakwé qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »
Alors le colonel voit arriver un G.I. sur une civière; il est complètement explosé, lacéré, en sang, au bord de l’inconscience.
« — Mais, G.I., que s’est-il passé ? Les niakwés ? »
« — Oh non, colonel, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir ! »
« — Mais je vous avais pourtant dit comment procéder ! »
« — Oui, mon colonel, et j’ai fait comme vous l’aviez dit ! J’ai vu le terrible serpent mamba rayé orange et noir, j’ai fait le tour, j’en ai pris le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et j’ai remonté doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que je puisse serrer le cou juste derrière la tête. Mais alors là, sauf votre respect, colonel, mais j’aurais bien voulu vous y voir, vous, avec 2 doigts dans le trou du cul d’un tigre ! »

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Conversation Radio enregistrée au cours d’opérations navales par le porte-avion Clémenceau.
#1:
« — Déviez votre route de 15 degrés vers le Nord pour éviter une collision. »
#2:
« — Vous, déviez plutôt votre route de 15 degrés vers le Sud pour éviter une collision. »
#1:
« — Ici le vice-amiral De la Forterie. J’ai dit de dévier votre route ! »
#2:
« — Non, je répète, déviez votre route. »
#1:
« — Ce message vous vient du porte-avion Clémenceau ! Déviez votre route maintenant ! »
#2:
« — Ce message vous vient d’un phare. Vous me dites comment le faire naviguer, et je serai heureux de lui faire dévier sa route. »

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Un appelé se retrouve au fin fond du Larzac pour son faire son service et “servir la France”. Au bout de quelques semaines d’abstinence forcée, et commençant à avoir quelque peu mal au bras droit, il demande à son adjudant comment les autres parviennent à gérer ce cruel manque de féminité à leurs côtés. Celui-ci lui explique qu’il y a une ferme non loin de là, où il est possible de passer un moment avec une truie en échange d’une bonne bouteille remise au fermier. L’appelé va donc, le soir même et sa bouteille sous bras, rendre visite à la truie… Le lendemain, l’adjudant le voit plein de bleus et de bosses, griffé et couturé. Il lui demande ce qui s’est passé:
« — C’est au moment où j’ai voulu la retourner, elle s’est débattue, et voilà le résultat. »
« — Mais enfin, lui répond l’adjudant, ce n’est pas la peine de la retourner ! »
« — Ah si, moi quand je fais l’amour, faut que j’embrasse ! »

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Un bataillon de paras revient d’une mission de 6 mois en Afrique. Ils sont tous félicités, un par un, par le général qui a un petit mot ou une question pour chacun.
« — Avez-vous eu peur ? »
« — Non, mon général, des paras comme nous n’ont peur de rien. »
« — Qu’auriez-vous fait si votre parachute ne s’était pas ouvert ? »
« — Je serais descendu en chercher un autre, mon général, parce des paras comme nous ne vont pas se faire emmerder par un parachute ! »
Il passe ainsi tous les gars en revue en y allant de sa petite question. Arrivé à l’avant dernier para, il est à court d’idée. Ce para mesure 2 m et est drôlement bien baraqué. Il finit par lui demander:
« — Faisiez-vous l’amour de temps en temps ? »
« — 5 à 6 fois par jour pour général. C’est normal mon général. Des paras comme nous ont la santé ! »
Arrivé au denier, le petit gringalet du groupe, le général pose la même question. Le para lui répond:
« — 5 à 6 fois sur les 6 mois mon général. »
Le général, très surpris, lui dit son étonnement.
« — Pour un para, vous m’étonnez. »
« — Je comprends votre étonnement, mon général, pour un para normal, c’est peu, mais pour l’aumônier, c’est pas mal. »

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Tiens ! Figurez-vous que c’est l’histoire d’un type qui veut à tout prix éviter le service militaire. Il ne veut pas, mais alors pas du tout, porter l’uniforme, et il est prêt à tout pour ça ! Dingue, non ? Il va donc voir un ami à lui qui est médecin:
« — Ben, c’est qu’en ce moment, ils prennent tout le monde ! Je ne vois qu’une seule chose… C’est de te faire castrer, devenir eunuque quoi ! »
Alors là, vous allez pas le croire, mais le type n’hésite pas une seule seconde et… Hop ! Il se fait châtrer vite fait bien fait et rapplique devant le conseil de révision. Le toubib militaire le regarde rapidement, et fait:
« — Réformé !… Vous avez les pieds plats ! »

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C’est un gars qui a tout quitté pour rejoindre la légion étrangère. Le voilà expatrié à Djibouti. Après plus de 3 mois dans le désert, l’abstinence sexuelle commence à lui peser: Du coup, il demande à un légionnaire déjà en poste à Djibouti depuis plusieurs années comment ils se défoulent… Le légionnaire plus ancien lui répond:
« — On utilise le dromadaire là-bas ! »
Notre légionnaire n’en est pas encore à ce stade du manque, et il décide d’attendre encore un peu. 6 mois plus tard, c’en est trop. Notre légionnaire va retrouver le dromadaire, se bricole un petit escabeau qu’il place derrière l’animal, et commence son affaire… À ce moment, le sergent, accompagné du légionnaire plus ancien, passe par là et lui dit:
« — C’est comme ça que tu t’en sers ? Parce que, nous, on monte dessus et on va voir les filles en ville ! »

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Petit topo sur la compréhension des ordres et la transmission de l’information chez les militaires… Du Colonel au Capitaine:
Aujourd’hui à 11h33, il y aura une éclipse solaire, donc un événement que l’on ne peut pas vivre tous les jours. Faites venir la troupe en tenue de sortie. Je donnerai moi-même des explications lors de l’observation de ce phénomène. S’il pleut, nous ne pourrons admirer cette éclipse; dans ce cas, la troupe devra se rendre à la cantine pour le repas.
Du capitaine à l’adjudant-chef:
Sur l’ordre du commandant du régiment, il y aura aujourd’hui à 11h33 une éclipse solaire. S’il pleut, nous ne pourrons pas bien observer le phénomène en tenue de sortie dans le terrain. Dans ce cas, nous procéderons à la disparition du soleil dans la cantine, donc quelque chose que l’on a pas l’occasion de voir tous les jours.
De l’adjudant-chef au Sergent:
Sur ordre du commandant du régiment, nous procéderons aujourd’hui, en tenue de sortie, à la disparition du soleil dans la cantine. Le commandant du régiment donnera des ordres s’il pleut, donc quelque chose qu’on ne peut pas voir tous les jours. Du Sergent au Caporal:
S’il pleut ce matin dans la cantine, donc quelque chose qui n’arrive pas tous les jours, le commandant du régiment disparaîtra à 11h33 en tenue de sortie. Du Caporal aux copains de chambrée:
Aujourd’hui à 11h33, notre commandant du régiment disparaîtra. Dommage que l’on ne puisse pas voir ça tous les jours.

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À l’armée, pendant les “classes”, le sergent fait passer aux recrues un test de lecture.
C’est au tour du frère de Toto:
« — Le pe…tit laaaaaaaaaaaapin mar…cheux. »
« — Soldat, vous êtes con, plus con qu’un wagon ? »
« — Comment ça sergent ? »
« — Parce qu’un wagon lit ! »
Esclaffades de tout le régiment.
Un peu plus tard, exercices de groupes. Le Sergent lance:
« — Rompez ! »
Tout le monde rompt, sauf le frère de Toto…
« — Soldat ! J’ai dit “Rompez !” »
« — Je ne peux pas, Sergent ! »
« — Pourquoi ? »
« — Parce qu’un wagon reste au rang ! »

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La 3ème guerre mondiale a éclaté. Les militaires ont trouvé le moyen d’inventer un ordinateur ultra-puissant, auquel ils doivent soumettre un problème tactique particulièrement ardu. Lui ayant fait ingurgiter les données, ils posent la question fatidique:
« — Faut-il attaquer ou sonner la retraite ? »
L’ordinateur émet quelques cliquetis, une série de bips, ses diodes se mettent à clignoter et soudain, la réponse jaillit:
« — Oui. »
Les généraux se regardent, perplexes. L’un d’eux décide d’agir: il s’approche du clavier et tape une autre question:
« — Oui quoi ? »
L’ordinateur répond, instantanément:
« — Oui, mon général ! »

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C’est un militaire, un sergent, on va dire. Il est en train de s’exercer au tir avec son Famas. Il est couché sur le sol et balance quelques balles en coup par coup. Lorsque le 1ère classe Dutrou va contrôler les cibles, il crie à l’intention du sergent:
« — Aucune balle dans la cible, sergent ! »
Alors le sergent regarde son arme… puis regarde la cible… puis regarde à nouveau son arme… puis encore la cible. Ensuite, il met son index gauche au bout du canon et à l’aide de son index droit, il presse la détente. Naturellement, son doigt est pulvérisé ! À ce moment-là, le sergent hurle en direction du soldat:
« — Ça part d’ici correctement. Le problème doit se trouver là-bas ! »

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Accent sud-Américain nécessaire
Le général Alcazar passe ses troupes en revue, il décide d’inspecter l’infirmerie, où 50 de ses soldats sont alités.
« — Mes respects mon général. »
« — Quel est votre problème ? »
« — Hémorroïdès mon général ! »
« — Quel traitementès ? »
« — Batonnès cotonnès badigeonnès ! »
« — Quel est votre souhait le plus cher ? »
« — Servir toute ma vie l’armée du général Alcazar ! »
Le suivant:
« — Mes respects mon général. »
« — Quel est votre problème ? »
« — Hémorroïdès mon général ! »
« — Quel traitementès ? »
« — Batonnès cotonnès badigeonnès ! »
« — Quel est votre souhait le plus cher ? »
« — Servir toute ma vie l’armée du général Alcazar ! »
Idem pour les 49 premiers soldats (la nourriture mexicaine est vraiment très pimentée), arrive le dernier:
« — Mes respects mon général ! »
« — Quel est votre problème ? »
« — Anginès mon général ! »
« — Quel traitementès ? »
« — Cotonnès batonnès badigonnès ! »
« — Quel est votre souhait le plus cher ? »
« — Pourrait-on changer le cotonnès ? »

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Un adjudant est au pied d’un arbre où sont embusqués des soldats.
« — Combien êtes-vous là-haut ? » demande-t-il.
« — 3, mon adjudant ! »
« — Bien, que la moitié descende ! »

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Si tous les cons pouvaient voler, le ciel serait kaki.

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Pour marcher au pas d’une musique militaire, il n’y a pas besoin de cerveau, seule la moelle épinière suffit !
Albert EINSTEIN

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Un homme se présente à la frontière Mexicaine sur sa bicyclette avec 2 grands sacs sur ses épaules. Le douanier dit:
« — Qu’y a-t-il dans les sacs ? »
Le gars répond:
« — Du sable. »
« — Veuillez vider les 2 sacs… »
Sans difficulté, notre homme vida ses sacs: du sable, rien que du sable !
« — C’est bon, vous pouvez passer. »
Notre ami remit le sable dans les sacs, les sacs sur ses épaules, ses fesses sur la selle et il franchit la frontière. Le lendemain, notre homme se représente à la frontière, sur sa bicyclette, 2 sacs sur les épaules. Même scène …qui se répéta pendant 15 jours.
Puis lassés, les douaniers ne le contrôlaient plus que de temps en temps: toujours du sable ! Enfin un jour, tout en le laissant passer, un douanier l’interpella:
« — Nous ne sommes pas si idiots que ça. Nous savons que vous faites de la contrebande. Oui, mais de quoi ? »
Quand le gars fut assez loin, il se retourna et dit simplement:
« — Bicyclettes ! »

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Dans une région ravagée par le choléra, un officier du service de santé des armées visite une caserne.
« — Il interroge un sous-officier: quelles précautions observez-vous pour rendre l’eau potable ? »
« — Eh bien, d’abord nous la filtrons. »
« — Très bien. Et après ? »
« — Nous la faisons bouillir. »
« — Parfait. Et ensuite ? »
« — Pour ne courir aucun risque, nous buvons de la bière ! »

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À la douane néerlandaise, le douanier;
« — Vous avez de l’alcool ? »
« — Non. »
« — Vous avez des armes ? »
« — Non. »
« — Vous avez de la drogue ? »
« — Non. »
Après avoir jeté un bref coup d’œil alentour, le douanier:
« — Vous en voulez ? »

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C’est à l’armée que ça se passe: un garçon de ferme un peu benêt va faire son 1er saut en parachute. Le sergent lui fait les dernières recommandations avant le grand saut dans le vide:
« — Tu vas sauter en automatique. C’est-à-dire que la tirette de ton parachute dorsal sera automatiquement tirée lorsque tu sauteras hors de l’avion. Cependant, si rien ne se passe, tu tireras la tirette de ton parachute ventral et tout ira bien. Une fois que tu auras atterri, un camion passera te prendre pour te ramener à la base.
Alors la recrue respire un bon coup et se lance dans le vide. Mais au bout de 10 secondes, aucun parachute ne s’est ouvert. Alors le gars tire la poignée de son ventral, mais là encore, rien ne se passe. La malédiction quoi. Forcément, le gars regarde le sol arriver à vitesse grand V et il se dit:
« — Ouais. Au train où vont les choses, vous allez voir que le camion de ramassage ne sera pas là lui non plus ! »

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Dans un hôpital militaire, un général acariâtre doit passer une semaine suite à une fracture ouverte de son bras droit. Dès qu’il arrive, il est tout de suite pris en grippe par le personnel soignant et les autres malades en raison de son irascibilité et de ses demandes jamais satisfaites. L’hôpital ne disposant plus de chambres individuelles, le général est placé dans une chambrée de 6 lits - chose qu’il ne supporte pas -, ses repas sont servis trop froids, ou encore les aliments ne sont pas bons, ou encore il y a trop de bruit dans le couloir la nuit, etc… Le matin du 3ème jour, une infirmière entre dans la chambre et dit:
« — C’est pour votre température, Général. »
En grognant, le général se place sur son côté de manière à ce que l’infirmière puisse introduire le thermomètre. L’infirmière s’acquitte de la tâche et dit au général:
« — Ne bougez pas, je reviens dans 5 minutes ! »
Et l’infirmière s’en va. Une heure plus tard, une autre infirmière entre dans la chambre et voit le général toujours dans la même position, le cul à l’air. Elle est surprise et demande:
« — Mais qu’est-ce qui se passe ici ? »
Le général grogne et répond:
« — Eh bien quoi ? Vous n’avez jamais vu quelqu’un prendre sa température ? »
« — Si, bien sûr, général… Mais pas avec une marguerite. »

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2 bidasses dorment sous la tente, le soir, comme il fait très, très froid, ils se couchent tous les 2 dans le même sac de couchage. Au bout d’un moment, le 1er demande à l’autre:
« — Dis, tu serais pas en train de te branler ? »
« — Oui, pourquoi ? »
« — Ben ça te dérangerait beaucoup de prendre la tienne ? »

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La justice militaire est à la justice ce que la musique militaire est à la musique.
CLÉMENCEAU

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La hiérarchie, c’est comme les étagères: plus c’est haut, moins ça sert.

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C’est l’histoire d’un type qui va s’engager dans la Marine. Il arrive à la caserne et là le sergent lui demande:
« — Est-ce que vous savez nager ? »
Le type répond:
« — Pourquoi il n’y a pas de bateau ? »

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Question de l’adjudant à ses recrues au garde-à-vous:
« — Qu’est-ce qui bout à 90 degrés ? »
Silence général.
« — Ben c’est l’eau, bande de nazes ! »
Un bidasse agrégé de physique et préposé au nettoyage des cabinets reprend alors l’adjudant:
« — Mon Adjudant, si je peux me permettre, vous faites erreur, mon adjudant, l’eau bout à 100 degrés. »
L’adjudant, se frappant le front:
« — Ah oui ! Que je suis bête ! C’est l’angle droit qui bout à 90 degrés. »

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À tout problème, il y a 2 solutions:
— La bonne et celle de l’École de Guerre.
Maréchal FOCH

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C’est un para en plein exercice de camouflage en forêt. Le para qui s’était déguisé en tronc d’arbre, a soudainement abandonné son poste à un moment crucial des manœuvres. Le sergent l’engueule un bon coup et lui demande pourquoi il a quitté son poste. Il lui dit:
« — Espèce de sagouin ! Tu te rends compte que tu as mis en danger non seulement ta vie mais aussi celle de tous tes copains de la compagnie. Au combat, l’ennemi nous découvrait tous par ta faute As-tu une explication pour ta conduite ? »
« — Oui, sergent: autant je n’ai pas bougé d’un poil quand un couple de pigeons m’a pris pour cible. Autant je n’ai rien dit et je suis resté immobile quand j’ai vu un serpent ramper à mes pieds… Mais quand ces 2 écureuils sont rentrés dans mon pantalon et que j’en ai entendu un dire: “Mangeons-en une tout de suite et gardons l’autre pour cet hiver”, j’ai craqué ! »

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Pourquoi les généraux sont-ils si bêtes ?
— Parce qu’on les choisit parmi les colonels.

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Le colonel Dugenou prend ses fonctions dans une place militaire de l’Atlas (montagne du Maroc). Ali, son aide de camp lui fait visiter les lieux. Puis, une fois à l’écart:
« — M’sieur le colonel, ti sais, les hommes ji sais ce que c’est. Si ti a besoins, j’ti prête la chamelle. »
« — Ali, je suis colonel de l’Armée Française ! Je suis capable de me contrôler. »
« — Comme ti veux M’sieur l’colonel. »
Un mois se passe. Ali voit bien que le colonel, bien qu’il soit de l’armée Française, n’en est pas moins un homme. Il lui propose à nouveau la chamelle. et celui-ci refuse, mais avec moins de véhémence. Un autre mois se passe. Le colonel finit par trouver Ali pour lui demander la chamelle. Il part à l’écart du camp, fait s’asseoir la chamelle, se déculotte, se place derrière la chamelle, mais celle-ci se lève et fait quelques pas. Il trottine, pantalon sur les chevilles, rejoint la chamelle, se remet en position, et celle-ci avance à nouveau. Le manège se poursuit, et au détour d’une dune, il rencontre Ali, plié de rire.
« — Tu trouves ça drôle, Ali ? »
« — M’sieur l’colonel ti as pas compris ! La chamelle, c’est pour aller au bordel ! »

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C’est un jeune légionnaire qui rentre en permission après 6 mois dans le désert. Il est au volant de sa voiture, quand au détour d’un virage, il voit une chèvre attachée à un poteau. Il est tellement en manque de sexe qu’il gare sa bagnole n’importe comment, se déshabille en 5 secondes et saute sur la chèvre. À ce moment un 38 tonnes arrive dans le virage et freine comme un malade pour éviter la R8 Gordini (c’est une vieille histoire) garée à la mords-moi le nœud. Les freins font un boucan d’Enfer. La chèvre a tellement peur qu’elle casse la corde et se met à cavaler sur la route. Le légionnaire a juste le temps de s’accrocher aux cornes. Quand ils passent dans le village d’à côté, 2 petits vieux assis sur un banc au bord de la route:
« — Regarde un peu les jeunes, Émile, ça n’a pas de quoi s’habiller et ça se paie des motos ! »

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Du temps où l’armée ne recrutait pas encore parmi la gent féminine…
Un frère faisait marcher sa sœur qui voulait se déguiser en homme pour se faire se faire recruter. Le frère lui dit:
« — Mais dis-moi, tu sais que tu devras t’habiller avec les garçons et prendre la douche avec eux ! »
« — Oui, je sais. »
« — Et tu ne penses pas qu’ils vont découvrir le pot aux roses ? »
« — Si, mais qui parlera ? »

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C’est un adjudant-chef qui est à son bureau, et qui attend que la journée se passe. À un moment, une araignée sort de son bureau et commence à se balader sur le bureau. Il la regarde puis faisant le 1er effort de la journée, il va pour l’écraser… et puis en fin de compte, il la laisse en paix: c’est alors que l’araignée se transforme en une superbe fée qui lui dit:
« — Tu m’as épargnée, tu auras 3 vœux ! »
Il réfléchit un instant:
« — OK, je veux être sur une plage avec les 1 000 plus belles filles de la terre ! »
Pouf, il se retrouve de suite sur une plage du Pacifique entourés de superbes filles.
« — Bien. Quel est ton 2
ème vœu ? »
« — Je voudrais de la bière jusqu’à la fin de ma vie ! »
Pouf, des camions remplis de fûts de bière sont alignés en rang dans un coin de la plage.
« — Et maintenant ton dernier vœu ? »
« — Je voudrais ne plus rien faire de ma vie ! Pouf, il se retrouve assis à son bureau… »

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En pleine revue militaire au débotté dans la chambrée, un soldat montre une colossale érection… Le sergent-chef, un sadique de 1ère, lui flanque un coup sur la zézette et lui dit:
« — Ça te fait mal, garçon ? ! »
« — Non, chef ! »
Ah tu n’as pas mal ?
« — Non, chef ! C’est la bite du gars qui est derrière moi, chef ! »

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Un général et un amiral qui ne peuvent pas se blairer se retrouvent ensemble chez le barbier de l’état-major chez qui ils se font raser tous les matins. Tous les 2 ont fini d’être rasé en même temps, et à la fin du rasage, le troufion qui rasait le général s’apprête à lui passer un peu d’après-rasage… mais le général s’écrie:
« — Pas de ce machin sur moi malheureux ! Sinon ma femme va croire que j’ai été chez les putes… »
Alors l’amiral se tourne vers son troufion barbier et lui dit:
« — Vas-y tu peux m’en mettre à moi. Ma femme ne sait pas ce que ça sent une pute ! »

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Aux 3 jours, les militaires se sont mis à la morphopsychologie (si, si, ils sont suffisamment cons pour ça). Un jeune morpho-psychologue examine une recrue:
« — Nez aquilin, bouche moyenne… »
Et le troufion en puissance répond:
« — Non, non, né à Marseille, Bouches-du-Rhône. »

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C’est un général de l’armée de terre qui, après avoir passé 35 ans dans l’armée vient de prendre sa retraite en achetant pour l’occasion une propriété en Sologne dans laquelle il s’adonne sans compter à sa passion: La chasse. Le général invite un ami à chasser le faisan. L’ami tombe en admiration devant le chien du général, un labrador appelé “Chef” qui est capable d’aller débusquer les faisans, qui marque l’arrêt et qui va retrouver tout le gibier mort ou blessé quel que soit l’endroit où il se trouve. L’ami est impressionné par les qualités du chien. Aussi, l’année d’après, lorsque le général l’invite à nouveau à la chasse, l’ami s’inquiète de ne plus voir le chien. Le général lui répond en grommelant:
« — J’ai dû m’en séparer et en prendre un autre. »
« — Et pourquoi donc ? »
« — Il y a quelques mois, un ami est venu chasser à la hutte avec moi. Il ne se souvenait plus du nom du chien, et pendant une journée, il n’a fait que l’appeler “Colonel”. À la fin de la journée, le chien ne savait plus rien faire d’autre que de rester assis sur son cul à aboyer… »

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Dans une caserne, plusieurs appelés rentrent en retard de leur permission. Le commandant appelle le 1er:
« — Alors p’tit gars, motif du retard ? »
« — Ben mon commandant, vous allez rire, je suis fiancé à une fille de la campagne et là-bas, c’est pas comme chez nous, on discute, dot… Bref, on a tellement discuté avec le beau-père qu’on a pas vu l’heure passer. Alors le beau-père m’a ramené au galop à la gare, avec la charrette et le cheval, mais bon voilà, à 100 mètres de la gare, le cheval qu’était vieux est mort, j’ai raté mon train à quelques secondes et y’en a qu’un par jour. »
Ému, le commandant passe l’éponge et appelle le 2
ème:
« — Alors p’tit gars, motif du retard ? »
« — Ben, mon commandant, vous allez rire, je suis fiancé à une fille de la campagne et là-bas, c’est pas comme chez nous, on discute, dot… Bref… le beau-père… a pas vu l’heure passer, m’a ramené au galop à la gare, avec la charrette et le cheval, mais bon voilà, à 100 mètres de la gare, le cheval qu’était vieux est mort, j’ai raté mon train à quelques secondes et y’en a qu’un par jour. »
« — Bon… admettons. »
Et il passa au 3
ème.
« — Alors p’tit gars, motif du retard ? »
« — … commandant,… rire, je suis fiancé… fille… campagne… pas comme chez nous, discute… dot… Bref… le beau-père… a pas vu l’heure…. ramené… à la gare, avec… charrette… cheval, mais… 100 mètres… gare, le cheval… vieux… mort,… raté… train à quelques secondes et y’en a qu’un par jour. »
Et ainsi de suite jusqu’au 30
ème qui rentre.
« — Bon alors ? »
« — Ben mon commandant… »
« — Je sais… “je vais rire”, “vous êtes fiancé à une fille de la campagne”… »
« — Oui, mon commandant ! »
« — Là-bas, on prend le temps de discuter et vous n’avez pas vu l’heure passer… »
« — Oui, mon commandant ! »
« — Alors, votre beau-père vous a ramené à la gare… »
« — Oui, mon commandant ! »
« — Mais bon voilà, le vieux cheval est mort à 100 mètres de la gare… »
« — Euh ? Non, mon commandant, mon beau-père n’a pas de cheval il a une 4L ! »
« — Alors vous, vous n’avez aucun motif, petit salopard ! »
« — Ben c’est que… vous allez rire mon commandant, à 100 mètres de la gare, il y avait un tas de chevaux morts au milieu de la route… »

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Dans l’armée, pour les uniformes, il y a 2 tailles: trop grands et trop petits.

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Alors qu’il accomplit son service national, un jeune gars reçoit une lettre de rupture de sa petite amie. En plus de ça, la petite amie lui réclame la photo qu’elle lui avait donnée. Le gars, vexé, s’en va voir tous ses potes bidasses et leur demande de lui donner toutes les photos de jeunes femmes dont ils disposent et dont ils veulent bien se séparer; puis il empaquette tout ça et envoie le colis à son ex-fiancée avec un petit mot:
« — Désolé, mais je ne me souviens plus laquelle est la tienne. Veux-tu la retrouver, la garder, et me réexpédier les autres. Merci. »

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Un soldat se plaint à son adjudant:
« — Chef, mon casque me tombe sur les yeux, je ne vois rien ! »
« — Tant mieux, comme ça vous obéirez aveuglément. »

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Le sous-marin est amarré au port et le grand public y a accès: Toto n’arrête pas de poser des questions au sergent responsable de faire visiter… C’est quoi ça ? Comment ça fonctionne ce machin, et ainsi de suite sans discontinuer… Jusqu’au moment où le sergent est à expliquer la méthode utilisée pour lancer une torpille et comme depuis le début Toto a une question pour le sergent qui commence à le trouver assez fatigant:
« — Dites Monsieur, lorsque la torpille sort du sous-marin, comment se fait-il que l’eau n’entre pas lorsque vous ouvrez la porte ? »
Et le sergent de répondre:
« — Et toi petit, quand tu es dans ton bain et que tu pètes, est-ce que l’eau rentre ? »

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Monsieur le ministre de la Défense Nationale,
J’ai l’honneur de vous exposer ma situation.
Je suis marié avec une veuve, laquelle avait une fille. Mon père a épousé cette fille. Donc mon père est devenu mon gendre, puisqu’il a épousé la fille de ma femme. Ma belle-fille est devenue de ce fait ma belle-mère. Maintenant, ma femme et moi avons un fils. Cet enfant est le fils de la mère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père est mon oncle puisqu’il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle, quant à la femme de mon frère, elle a un garçon qui est mon petit-fils, puisqu’il est le fils de la fille de ma femme. Ma fille se trouve donc être ma mère puisqu’elle est la femme de mon père. Par conséquent, je suis le frère de mon petit-fils. Comme le mari de la mère d’une personne est le père de celle-ci, je suis donc le père de ma mère et le frère de son fils. Je suis donc mon propre grand-père.
J’ai donc l’avantage, Monsieur le Ministre, de vous demander de m’accorder un sursis d’incorporation vu que le règlement militaire interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés ensemble.

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Un adjudant réunit sa section dans la cour de quartier.
« — Rassemblement par ordre alphabétique, les plus petits devant ! »

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